| Miskatonic dit : Comme ça peut l'être également de Doom ^^ |
) et a plutôt un budget moyen. Ca n'empêche pas le film d'avoir fait de la merde ceci dit.
faudrait l'envoyer dans les arènes de Béziers où Bayonne tiens! ça calmerait les ardeurs des pantins en collants rose
| Miskatonic dit : Il est pas mal ce Isolation, tendu et assez réaliste. Bonne vision. |
| DocteurBenway dit : pas mal Isolation en effet. @ le moustre > oui la fin est bien, sans pitiée. Du coup on y repense. |
Miskatonic dit : Byzantium Second film sur les vampires de la part de Neil Jordan, après le superbe Entretien avec un Vampire, Byzantium se distingue des films traditionnels du genre par sa dimension auteurisante assumée, sa vision moderne du mythe tout en respectant certains de ses codes et son côté allégorique dans lequel on retrouve avec plaisir la patte du réal de La Compagnie des Loups. Tour à tour élégant, subtil et touchant, le réalisateur irlandais met en scène un joli film sur le pouvoir de l'amour, de l'immortalité et propose une certaine vision nihiliste du monde, dotée d'une moralité qui lui est propre, désespérée et mélancolique. La grande force de Byzantium ne tient pas dans sa narration complexe faite de flashbacks et de mélanges d'époques, mais dans son duo féminin irrésistible et invincible. Gemma Arterton est sublimissime et immensément sexy tandis que Saoirse Ronan, qui crevait déjà l'écran dans Grand Budapest Hotel et Lovely Bones, illumine et touche le spectateur à chacune de ses apparitions. Le film rencontra un tel échec commercial dans le monde qu'il n'eut même pas les honneurs d'une sortie salle par chez nous, laissant les pauvres spectateurs que nous sommes devant des sagas vampiriques boutonneuses et édulcorées. Byzantium rappelle Morse par sa poésie sinistre et désabusée mais n'en atteint tout de même pas la force et la puissance émotionnelle. |