Bolt Thrower : Realm of chaos

quel rouleau compresseur pour l'époque !!!!!!

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On n'a rien inventé de mieux que la bêtise pour se croire intelligent.

Je n'appréciais pas trop à l'époque , notamment cet album , j'apprécie seulement maintenant , mieux vaux tard que jamais.

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If you live by The Sword, you Die by the sword.

Coffins - Ancient Tortute

Principalement low tempo, bas du front, gras comme un porc à 1€ le kg
Du très bon Death Doom

Comme quoi chacun ses goûts, car moi c'est complètement l'inverse : je préfère celui-ci et War Master aux suivants....., et en live, c'est de la tuerie.......

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On n'a rien inventé de mieux que la bêtise pour se croire intelligent.

Torture Division - Through the Eyes...
 
Toujours la meme recette avec ces Suédois mais c'est tellement jouissif . Comme Coffins deux posts au dessus c'est gras mais ça blast sévère par contre .

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Tiamat - Clouds

Ma première impression s'est révélé plutôt fausse au fil des écoutes.

Je suis loin d'en être déçu finalement, un death à relent doom malgré quelques accélérations bien sympas avec une double assez rare mais judicieusement utilisée.

Surtout, c'est le côté atmosphérique qui me séduit, bien servi par les claviers et le chant qui oscille entre suave et plus énervé. Un titre comme A Caress Of Stars en est le parfait exemple.

Les guitares sont bien présentes aussi, soit avec de fines mélodies ou des riffs plus lourds.

Deicide - To Hell with GOD

vieux motard que jamais.

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Feral - Dragged to the Altar
 

 
Première écoute. Sacré mélange: du Blackened Death'n Roll en gros (sur les premières pistes du moins, en cours d'écoute). A noter l'influence d'Entombed. 

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Comme eulmatt, "To Hell With God" Deicide, petite tuerie!
 

Décidément c'est la journée Deicide aujourd'hui, je viens d'écouter le To Hell With GOD

Il passe mieux qu'au début en tout cas, il contient son lot de bonnes chansons (How can you call yourself a GOD, Hang In Agony, l'éponyme) mais reste en dessous de mes attentes, dommage.

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Et le corbeau, immuable, est toujours installé, toujours installé sur le buste pâle de Pallas, juste au-dessus de la porte de ma chambre ; et ses yeux ont toute la semblance des yeux d’un démon qui rêve ; et la lumière de la lampe, en ruisselant sur lui, projette son ombre sur le plancher ; et mon âme, hors du cercle de cette ombre qui gît flottante sur le plancher, ne pourra plus s’élever, — jamais plus !