>Salut à vous deux de La Division Mentale ! A la base le projet était personnel à Cypher je crois, rejoint seulement récemment par Mriik. Peut-on commencer lentretien par une explication des premières heures du projet ?
C: Pas grand chose de transcendant sur les premières heures. Juste lenvie de mélanger deux univers pour expérimenter de nouvelles sonorités et apprendre à utiliser tout ce foutoir de mao et de hardwares. De cette période, seuls 3 titres ont subsisté : la démo 'Syndrome', le reste est passé à la trappe. Cest à partir de cette démo que sest composée lidentité LdM. M: Le projet a fait son apparition en 1998, cest là que Cypher a sorti sa première et excellente démo 'Syndrome' qui, je dois lavouer, a dû être considérée comme très avant-gardiste pour lépoque. Une sorte de death-indus brutal jusqualors inédit. Je nai intégré le projet quau début de lannée 2006 en tant que chanteur. Cypher soccupe de tout le reste : musique, arrangements, textes et mixage.
>Musicalement, LdM évolue aujourdhui dans une espèce dhybride avant-gardiste entre black-metal et electro-indus qui ne va pas plaire à tout le monde. Pourquoi cette envie de faire rimer ensemble ces deux univers ?
C: Jévolue sur les deux scènes depuis pas mal dannées. Donc il me semblait naturel pour ce projet dutiliser tout mon vocabulaire, donc effectivement, ce genre de mélange ne plaît pas à tout le monde, mais LdM est ce que je suis, et je ne suis pas là pour plaire à tout le monde. M: LdM ne va en effet pas plaire à tout le monde, du fait de notre côté expérimental, mais ceux qui apprécient ce genre de démarches artistiques sont heureusement de plus en plus nombreux. On le voit bien avec lintérêt croissant concernant des groupes tels que Aborym, Red Harvest, Blacklodge et dautres encore.
>Cest donc Cypher qui compose seul la musique. Comment procèdes-tu concrètement ? As-tu généralement une idée en tête définitive du morceau sur lequel tu bosses ? Ou alors tel un savant fou reclus dans son labo, ce sont les différents apports en riffs, en manipulations synthétiques, qui vont le modeler ? Est-ce lélectronique qui se greffe sur les riffs Black, ou linverse?
C: Pour 'leXtase des fous', jai composé toutes les parties de guitares dans un premier temps. Tout le reste est venu se greffer ensuite, par strates. Rien na été défini au départ, tout sest fait au fur et à mesure, pour permettre à chaque morceau de trouver sa propre identité. Jaime dégrossir, explorer différentes possibilités, enrichir à linfini et voir les limites du propos. Si la composition dun morceau prend peu de temps, les arrangements prennent des lustres. M: Lorsque Cypher ma fait écouter ses nouveaux titres pour la première fois, jai été fortement impressionné et je me suis dit que les heures de travail ont été substantielles. Sa façon de composer est très différente de la mienne dans le cadre de mes projets solitaires, mais le fait dobserver son propre processus de création a été très enrichissant.
>Comment/où sest déroulé lenregistrement de ce premier album 'leXtase des fous' ? Etes-vous parvenus à restituer le son que vous recherchiez ?
C: Tout nest que bric à brac de home studiste, rien de plus, donc pour le son, je nirai pas jusquà dire quil constitue la finalité attendue, mais plutôt quil est ce que nos moyens nous ont autorisé. Vu le foutoir des morceaux et la volonté davoir un rendu clinique, froid et précis, on a pas eu des tonnes dalternatives. Ça fait trop longtemps quon vit avec cet enregistrement pour ne pas en avoir tiré certaines conclusions, mais lambiance, la cohérence de lensemble, cest véritablement ce que javais en tête, et ce quon avait envie de restituer avec Mriik. M: Oui, tout à fait. Nous sommes habitués à de telles méthodes. Pour tout te dire, jai fait les prises de chant au beau milieu de mon appartement lorsque je vivais encore en France, à laide de mon 8-pistes numérique. Après, le talent de Cypher en tant que bidouilleur sonore bat son plein pour le reste
>Ça sort donc chez Blood Fire Death apparemment. Comment ça sest décidé ? Aviez-vous contacté différents labels ?
C: Bon, on va pas se la
raconter, une quantité de labels non négligeables nen a rien eu à cirer, une autre partie a trouvé lalbum génial mais trop loin de leur ligne de conduite
ou alors la prise de risque était trop grande. En conclusion, sortis des labels UG amis qui lauraient signé pour nous soutenir, seul B:F:D sest manifesté immédiatement en nous donnant de solides arguments.
M: Je tavouerai que le fait de bien connaître Marco de Det Germanske Folket (et qui gère donc aussi la sous-division Blood:Fire:Death) a largement favorisé notre choix. De plus, Twilight Vertrieb est le distributeur principal, on sest dit que cétait lidéal pour lancer LdM, en particulier en Allemagne. Jusquà présent, nous sommes ravis de leur boulot, Marco fait une promo exemplaire, Twilight Vertrieb distribue lalbum un peu partout, espérons que le feedback soit positif par la suite.
>A propos des textes, en français, dont le style est assez poétique et sobre, tranchant bien avec la rugosité musicale. Jai lu quelque part que le processus décriture était fastidieux. Quelle en est la raison, vous recherchez la perfection ? Qui les a écrits ? Est-ce plus facile de bosser sur la musique que sur les textes ?
C: Fastidieux oui ! Voilà une phase qui me prend autant de temps que la réalisation complète des morceaux LdM est en quelque sorte une thérapie musicale, alors dès quil sagit de mettre les mots sur les ambiances... Je pars toujours de choses très concrètes, puis je les noie dans labstraction pour les rendre plus universels, ce qui permet à Mriik de les faire siennes, et à lauditeur de ressentir le propos. Qui plus est, il faut que les mots 'sonnent' aussi en tant que tels, au-delà de leur signification, ce qui nest pas si simple en français. Bref, cest un véritable brainstorming.
>Cest quoi lidée derrière ce sous-titre, cette 'Introspection Létale' ? Pourquoi cette fascination pour la folie ?
C: Cest tout simplement parce que pour lextase, je me suis mis à nu, face à moi-même. Une sorte dintrospection jusquau-boutiste durant laquelle une partie de moi est morte. Jai su tirer la quintessence de mes vieux démons. Cest une sensation plutôt compliquée à expliquer en quelques lignes. Après, je ne me sens pas fasciné à proprement parler par la folie. LdM est très loin de lunivers dun Stallagh par exemple. Ce qui mintéresse, cest beaucoup plus insidieux : la névrose, langoisse, la dépression. Ce qui en découle, comme la claustrophobie, lagoraphobie, le vertige... Toutes ces choses et sensations avec lesquelles tout un chacun doit vivre le quotidien.
>Cest donc toi Mriik (Wolok, Devilish Era, etc) qui chante sur lalbum dans un style féroce. Pourquoi crois-tu que Cypher tait choisi ? Comment as-tu appréhendé ces parties vocales ?
M: Cela na pas été facile. Premièrement, cest la première fois que je suis amené à chanter en français, cest tout con, mais ce nétait pas forcément évident. Par ailleurs, là où mes autres projets laissent une grande place à limprovisation au niveau du placement des parties vocales, jai dû respecter la charpente élaborée par Cypher qui avait déjà tout planifié. Telle et telle phrase se case ici, ce couplet ira là, lossature était prédéfinie dans les grandes lignes. De plus, jai dû madapter au projet dans la mesure où jai opté pour un timbre de voix différent de celui que je développe dans mes autres groupes, je ne voulais pas sonner de la même façon. Enfin, le plus difficile a été dinterpréter des textes qui nont pas été écrits par moi. Cypher a écrit des morceaux très personnels, en particulier le dernier de lalbum 'Le Tout Indivisible', et cest toujours délicat daborder ce genre dexercice. Jappréhendais le fait que Cypher soit déçu par mon interprétation. C: Au-delà de ses qualités de vocaliste, on se connaît bien avec Mriik. Ça me semblait primordial de donner mes textes à quelquun qui voit concrètement ce que je veux dire et donne ainsi une interprétation qui aille dans le bon sens. Jai proposé le job à Mriik parce que ce quil a réalisé vocalement sur le 'Deiphobic Syndrome' de Devilish Era mavait bluffé. Un panel tellement large démotions si humaines, il était forcément la voix qui correspondait à LdM.
>Quelques invités ont
>A propos des textes, en français, dont le style est assez poétique et sobre, tranchant bien avec la rugosité musicale. Jai lu quelque part que le processus décriture était fastidieux. Quelle en est la raison, vous recherchez la perfection ? Qui les a écrits ? Est-ce plus facile de bosser sur la musique que sur les textes ?
C: Fastidieux oui ! Voilà une phase qui me prend autant de temps que la réalisation complète des morceaux LdM est en quelque sorte une thérapie musicale, alors dès quil sagit de mettre les mots sur les ambiances... Je pars toujours de choses très concrètes, puis je les noie dans labstraction pour les rendre plus universels, ce qui permet à Mriik de les faire siennes, et à lauditeur de ressentir le propos. Qui plus est, il faut que les mots 'sonnent' aussi en tant que tels, au-delà de leur signification, ce qui nest pas si simple en français. Bref, cest un véritable brainstorming.
>Cest quoi lidée derrière ce sous-titre, cette 'Introspection Létale' ? Pourquoi cette fascination pour la folie ?
C: Cest tout simplement parce que pour lextase, je me suis mis à nu, face à moi-même. Une sorte dintrospection jusquau-boutiste durant laquelle une partie de moi est morte. Jai su tirer la quintessence de mes vieux démons. Cest une sensation plutôt compliquée à expliquer en quelques lignes. Après, je ne me sens pas fasciné à proprement parler par la folie. LdM est très loin de lunivers dun Stallagh par exemple. Ce qui mintéresse, cest beaucoup plus insidieux : la névrose, langoisse, la dépression. Ce qui en découle, comme la claustrophobie, lagoraphobie, le vertige... Toutes ces choses et sensations avec lesquelles tout un chacun doit vivre le quotidien.
>Cest donc toi Mriik (Wolok, Devilish Era, etc) qui chante sur lalbum dans un style féroce. Pourquoi crois-tu que Cypher tait choisi ? Comment as-tu appréhendé ces parties vocales ?
M: Cela na pas été facile. Premièrement, cest la première fois que je suis amené à chanter en français, cest tout con, mais ce nétait pas forcément évident. Par ailleurs, là où mes autres projets laissent une grande place à limprovisation au niveau du placement des parties vocales, jai dû respecter la charpente élaborée par Cypher qui avait déjà tout planifié. Telle et telle phrase se case ici, ce couplet ira là, lossature était prédéfinie dans les grandes lignes. De plus, jai dû madapter au projet dans la mesure où jai opté pour un timbre de voix différent de celui que je développe dans mes autres groupes, je ne voulais pas sonner de la même façon. Enfin, le plus difficile a été dinterpréter des textes qui nont pas été écrits par moi. Cypher a écrit des morceaux très personnels, en particulier le dernier de lalbum 'Le Tout Indivisible', et cest toujours délicat daborder ce genre dexercice. Jappréhendais le fait que Cypher soit déçu par mon interprétation. C: Au-delà de ses qualités de vocaliste, on se connaît bien avec Mriik. Ça me semblait primordial de donner mes textes à quelquun qui voit concrètement ce que je veux dire et donne ainsi une interprétation qui aille dans le bon sens. Jai proposé le job à Mriik parce que ce quil a réalisé vocalement sur le 'Deiphobic Syndrome' de Devilish Era mavait bluffé. Un panel tellement large démotions si humaines, il était forcément la voix qui correspondait à LdM.
>Quelques invités ont
composé les interludes ambiants. Qui sont-ils ? Ces parties ont-elles été utilisées telles quelles sur lalbum, clé en main ? Ou ont-elles été remodelées une dernière fois par LdM ?
C: En premier lieu, il y a Yan D avec qui je travaille sur le projet Absent. Ça commence à faire quelques années que lon bosse ensemble de manière étroite, donc forcément, lidée de le faire travailler sur 'leXtase ' sest imposée immédiatement et très naturellement. Ensuite, il y a Botchan Karisen, lhomme de Babylone Chaos. Jaime son travail sur BC et javais envie de le confronter à Yan. Deux sensibilités et deux manières de faire totalement différentes Et vu le résultat, je crois que cétait le bon choix. Ils mont livré 4 titres chacun. Ils figurent tous sur lalbum. Intégrer tout cela de manière cohérente a été le dernier challenge. Tenir une narration de bout en bout, créer lunité. Pour cela, certains morceaux ont été très peu retouchés, dautres sont plus méconnaissables.
>Je suis loin dêtre un spécialiste en musiques électroniques, mais certaines sonorités mont fait penser à du Black Lung, à GGFH aussi pour lapport en voix féminines innocentes, voire les géniaux Autechre. Quels sont ceux dont le travail a influencé consciemment LdM ?
C: Consciemment aucun. Jévite absolument de chercher à sonner comme tel ou tel type. Jestime quil y a déjà suffisamment dinfluences qui transfigurent de manière inconsciente. Le seul que je cite explicitement sur 'Le Tout Indivisible', cest Takemura. Je lui ai piqué un sample tiré de son fabuleux remix du génial Steve Reich, sur lalbum 'Reich Remixes'.
>Doù vient cette photo dérangeante qui illustre la pochette du cd ?
C: Cest une photo de mon fils. Tout lartwork a été créé à partir de photos privées. Pour aller au bout du concept, il fallait que je donne une imagerie correspondante, donc personnelle.
>Parles-nous de Guerilla Underground ? Cest quoi exactement : un label, un collectif, une asso ? Quels sont les groupes concernés ?
C: Ecoute, ça fait un bon paquet dannées que jai créé Guérilla, et je crois que je nai jamais su définir concrètement cette structure. Disons que je lai créée pour venir en aide aux groupes UG avec qui javais des affinités. Je produisais bénévolement des démos pour leur donner de quoi démarcher (labels, concerts, etc.). Javais le temps, et ma priorité allait à la scène (soutien des groupes, plus le zine/newsletter, plus lorga de soirées etc.), mais jen suis revenu. Ça a été très formateur, je my suis retrouvé au niveau de lexpérience. Je suis enfin devenu ma principale préoccupation musicale et il était temps. On vient dailleurs de remodeler le site, je te laisse ladresse : http://guerillablog.free.fr qui a fini en petite distro.
>Quels sont les premiers retours concernant la sortie de ce 1er album ?
C: Ils sont bons pour ce qui concerne le 'milieu'. Jattends les retours des structures plus conventionnelles avec impatience pour voir comment il est perçu. M: Pour le moment, toutes les chroniques sont plus quencourageantes, jai été flatté de constater que certaines comparaisons avec Red Harvest soient régulièrement citées. Je suis fan de ce groupe en plus
>Des projets de concerts pour La Division Mentale ? Ou cela restera une expérience studio ?
C: La Division reste avant tout une expérience studio auxquels participent différents laborantins. En même temps, il y a quelques personnes, dont Yan, qui aimeraient maider à faire tourner LdM. Sait-on jamais Mais rien de concret nest à lordre du jour. M: Ah bon ? Tiens, japprends quelque chose en même temps que toi Jean, ah ah, je découvre. Je ne serais pas contre, mais nos emplois du temps respectifs ainsi que nos situations géographiques risquent de compliquer la tâche.
>Voilà de mon coté jai terminé, si vous avez un truc à rajouter. Merci pour les réponses en tout cas.
C: Merci à toi pour le soutien. M: Nous apprécions vraiment lintérêt que tu portes à nos différents projets. Bonne continuation à toi et encore merci. [email protected] myspace.com/ladivisionmentale
C: En premier lieu, il y a Yan D avec qui je travaille sur le projet Absent. Ça commence à faire quelques années que lon bosse ensemble de manière étroite, donc forcément, lidée de le faire travailler sur 'leXtase ' sest imposée immédiatement et très naturellement. Ensuite, il y a Botchan Karisen, lhomme de Babylone Chaos. Jaime son travail sur BC et javais envie de le confronter à Yan. Deux sensibilités et deux manières de faire totalement différentes Et vu le résultat, je crois que cétait le bon choix. Ils mont livré 4 titres chacun. Ils figurent tous sur lalbum. Intégrer tout cela de manière cohérente a été le dernier challenge. Tenir une narration de bout en bout, créer lunité. Pour cela, certains morceaux ont été très peu retouchés, dautres sont plus méconnaissables.
>Je suis loin dêtre un spécialiste en musiques électroniques, mais certaines sonorités mont fait penser à du Black Lung, à GGFH aussi pour lapport en voix féminines innocentes, voire les géniaux Autechre. Quels sont ceux dont le travail a influencé consciemment LdM ?
C: Consciemment aucun. Jévite absolument de chercher à sonner comme tel ou tel type. Jestime quil y a déjà suffisamment dinfluences qui transfigurent de manière inconsciente. Le seul que je cite explicitement sur 'Le Tout Indivisible', cest Takemura. Je lui ai piqué un sample tiré de son fabuleux remix du génial Steve Reich, sur lalbum 'Reich Remixes'.
>Doù vient cette photo dérangeante qui illustre la pochette du cd ?
C: Cest une photo de mon fils. Tout lartwork a été créé à partir de photos privées. Pour aller au bout du concept, il fallait que je donne une imagerie correspondante, donc personnelle.
>Parles-nous de Guerilla Underground ? Cest quoi exactement : un label, un collectif, une asso ? Quels sont les groupes concernés ?
C: Ecoute, ça fait un bon paquet dannées que jai créé Guérilla, et je crois que je nai jamais su définir concrètement cette structure. Disons que je lai créée pour venir en aide aux groupes UG avec qui javais des affinités. Je produisais bénévolement des démos pour leur donner de quoi démarcher (labels, concerts, etc.). Javais le temps, et ma priorité allait à la scène (soutien des groupes, plus le zine/newsletter, plus lorga de soirées etc.), mais jen suis revenu. Ça a été très formateur, je my suis retrouvé au niveau de lexpérience. Je suis enfin devenu ma principale préoccupation musicale et il était temps. On vient dailleurs de remodeler le site, je te laisse ladresse : http://guerillablog.free.fr qui a fini en petite distro.
>Quels sont les premiers retours concernant la sortie de ce 1er album ?
C: Ils sont bons pour ce qui concerne le 'milieu'. Jattends les retours des structures plus conventionnelles avec impatience pour voir comment il est perçu. M: Pour le moment, toutes les chroniques sont plus quencourageantes, jai été flatté de constater que certaines comparaisons avec Red Harvest soient régulièrement citées. Je suis fan de ce groupe en plus
>Des projets de concerts pour La Division Mentale ? Ou cela restera une expérience studio ?
C: La Division reste avant tout une expérience studio auxquels participent différents laborantins. En même temps, il y a quelques personnes, dont Yan, qui aimeraient maider à faire tourner LdM. Sait-on jamais Mais rien de concret nest à lordre du jour. M: Ah bon ? Tiens, japprends quelque chose en même temps que toi Jean, ah ah, je découvre. Je ne serais pas contre, mais nos emplois du temps respectifs ainsi que nos situations géographiques risquent de compliquer la tâche.
>Voilà de mon coté jai terminé, si vous avez un truc à rajouter. Merci pour les réponses en tout cas.
C: Merci à toi pour le soutien. M: Nous apprécions vraiment lintérêt que tu portes à nos différents projets. Bonne continuation à toi et encore merci. [email protected] myspace.com/ladivisionmentale
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Interview done by DJ In Extremis











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