Oui mais ça on pouvait le remarquer avec les 4 films Alien, donc si Prometheus n'a que ça à confirmer et que tout le reste ne vaut rien... Putain, c'est tuant parce que dans un sens ma curiosité me force à le voir mais mon amour des Aliens me dit le contraire afin de pas être déçu encore plus de Ridley Scott. Peut-être un jour... Façon, il y a un 2 qui est prévu en 2016, je sais pas jusqu'où ça ira. S'il veut lancer une nouvelle saga...

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Pour ma part j'ai adoré Prometheus du début à la fin, et j'ai entendue parler d'une trilogie avant même la sortie de ce dernier, après je dit sa je dit rien, je n'est pas chercher à vérifier depuis.Je ne trouve pas qu'il entache la saga Alien, il plane trop de mystère encore sur cet unique film pour dire si cela entachera Alien ou pas.


Sinon je viens de finir Hellraiser 2, encore plus barré que le premier, plus complexe, j'avoue ne pas avoir tout compris et à 1h50 du mat' j'ai plus envie de réfléchir, donc je vais juste dire que je suis déçus de ne pas avoir compris ce film. En tout cas le réalisateur es un grand malade^^

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Fallait pas trop parler d'Alien les gars...

Giger est mort...

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Come at the King, you best not miss.

Une trilogie, sais pas, un diptyque, oui, c'est prévu depuis le début, encore fallait-il que Prometheus convainc au Box Office, ce qui n'a pas été forcément le cas. Malgré ses défauts, ses nombreuses imperfections, ses quelques maladresses et ses mauvais choix de mise en scène, j'ai très largement aimé ce film, mais adorant l'univers d'Alien, il m'est très difficile d'être objectif. Toujours est-il qu'au cinoche, j'avais la bouche ouverte et j'ai pris un pied fou à retrouver l'ambiance du premier film.

Concernant Hellraiser II, oui, c'est un film de taré, et le voir en version cut n'aide pas à sa compréhension. ^^

Arf, Giger, dommage... Sacré type, une oeuvre colossale derrière lui, aussi marquante qu'influente.

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Arf, j'ai parlé sans savoir. Merci pour l'info.

Petit mot de Tom Gabriel Warrior publié à l'instant sur le Facebook de Triptykon à propos de Giger :

For the first time in 74 years, last night was a night not illuminated by the indescribable light that was H.R. Giger.
H.R. Giger became our mentor, against all odds, when we, somewhat
audaciously, first established contact with him some 30 years ago. At a
time when almost everybody ridiculed, ignored, or even obstructed the
music the then almost completely unknown Swiss underground band
Hellhammer was creating, Giger listened to us, talked to us, and gave us
a chance. Not least at a time when he was at one of many peaks of his
path. A little more than a year later, his exceptionally stunning
art made what might be one of Celtic Frost's most important albums, "To
Mega Therion", even more significant. Other links to Giger's Universe
also manifested themselves, almost as if it was predestined.
Eventually, after many more years, the mentorship became a friendship.
It was a friendship and a personal connection I valued infinitely, and
it also included his wonderful wife, Carmen, and many other remarkable
people that were part of his circle. When Celtic Frost came to an
End so acrimoniously in 2008, H.R. Giger and his wife were among those
who witnessed my uncontained Despair and stood by me. That Giger
subsequently agreed to collaborate with my new group, Triptykon, and
thus enabled us to release our first album, "Eparistera Daimones", with
one of his most dramatic paintings on the cover meant the world to me.
It apparently pleased Giger, too. He told me so on several occasions,
and he completely stunned me in October 2011 by proposing that we
continue the collaboration between him and Triptykon. I would have never
asked for such a thing, because I never would have Wanted to appear
insatiable. He brushed such reservations aside, and it was his
mentorship, friendship, and art that enabled us, once again, to release a
second album on which music and cover art formed a seamless symbiosis.
Only a few weeks ago, he held the result in his Hands and loved it.
Regardless of anything I may write about H.R. Giger, however, NoNe of
these words will Ever be able to Truly, accurately describe him as a
person and as a friend. It is utterly inconceivable to imagine a world
without his wit, his perception, his Genius, his horizon, his
determination, his humour, his friendship, and his immeasurable
kindness. And yet, we are now left in exactly such a world. Tom Gabriel Warrior for Triptykon, May 13, 2014

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Miska, Miska mon petit, quand tu parles de retrouver l'ambiance du premier film, tu parles du premier Alien? Si oui , où mais où as tu, dans Prometheus, retrouvé l'ambiance du premier Alien? Non mais clairement là je ne vois pas. Y a pas de suspense, il y a rien,  de rien, de rien. Nous sommes sur le qui vive car nous savons que c'est rattaché à la saga Alien alors on attend le truc qui va nous scotché, effrayé, surprendre ou ce que tu veux mais au final nada, walou, des prunes, le vide intersidéral.

En plus le coup du grand vaisseau extra terrestre ça m'a fait terriblement pensé au final d'Indiana Jones IV.

Disons qu'il attise la curiosité et qu'au final on attend une suite pour voir si elle sera moins poucrate et vraiment innovante et époustouflante en bref à la hauteur de la saga. Parce qu'avec Alien, tu n'attends pas du pas trop mal ou du plutôt bien mais du lourd de chez lourd.

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Merde je viens de l'apprendre.. Putain, à cause de blessures dues à une "chute", c'est triste...

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@Miska: Ta réponse a disparue quand j'ai voulu envoyé la mienne. Tu n'as plus qu'à la réécrire



*Ci-gît un très long Message de Miskatonic diaboliquement effacé par votre impératrice.

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Je Dis Sabotage !!! Pendons là !

Rhaa, la la, j'avais écrit un pavé, et au lieu de me quoter, tu as édité à tous les coups, ha ha, je suis à chaque fois à un doigt de faire cette boulette quand je quote les copains.

Bon, trop la flemme de refaire mon argumentation dé-tai-llée.

Parlons d'autre chose ^^

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Ca s'appelle la censure mon garçon

Oui il y a de grande chance que se soit ça. Dommage c'était une fort belle réponse très dé-tai-llée pour en arriver à la conclusion que si tu n'étais pas une groupie qui a le poil qui se hérisse et la truffe au vent dès qu'il voit le nom Alien, ce film est une cata sur patte. J'ai beaucoup aimé Ton "il y parvient ... un peu" 

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