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Toujours pareil. Ce parce que c'est un peu l'inconnu pour plein de gens. Quand t'habites dans un quartier Asiatique, ou que t'as été dans quelques pays à dominante "jaune", tu reconnais de suite un Chinois d'un Coréen, ou d'un Jap, par exemple.
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Je vie dans la campagne Bretonne.
Mais j'exagère quand même un peu, je les reconnais bien sur, mais voilà quand ça switchais de perso fallait quelque seconde pour que je me dise ok lui c'est tel mec et y'a un lien avec tel nana par exemple.
D'hab ça ne me fait jamais ça, mais dans ce téléfilm j'ai trouvé que c'était plus galère, peut-être juste la mise en scène ou les costumes trop similaire que sais je.
Dans un futur proche, notre ami Tom Selleck, policier du futur, et sa fidèle moustache, combattent les robots domestiques et autres appareils ménager qui ont mal tourné. Il affronte tour à tour des grille-pain, des séches linges, des robots cuiseur-vapeur... (je plaisante même pas ils sont bien dans le film)
Ce film est d'un kitsh ultime, un peu nanar sur les bord et le cabotinage excessif du méchant gene simmons (kiss) me font craquer à chaque fois. Je peux le voir 100 fois sans me lasser ça prend à chaque fois. Je l'avais vu la première fois très jeune, totalement captivé par ce que je voyais.
Le film n'est pas avare en action, et les différents robots, nombreux et varié ont chacun une façon différente de tuer. On s'ennuit jamais !
A noté que le film est réalisé par Michael Crichton, le célébre scénariste de science-fiction.
Edit: je suis insomniac.
Eden log (2007)
C'est pas avec ce film que la SF française va pouvoir s'exporter malheuresement. Pourtant c'est dommage il y a de très bon film de sf ou fantastique français qui ont été oublié et qui mériterait d'etre redécouvert.
Le film commence très bien, on commence dans une grotte seul avec clovis cornillac, on se croirait dans the descent franchement. On sait pas ou on va, c'est glauque, oppressant et les couleurs délavée presque monochrome du film renforce cela. on est en fait dans un gigantesque complexe façon labyrinthe, enfoui sous terre, les créatures rencontré sont bien fichu. Le héros, amnesique, ne sait pas ce qu'il fait là...franchement c'est prenant.
Mais au fur et à mesure que le héros récupère de sa mémoire, on en apprend plus sur ce scénario inutilement compliqué, sorte de trip écologiste fouilli. et ce qui m'a le plus dérangé c'est que le film a une construction façon jeux vidéo. le complexe, a autant d'étage que de niveau différent et Clovis se rend vite compte qu'il a des super pouvoir et peux défoncer facilement les créatures pourtant féroce qu'il a rencontré jusqu'ici ce qui fait qu'il n'y a rapidement plus aucune tension.
M le scénariste pourquoi faire évoluer votre film dans cette direction ? le film partait si bien. Vous vous tirez vous même une balle dans le pied et ce n'est plus récupérable, le mal est fait, impossible de revenir en arriere car on a déjà décroché de votre film...Amicalement. Bisou.
J'ai pas trop envie de défoncer le film plus que ça, le film a un petit truc tout de même .C'est dommage, parce que j'y ai cru.
Edith !!: A oui j'ai oublié de parler des décors qui pour moi sont le gros point fort du film. C'est simple je les trouve tous réussi. Clovis cornillac avance inlassablement dans des corridors, des couloirs tortueux, des tunnels innondés, toujours lugubre, passant de cavernes humides à des salles plus futuriste, de vieux laboratoire abandonnée,... En fait, il marche beaucoup dans le film. Par contre je trouve l'architecture du complexe un peu bizarre, on passe parfois d'une salle à une autre qui n'a rien a voir. Un réseau de galérie peut très bien etre juxtaposé à un labo. De plus les escalier et ascenseur permettant de changer de niveau semble difficile à atteindre
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Ju-On The Grudge
Bon bin la aussi chronologiquement j'ai eu un peu de mal à suivre, j'ai pas trouvé ça super claire.
La malédiction j'ai du beaucoup plus l'interprété que dans mes souvenirs de la version américanisé. On voit au tout début le mari avec du sang et un cuter, il chope le chat, mais les autres on ne sait pas vraiment comment ils sont mort.
Puis est ce que c'est parce que j'ai vieillis, mais plus aucune peur ni stress. La version américanisé je l'avais vue étant ado et elle m'avait bien retourné, pendant des années je ne pouvais plus entendre ce bruit de gorge. Du coup j'ai envie de me la refaire pour voir, parce que je trouve ça quand même bizarre de trouver cette dernière version meilleure que celle que je viens de voir
Ca me gonfle de pas piger ou aimer un film que tout le monde adore ou respect...
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Si un type me dit ça en face à face, je le balaye direct.
Les deux premiers Ju-on sont juste terribles. Ils ont parfaitement emboité le pas à Ring, et Shimizu a su créer une mythologie terrifiante tout en s'influençant du chef d'oeuvre de Nakata. Sa réa gère de ouf, et même s'il a fait un bon boulot sur The Grudge, le remake de son propre film n'approche pas le talent des Ju-On. Faire des plans aussi géniaux, aussi viscéraux, des jump scare de malade comme ça, le tout servant un scénar particulièrement retors, c'est pas donné à tout le monde. D'ailleurs, scénaristiquement parlant, Ju-On 1 et 2 vont de pair et forment un ensemble particulièrement cohérent. Faut juste ne pas être endormi et savoir faire la différence entre deux asiatiques. Dans The Grudge, l'intrigue est simplifiée et les effets sont pour moitié du ressassé. Alors oui c'est efficace, pour qui découvre cette saga sans la connaitre, mais après Ju-On 1 et 2, c'est juste petit joueur.
Mais c'est toujours la même problématique, celle d'avoir découvert le remake avant l'original.
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Je n'étais pas endormis du tout et j'étais dans de bonne condition aussi, dans le noir avec le casque.
Par contre je m'autorise un petit truc de psycho, les gens en général retienne plus facilement les chose qu'ils n'aiment pas que les bonnes choses. Je n'est dit qu'une seule fois que j'avais du mal à reconnaître les personnages dans Ju-On, j'ai même bien spécifié que c'était la première fois, mais ça y est tu as par défaut enregistré que c'était systématique Pour imager, sur un champ de mille fleur blanche tu ne retiendras que l'unique fleur rose.
Bon après vue ce que tu dit, c'est peut-être moi qui est un soucis, vue que je n'est pas du tout aimé le Ring original. Je me suis fait chier comme rarement, j'attendais la peur, mais y'avais que dalle.
Au final j'ai quand même préféré Ju-On à Ju-On The Grudge niveau terreur. J'ai les numéros 2 donc je vais me les passer aussi, en espérant avoir un décline ou/et la trouille quand même.
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Snake_Pliskin dit : Bon après vue ce que tu dit, c'est peut-être moi qui est un soucis, vue que je n'est pas du tout aimé le Ring original. Je me suis fait chier comme rarement, j'attendais la peur, mais y'avais que dalle.
Effectivement. Le premier Ring de 98, c'est quand même le haut du panier. Une tuerie absolue. Tu ne dois pas être réceptif aux cheveux noirs, longs et gras. Ça arrive, pas grave, et pas besoin de se flageller pour autant. On ne peut pas tout aimer.
Haddock, je comprend mieux. Il parait que le remake du premier Ring est pas mal en effet, mais ça me branche pas du tout de le voir. C'est comme le remake de Morse, je snobe royalement, et n'ai pas envie de phagocyter ma vision de l'oeuvre originale par une copie édulcorée avec des américains nourris au grain.
Je me range du coté de Snake_plissken en étant plus radical. The ring, the grudge je les ai vu en version original. Ces films m'avait laissé complétement hermétique. Cette histoire de fantome aux cheveux noir, long et gras qui sort d'une télé comme tu dis ça me laisse froid.
J'avais aussi essayé le différent Dark Water, en version original, pareil. Je me souviens d'un film vaguement "mouillée" mais c'est tout. Impossible de me souvenir d'une seul scène tant le film m'a marqué...
Et je pense qu'un revisionnage ni changera rien, c'est comme ça, c'est comme ça. Et j'ai vite compris que je n'étais pas le public visé par ce genre de film.