Entrails - The Tomb Awaits

Swedeath bien gras qui passe comme un lettre à la poste ! Mon préféré des suédois pour sur ! Tiens par contre j'ai pas écouté le petit dernier, il vaut quoi ?

Immolation - Failures for Gods

Révission pour le Fall Of et c'est un régal cet opus avec des titres comme No Jesus No Beast, God Made Filth et The Devil I Know et son final terrible ! Vivement le FoS !

Allez pis un petit Azarath - Demon Seed avant de se coucher !

C'est lui a écouter en priorité d'Azarath ?

Pour Entrails je crois qu'Armel en a causé il y a peu.

Diabolic Impious Evil, Jérôme.

Screamin' Death fuckin' Metal Legion !!!!

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Gorguts - Considered dead (1991)

Ce  "Considered dead"  fait partie des albums qui m'ont appris à aimer le death metal.

Privilégiant les ambiances angoissantes et étouffantes à la vitesse à tout crin, cet album emporte l'auditeur dans un tourbillon de violence et de noirceur.

Plus de 25 ans après, la magie (noire) opère toujours.

Cannibal Corpse - Evisceration plague (2009)

Un bon Cannibal Corpse, pas au niveau des références "Butchered at birth", "The bleeding", "Vile", "Gallery of suicide" ...  (bah mettez leurs six premiers albums finalement) mais qui contient son quota d'agression sonore.

Et puis un Cannibal Corpse correct ce sera toujours bien au dessus d'un paquet d'autres, non ?

No Return - Contamination rises (1991)

Tout est loin d'être bon dans la disco de No Return, mais ce "Contamination rises" sort du lot avec ses sonorités death, ses ambiances malsaines et au final une belle force de frappe.

Azarath - Praise the Beast

Un peu moins déboulonnant que son terrible prédécesseur, mais ça reste néanmoins excellent. Ambiance diabolique et passages blastés qui défouraillent. Juste, un peu moins de moments d'accroches que Diabolic Impious Evil, le sommet de la première partie de carrière du groupe.

Vomitory - Revelation nausea (2000)

Bien avant Cut Up, il y avait déjà ça : un gros death vindicatif et destructeur qui, malgré son origine suédoise, s'inspirait plutôt du death US.

Ce "Revelation nausea" ne laisse aucun répit à l'auditeur (hormis peut être le début du terrible "When silence conquer"), le tabassant sans cesse et le laissant ressortir de ces 40 minutes d'écoute lessivé, broyé et détruit.

Immolation "harnessing ruin"

Disons que je passe de failure for gods a celui là, c'est assez surprenant le groove qu'ils ont su insufflé dans leur death entre temps, pas désagréable mais ils perdent de leur spontanéité ce qu'ils gagnent en accessibilité. La title track est juste une tuerie par contre.