Earthcry - Where the
Road Leads (
2012)
Intéressant en effet. Chaque chanteur a, une fois de plus, un rôle bien à lui et les échanges vocaux n'en sont que plus importants lorsqu'on se penche un peu sur les textes.
Un concept sur les expérimentations, les expériences surnaturelles et la folie (Oliver
Hartmann "jouan" un vieil homme d'un asile, Damian Wilson un docteur vaudou..).
Musicalement, on est vraiment dans le
Power prog italien, à la production tranchante et très clair, les riffs et la technique très fluide l'accompagnant, entre
Labyrinth,
Secret Sphere et
DGM (Diego Reali et Simone Mularoni étant derrière les guitares, tout comme Mark Basile au chant).
Bref, ça semble très bon, peut-être un manque d'impact immédiat, mais on verra avec le temps.
Le livret est également très fourni, avec un prélude expliquant le concept, beaucoup de photos, et l'intégralité des textes présentés avec les différents chanteurs (comme dans
Avantasia). Du bon
Welcome to the Desert of the Real