citation :megalex1986 dit : Dans The Descent, la transformation est si directe et brutale que la sauce n'a pas pris pour moi. 'Fin bon, question de point de vue comme toujours. Par contre le 2, jamais vu. |
Le 2, je le déconseille à tout le monde, sauf à mes pires ennemis.
Premièrement, c'est la suite de la
version américaine de The Descent, qui je le rappelle est un film britannique. En Europe, nous avons donc pu voir la version validée par le réal avec la fin que l'on connait. Les américains ont squizzé l'épilogue qu'on taira ici pour ne pas spoiler le film à ceux qui ne l'ont pas vu, et ont préféré un happy
End débile. The Descent 2 commence donc où termine la version US de The Descent.
Deuxièmement, The Descent 2 est un film opportuniste dans le sens où il ne fait que répéter en démultipliant de façon ridicule tous les moments chocs du 1er jusqu'à l'overdose complète.
De plus cette séquelle fait tout ce qu'il ne faut pas faire et tombe dans tous les pièges si brillamment évités par Neil Marshall. Pour ne citer qu'un
Seul exemple, prenons celui de la photographie : dans le 1er film, il y a eu un énorme travail de lumière puisque la film donne l'impression d'avoir été éclairé avec les seules sources lumineuses contenues dans le champ. Les perso sont éclairés par une
Torche, un flare, une lampe frontale, une phosphorescence sur les murs, une flamme, bref, chaque source de lumière est justifiée dans le scénario et est présente à l'image. Exit donc les plans à la con où l'on peut distinguer le moindre détail de l'environnement dans une grotte à priori d'une obscurité absolue. Je ne sais pas vous, mais moi ça m'a toujours gavé les movies où des lieux censés être en totale pénombre sont éclairés par une source de lumière injustifiée. Cela désamorce tout sentiment d'insécurité et ne participe pas au réalisme que l'on aimerait voir pour éprouver un sentiment de peur. Je n'aime pas sentir les projecteurs de l'équipe, les réflecteurs de lumière tout près de la gueule des comédiens. Dans le film de Marshall, le noir est omniprésent et entoure constamment les personnages, ce qui bien sur participe au sentiment d'oppression et de peur irrationnelle des protagonistes mais en plus ne permet pas au spectateur d'anticiper d'où peut provenir le danger. Et ça, ce fut la recette secrète du réal The Descent, et qu'on ne retrouvera
jamais dans sa suite merdique.
citation :Docteure dit : j'ai pas trop aimé the conjuriing...même si je dois l'avouer pas mal de choses ont fonctionnées sur moi...à mes dépens. Pas mal de choses m'ont énervé, j'y ai vu un gros melting pot d'amytiville et de pas mal de choses. Après comme j'ai Dis certaines ficelles ont diablement bien fonctionnées alors que mon cerveau luttait pour ne pas tomber la dedans. Donc foiré en ce qui me concerne. Mais de peu......... |
Amityville fut une grosse source d'inspiration pour James Wan, et comme j'ai déjà du le dire sur un autre post, le couple d'enquêteurs du paranormal de Conjuring a bossé sur l'affaire d'Amityville au moment des soit disants phénomènes inexpliqués. Enfin, c'est ce que j'ai lu, ça peut être faux évidemment, mais ça peut aussi expliquer les grosses similitudes entre les deux films.
Et au final, tu sembles avoir apprécié quand même Doc.