ShubNiggurath dit :
Mouais... ça se discute, je suis moins catégorique que toi. A mes oreilles, la dominante est encore du Thrash sur ce disque.

Ca restera l'éternel débat concernant ce "Seven Churches". Perso, j'y vois là les prémices du Death, mais je comprends que l'on préfère le ranger dans le Thrash, étant donné les sorties plus radicales qui ont suivi. En tous cas, je continue de me buter avec et ça reste un de mes skeuds préférés tous genres confondus.

Ravager - Naxzgul Rising

Deux scandales à propos de cet album. Le premier, c'est qu'il est sans suite. Le second, c'est qu'on le trouve un peu partout pour seulement 3 ou 4 balles. Alors que c'est une tuerie subatomique ! Krisiun meets Angelcorpse, sans oublier une bonne dose de Morbid Angel. Evil, supraluminique, le top du brutal death mexicain. Toujours un plaisir. Pas loin d'être ultime.

Meathook - Facing Deformity

En provenance des states, voici Meathook, c'est court, intense ça blast, le growl est addictif et ce n'est pas là pour parler de belles choses...Bref du lourd

Taphos - Come Ethereal Somberness

Bon skeud des Danois, un death sombre et violent qui ressemble parfois à Verminous avec son côté épileptique et les mélodies pernicieuses bien vicelardes. La scène Danoise revient en force et en forme.

@Infestuus:

Connais pas, mais c'est ma came ce genre de skeud...J'vais aller voir ou je peux trouver ça.

Death - Leprosy (1988)

Un album gigantesque avec lequel j'ai fait connaissance en 1993, lors d'une beuverie dans un squat de la Rue du Chemin Vert, à l'époque ou je vivais à Paris et qui depuis ne me quitte plus...Culte!

Fixation onsuffering - Confined in obscurity

Une nouveauté qui vaut le coup, avec du beau monde, on sent que ces types là on de la bouteille pour nous délivrer un Brutal Death aussi puissant que mature. A la fois lourd (à cause de la prod), et véloce, ils ont ils ont mis la barre très haut, et il sera dure d'aller les chercher en 2018;

Deeds of Flesh-Path of the Weakening

J'aime tout Deeds of Flesh mais celui-ci est mon préféré. Et j'ai toujours été subjugué par la pochette.

Raw - The persecute heinous

Projet annexe d'un membre de Gerogot et Brain damage, Raw n'y va pas par 4 chemins, son seul le but étant de nous détruire la gueule, de nous réduire à l'état de viande...

  Quel come back, un album de fou furieux, propageant des rythmiques épileptiques contre balancé par une maitrise totale. Y'a pas à tortiller du cul, ça bute! ...Puis ces vocaux d'un autre monde...juste pure jouissance!

Sale, gore, ignoble pour certains, moi je jouis.