Pas envie non, et il n'était pas terrible du tout en effet.


Je ne suis pas contre, tant que Depp peut jouer Sparrow puisque j'adore ce qu'il a fait du personnage, mais qu'ils le fassent bien quoi...

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Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
Non ! non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !

Sur les deux premiers j'appréciais son jeux d'acteur, le troisième ça commençais à tourner en rond et le pire c'est encore dans le "4ème".

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La longue scène où il perd les pédales dans l'antre de Davy Jones, c'est d'un chiant...

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Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
Non ! non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !

C'est la scène avec les galets crabes dans le troisième?

Je sais pas pourquoi à chaque fois je repense à Matrix quand Néo es perdu aussi. Pas de lien particulier si ce n'est que je suis perdu et je m'ennuie.

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Oui...

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Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
Non ! non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !

3 Extrêmes

Film regroupant 3 moyens-métrages de Fruit Chan, Park Chan-wook et Takashi Miike et ayant pour thème principal l'horreur. Hong-Kong, la Corée et le Japon s'associent ensemble pour envoyer un pâté crade et horrifique dans la face. Et putain, ça envoie. La première histoire, réalisée par Fruit Chan, raconte la quête d'un ancienne gloire de la télévision afin de retrouver sa beauté juvénile et ainsi reconquérir son âme. Esthétiquement le plus Gore de tous selon moi, une belle réussite qui se permet d'ailleurs une belle critique de la société chinoise et des dérives actuelles de celle-ci.

La seconde histoire, réalisée par le cinéaste coréen, raconte le calvaire d'un réalisateur aux prises avec un détraqué le forçant à assassiner une gamine au risque de couper les doigts de sa femme, pianiste, toutes les 5 minutes. Esthétiquement ultra bien foutu, et puis Byung -Hun Lee ! Un style gore/burlesque propre au réalisateur, avec ses scènes ultra violentes couplées à des passages complétements décalés. Bien kiffé perso, une mise en abyme de l'univers du cinéma. Même si faudrait que je le remate car pas bien saisi le final.

La troisième histoire est ma favorite, l'histoire contée par Takashi Miike se promène entre onirisme et réalité, au point où il en devient presque impossible de les distinguer. Une réalisation parfaite et une superbe photographie. Le segment le moins Gore (pas Gore du tout même) mais le plus énigmatique et fascinant.

Au final, une anthologie à regarder, une très bonne surprise pour ma part.

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Les Dents De La Mer

Je l'aime bien ce film malgres le fait que je n'irai pas jusqu'à le qualifier de chef-d'oeuvre comme il l'a été à sa sortie, j'aime la tronche du requin quand il apparait, il est tres imposant (voir la scene quand Quint se fait bouffer ou encore la scene de la cage)meme si à mon gout celui du deuxieme l'est un peu plus. D'ailleurs à ce propos les mecs en on chier grave sur le tournage, la "marrionette" du requin n'arretait pas de se briser et d'autres trucs aussi, un calvaire.

Il s'agit là de la version remasterisée et je suis un peu déçu, La musique d'intro (culte) a été un peu modifiée et l'image aussi, trop éclairée serieux, on le voit surtout lors des passages de nuit (la scene d'intro, sur le bateau, ou lorsque les deux pecheurs tentent de pecher le requin avec un gigot comme apat) ça enleve le coter peur du truc je trouves

Clairement un des meilleurs Spieberg pour moi

Faudrait que je regarde les suites, j'ai vu que celui là. Elles valent le coup ?

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Le belge est lourd certes, mais il est franc. Alors que quand le franc est lourd, c'est qu'il est suisse.

L'intelligence c'est le Seul outil qui permette à l'homme de mesurer l'étendue de son malheur.

Le deux es une suite sympas, on retrouve les acteurs du 1er.

Le 3ème commence à puer, mais ce laisse regarder.

Le 4ème es à la limite du nanar.


Je n'est pas cette fin la moi, le requin explose à l'impact.

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Oh putain!!!

Sinon:


Driller Killer


Reno, peintre paumé vivant avec sa compagne dans un apart sordide dans les quartiers mal famés de NY à du mal à joindre les deux bout, de plus l'arrivée d'un groupe de punk venu répéter ne va pas arranger les choses.
Ne pouvant plus supporter la pression du quotidien, Reno fini par craquer. Armé d'une perceuse il se lance dans des escapades sanglantes en tuant ceux qui se trouvent sur son chemin.

Premier film d'Abel Ferrara (qui incarne aussi le role principal) sorti en 1979 et interdit pendant 20 en Angleterre.
C'est destroy niveau ambiance et image, le New York ici est sale et desespéré avec ses punks, ses clodos, ses tags, ses immeubles insalubres et ses tracas du quotidiens. Le personnage de Reno à une tronche et une dégaine pas possible à l'image de ce que j'ai énoncé plus haut.