Le Grand Cinéma >> Films Horreur, Fantastique, Sci-fiction VOLUME 15
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Vendredi 30 Octobre 2015 - 21:43:18

@ Jérôme : d'accord avec toi et j'ai toujours préféré l'économie d'explications à trop d'informations lourdingues dans un scénario.

@Horsefucker : faut comparer aussi ce qui est comparable tout de même. Nos attentes différent dans notre appréciation d'un film je crois bien, c'est, pas grave


Vendredi 30 Octobre 2015 - 22:13:51

Ah mais justement Moustre : moi aussi je suis un partisan de l'épure. J'aimerai beaucoup lire Malevil dont j'ai lu une citation qui m'a mis sur le cul. Je la mets :

"Car le paysage, ici, est riant, avec de frais ruisseaux, des prés en pente, de vertes collines couronnées de chataîgniers. Au milieu de ces rondeurs douces, Malevil surgit, farouche et vertical."

Alors, je parle d'un livre, mais le principe est le même. Mais comme il s'agit d'un cadre plus globalisant encore, faut qu'il soit bien montré. Des dialogues et l'intrigue, on peut faire à l'économie.



Vendredi 30 Octobre 2015 - 22:19:00

Les guerriers du Bronx sont surtout inspiré de Warriors (les guerriers de la nuit)



Samedi 31 Octobre 2015 - 01:45:26

Ok, ok, ceci dit, j'aime bien Equilibrium ! Ha, ha !!!



Samedi 31 Octobre 2015 - 17:31:41


citation :
HorseFucker dit :
@ Miskatonic : Je l'ai vu en VO. Je me demande qui double Kurt Russel car Los Angeles 2013 je l'ai vu en VF

Philippe Vincent, doubleur de Kevin Bacon et Val Kilmer entre autre, contre Patrick Floersheim (Michael Douglas, Robin Williams) pour Escape From New York. Merci Wiki.
Par contre t'as beau souligner son nom, Kurt Russell prendra toujours deux L.


citation :
HorseFucker dit :
État dans l’État ? Tu parles des flics ou de la ville ? Si c'est la ville, non. C'est une tribu, des marginaux rejetés dans un no man's land. Et ça remonte aux Westerns d'Howard Hawks.

Des marginaux dirigés par un "Duke" assisté de subalternes et autres adjoints dans un système dictatorial pyramidal où les prisonniers édictent leurs propres lois sans influence extérieure autre qu'un mur gardé par des matons. Ouais, no man's land, pourquoi pas. C'est mieux qu'état dans l'état, c'est vrai.

Furya : concernant Les Guerriers du Bronx, bien vu pour l'influ Warriors en plus de celle de Mad Max, mais dans un contexte post apo très inspiré de celui de NY 97.



Samedi 31 Octobre 2015 - 17:46:15


citation :
HorseFucker dit :



JOHN CARPENTER - New York 1997 (1981).

En fait, il est très bien si on n'a pas connu Los Angeles 2013 avant. Pourquoi d'ailleurs avoir fait ce Los Angeles 2013? C'est à peine une suite correcte et en plus on a une histoire quasi identique.

Sinon les Guerriers du Bronx c'est effecticement un très gros nanard. Des flics en tenue moulante, parfois montés à cheval avec des lance-flammes, nazis en tenues de hockey. C'est un bordel indefinissable. Vraiment très fun le premier volet en tout cas. ^^



Samedi 31 Octobre 2015 - 18:53:15


citation :
AlonewithL dit :
En fait, il est très bien si on n'a pas connu Los Angeles 2013 avant. Pourquoi d'ailleurs avoir fait ce Los Angeles 2013 d'ailleurs? C'est à peine une suite correcte et en plus on a une histoire quasi identique.

Au départ ce devait être une vraie suite, mais cela s'est transformé petit à petit en remake lors de l'écriture du script de l'aveu même de Carpenter et Kurt Russell. Un film plein d'auto dérision que je n'ai jamais pu apprécier de mon côté.



Samedi 31 Octobre 2015 - 20:56:14

et jamais pu blairer du mien



Lundi 02 Novembre 2015 - 09:32:47


Cloud Atlas

J'avais peur que ce soit trop brouillon, vu les critiques récurrentes, et de ne pas aimer pour ces raisons, mais je crois surtout que beaucoup n'ont rien compris...
Pourtant, mis à part quelques symboles et clins d'oeil pouvant passer à la trappe vu que le film est tout de même riche (c'était déjà le cas dans "Matrix" et ses symboles à chaque coin de plan...) et long, ça m'a globalement paru assez clair. Allez, peut-être pas limpide vu que j'ai dû cogiter avant de savoir si les Wachowski et leur acolyte sur ce film voulaient faire passer un Message ou simplement établir un constat, mais il y a évidemment un message. Et c'est le même que dans "Matrix", ou plus généralement que dans beaucoup de films de S-F.

Alors, son principal problème vient de l'excellence de son concept. 6 histoires séparées par les siècles mais liées les unes aux autres par des détails dans la forme et un combat dans le fond, le tout étalé sur 165mn, faut se le farcir le "Cloud Atlas". Mais c'est bien raconté, les liens se font doucement, la BO est merveilleuse, et globalement je trouve le fond assez juste même si on peut toujours débattre sur des détails.
De la bonne S-F, qui rend inédites 6 histoires banales et déjà vues (au cinéma ou dans le récit en général) en les exposant d'une manière qui sort de l'ordinaire. C'est ça aussi, "bien raconter"...



Lundi 02 Novembre 2015 - 19:04:37


Cloud Atlas, j'avais bien accroché. Je trouve l'histoire plutôt simple à suivre car bien amené. c'est certain qu'on ne saisi pas tout au bout de 5 minutes mais au fil du film les choses prennent place sans avoir besoin de faire d'effort intellectuel.

Sinon dans le genre long et potentiellement "chiant" Interstellar. Pourquoi potentiellement "chiant" car j'ai mis du temps à me motiver pour voir ce film car c'est ainsi que je le percevais à sa sortie: long, chiant, mou. Bref à fuir.

Partant de là, je ne pouvais qu'être agréablement surprise ce qui fut le cas. Certes c'est long mais là où dans certain film, on se dit:" ils auraient pu en couper 20 minutes ça n'aurait rien changer", ici je n'ai pas eu cette sensation. C'est long parce qu'il est nécessaire que ça le soi pour assoir l'histoire, les personnages, amener le dénouement et conclure. A aucun moment je ne me suis ennuyée, j'ai été complétement happée par l'histoire.
Là où j'ai commencé à devenir plus chonchon c'est quand il passe de l'autre côté et bien évidement cette fin bon sang de bois. Mais là, je crois que je vais devoir me faire une raison et me rentrer dans le crâne que quelque soit la qualité du film, il y aura toujours cette tentation de finir sur un happy End de m***e à la Walt Disney.