... Je sens la nuit blanche arrivée, merci beaucoup !

EDIT : Je viens de me rendre compte que j'avais déjà vu un des films des réalisateurs, Alone dont j'avoue ne plus me souvenir des masses...

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Parfait je vais regarder ça merci et clair que t'allait aimer le Jigoku !


Je savais pas qu'il y avait eu un remake.. bon film ?

Même si ça fait longtemps maintenant que je les ai vus Ring et Dark Water, j'en garde un souvenir pas du tout impérissable, même chiant pour ainsi dire.
J'avais trouvé ce réalisateur bien surestimé, alors si en plus tu Dis que le reste de sa filmo ne vaut pas le coup...
Donc voilà, à bon entendeur pour ceux qui ont des velléités d'achat.

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Made it, Ma ! Top of the World !

A droite les brebis, à gauche les chèvres

Let's Go Celtics - RIP Bill Russell

Rha ce plan de ouf rapport à l'année. 1960 quoi, l'année de La Dolce Vita, 3 ans avant le Blood Feast de Herschell Gordon Lewis. J'ai été surpris.

Concernant le remake, il est de Teruo Ishi, capable de faire du bon, mais aussi du très mauvais. Pas encore vu, mais le film ne dispose pas d'une réputation avantageuse.

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Ah oui Blood Feast j'adore ! Wizard of Gore aussi est très bien inspirant plein d'autres Blood Sucking Freaks bien tordu à venir.

À voir donc pour le remake de Jigoku, merci pour ta réponse.

Fuad Ramses avec ses cheveux bleu/gris zarbis et ses gros sourcils de la meme couleurs que ses cheveux AHAH

Et cette musique zarbie au synthé

Kuroneko (The Black Cat)

Réalisé en 1968 par l'un des acteurs de la nouvelle vague japonaise, le grand Kaneto Shindo, déjà auteur du célèbre et cultissime Onibaba, ce Kuroneko emprunte beaucoup à ce dernier et narre le combat d'un homme contre deux femmes vengeresses transformées en spectres qui ravagent le rang des samouraïs desquels elles ont juré la perte. A l'instar d'Onibaba, Kuroneko est un film profondément féministe et atmosphérique, à la beauté plastique absolue, et à l'orientation contemplative indéniable. Le N&B est sublime, la photo spectrale, et chaque Apparition est un tour de force visuel. On nage dans un sur-réalisme fantomatique et ténébreux où chaque être glisse au milieu de volutes de brume inquiétantes, au coeur d'une forêt de bambous délétère ou dans les ruines d'un temple maléfique. Economie de dialogues, tempo ralenti, cinématographie fabuleuse et aérée, la réalisation se montre extrêmement précise, sensuelle, douce et vaporeuse. Le Kung-Fu en moins, j'ai beaucoup pensé à Histoire de Fantômes Chinois de Ching Siu Tung (1987) qui peut se voir comme une réponse hongkongaise grand spectacle à ce Kuroneko, Triste et mélancolique.

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Un Cri Dans L'Océan

Divertissement avec des poils plus marrant qu'une comédie ricaine de merde. Et, pour l'époque, je salue les fx franchement pas mal voire parfaits sur certains plans. Quant au feu d'artifices final, je crois qu'il avait gagné un prix à l'époque. Très bonne BO, répliques qui tapent, acteurs qui s'amusent, si tous les films de ce genre atteignaient ce niveau... Le temps où on pouvait frissonner, rire, et jubiler d'une scène à l'autre.
Moi, j'adore.

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Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
Non ! non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !

Je confirmes, très sympa en effets avec son lot de passages chocs et des fx très bons, d'ailleurs pour la BO c'est pas le meme mec qui a fait celle de La Momie par hasard? Vu que c'est aussi Stephen Sommers (le réal de ce Un Cri...) qui a réaliser La Momie un an apres