
Troïdes Priamus Hecuba : Bienvenue à Biozland

Lyrics
1. BIENVENUE A BIOZ LAND
Pas de paroles disponibles
2. LE TOUT POUR RIEN
Considéré comme un humain
Représenté par tous ces liens
Qui unissent à ma grande peine la bêtise des hommes.
S'acharnant pour être ou bien paraître
Plus fort, plus riche, devenir maître,
Faux blase, parade ne le menant nulle part en sommes.
Guerres sanglantes comme nos ancêtres
Captivant spectacle de marionnettes
Pour des pions qui financent ces tristes résultats.
Ce qui était bon est devenu poussière
Les illuminés se perdent dans leurs prières
Si tout doit recommencer, tu sers à quoi ?
Absolument à rien.
J'trime pour le vide
Enfin si il y en reste encore
Et je cherche du vide
Pour créer et renaître encore
Encore une fois tu détruis
Tout ce que tu as construit
Pour vivre encore plus d'expériences avant la fin
Ne profitant pas intelligemment
L'ego est gras et trop gourmant
Mais tu ne peux pas échapper au rien.
Il gît plus fort au fond de mon entité
Balaie ce chaos organisé
Libre dans mes rêves et pensées
Conduisant à nuls domaines.
Cherche l'écharde de la pensée philosophique, index de transcendance
Qui défie le pouvoir totalitaire de tout système.
L'impensé perce les multivers
Rit des absurdes compétitions
Délaisse les doutes les plus pervers
Qui ne riment à rien de toute façon.
3. AIGRICULTURE
(Vous sentez ça sent l'engrais d'inconscients
J'viens planter sur vos faces mes quelques mots de paysans)
L'amour, l'amitié grossiers
Ont freiné mon avancée, ma façon d'exister.
Confiance déchirée annonce une parano bien installée.
C'est en restant le plus humain possible
Que les égoïstes assistés vous prennent pour cible plutôt pénible.
Gentille naïveté au profit de ces enculés.
Vous ignorez la haine que votre ego vient de débarder.
Déterminé à bien bourrer derrière tous ces bufs sans vigueurs qui m'saturent
Ce matos peut devenir une arme quand il sert les arts de l'Aigriculture
Trompé mentalement, physiquement, sentimentalement, passionnément,
Résultat perte de temps.
Trop tardivement désagréablement surpris,
J'ai jardiné mes espérances pour récolter de mauvais épis
Je n'sais pas, j'reste planté là, quelques hommes écrivent les lois
Et la justice t'enfonce son gros doigt.
Vous me pâturez le but, j'suis déçu, perdu
Remue la charrue pas comme ces vendus, glandus
Désolé j'pardonne pas j'oublie pas, non j'm'arrête pas je désherbe tout ça
Laisse l'amertume dans un silo à cons
Mais si les choses dans leur contexte tentent de me repiocher le fion.
J'annonc'rais avec affirmation tous mes sentiments réfractaires
Rappelez vous !!!
Que par votre faute on se retrouvait à labourer le désert
On pisse le sang mais on apprend désormais insoumis à ces gens.
Et l'on guérit mieux car pour eux
Leurs promesses ne sont qu'hypocrisie
Leurs fautes c'est les nôtres
Ton ras le bol une injustice
Les demandeurs c'est eux
Les assistants c'est toi et moi
Une fois l'orgasme on te dit « barre toi !!!! »
Les investisseurs en sueur c'est toi et moi
Nos pensées les torturent
Car ils paniquent devant notre Agriculture
Comme un coup de pied au cul dans ton cul
Sans cesse j'en cultive sur tout le globe
On ne cesse d'en goûter
On les reconnaît de loin
Nous n'avons plus de temps à perdre,
Retire ta main pleine de purin et ravale ta merde
Nous n'avons plus de temps à perdre,
Retire ta main pleine de purin et ravale ta merde
D'autres chats à fouetter d'autres champs à pousser
Alors regarde
Qui perd d'la thune et ramasse des prunes pas ta brune ni ta p'tite commune,
Donc j'te traite, crache sur ton cul, arrose ta gueule maint'nant bien brassée.
Pour ceux qui s'reconnaissent ne me d'mandez plus de me justifier.
4. NOS VA[O]LEURS
(Un jour viendra)
Il y a marqué sur ce mur « où sont passées nos valeurs »
En fait à la base c'était écrit « voleurs »
Trop tard on ne put crier « au voleur! »
Les flics s'en foutaient royal de ces branleurs.
Moqueurs, moquez vous bien imposteurs
Vous avez signé sur ce putain de mur qui meurt
Nous avons rajouté « voleurs » au marqueur
Changé en « valeurs », on vous connaît pilleurs.
Non ce n'est pas la peine de fuir où que tu sois
Où que tu sois je serai là
Non ce n'est pas la peine de fuir où que tu sois
Au moindre faux pas t'es ma proie
Tu t'sens plus intelligent que tout le monde maintenant meneur
Tu es fier de toi néo-robin des bois tu m'écures
Aucun respect tu as, tu joues le sensible gratteur
Notre matos honnêtement gagné vous l'avez tchouré à plusieurs.
Fier de nous avoir tous baisés, d'avoir fait le profiteur
Faiseur de merde, fouteur de troubles, et menteur
Quand j'vois notre mot à côté de ton dessin de merde, crâneur
Je sais que pour toujours c'putain de refrain j'le connaîtrai par cur
Si tout cela c'est ton Style, ton vice, ton Bisguo
¡Qué te jodan !
5. PMOU
Productique mécanique et option usinage
Quel sera le déclic qui t'en fera changer l'image
L'éducation choisit ses bons et ses merdes
Il faut de tout pour faire un monde jusqu'à ce que plusieurs s'y perdent.
Chacun ses goûts et ses couleurs j'précise futur mécano
De l'expérience tu veux ? ça tombe bien y'a du boulot
Bosse à te crever l'cul pour une tare de retraite
Ou le plaisir du stagiaire exploité à 100% que l'on guette.
Mais putain mets les voiles
De la productique mécanique option usinage, productique mécanique.
Produis le rendement avec précision les 2000 pièces,
Sinon l'industrie et ses clients te botteront les fesses.
J'crache sur les relations de travail des collègues haineux à la con,
Ma rage augmente derrière la machine en faisant le presse-bouton.
Tu voudrais que l'on stoppe ces habitudes ce train de vie,
Mais la solitude augmente et au bloc à bloc on vieillit.
Ambiance poussière de métal froid, tu bouillonnes le crâne en bouillie,
Dans une fièvre titubante au beau milieu de l'après-midi.
Ca y'est on y est,
Productique mécanique option usinage.
Mais non ne t'occupe pas de la couleur du vélo, roule !!!
Tu travailles pour 8 heures, pour manger 2 heures,
Pour dormir 9 heures, pour vivre 5 heures par jours la vraie vie.
Mais il faut récupérer pour demain, pour gagner à payer toute ta vie,
Et scruter l'horloge chaque quart d'heure.
Mais sache que c'est des cons les conseillers d'orientation
Ils t'ont dirigé vers la mauvaise direction
En x+ et z-,
Pointe tous les matins, va pleurer cette vie de chien
T'occupe pas d'la couleur du vélo, roule !!!
6. DE LA BOUFFE POUR LES PORCS (1984-2004)
Aujourd'hui, écoute petit ce sera encore un petit dej'
Le matin et petit dej' le soir
Y'a plus rien dans le frigo donc rien à midi.
Heureux, le petiot grignote les biscottes à moitié mangées par les rats,
Pendant que Mister P se gave sur l'Etat.
Ce soir encore j'ai claqué plus de thunes dans la pillave,
Et j'ai gerbé plus d'alcool que d'nourriture c'est grave.
A force d'apprendre dans la défaite j'y suis resté ben ouiii!!
Je suis ce que je suis, c'est eux qui s'gavent et c'est moi qui vomis.
Ça me fait plus rêver les orgies à la Jet 12.
Organisation de fiestas privées pas à la binouse.
Toutes les drogues de richeman coco, ça fout l'feeling pour la touse.
Je fais partie :
D'la génération des assistés qui n'ont pas fait l'armée.
Alors je vais bosser où passe mon blé quand je vais trimer.
N'oublions pas la redevance télé que je ne regarde jamais,
On parle de zonzon pour rassurer des insécurités.
Qu'attend la justice pour les condamner ?
Ces criminels qui viennent nous commander.
Quatre mille francs par jour pour te goinfrer
Comme tes prédécesseurs on va pas se priver.
Zéro virgule Zéro Zéro Deux centimes tapés
Par habitant ça fait plaisir à l'estomac de toute la famille on va pas se gêner.
Claquer le fric en soirée,
De gentilles Very Important Poufiasses là pour t'entourer.
Comme on dit l'hygiène c'est le moment de niquer, on va pas se ruiner.
Economie capitaliste irrationnelle, J'y pige rien moi le frustré,
Moi le blasé, baignant dans l'absurdité.
J'emmerde les préjugés sur ma p'tite vie de p'tit Bab.
Ca devient un luxe de gamelle au kebab où à Mc daube comme d'hab'.
J'ai pas de morale à refiler donc pas de morale à recevoir.
Seulement il faudra bien manger même à l'arraché.
Le besoin, la drogue la plus élémentaire pour l'homme c'est de manger.
J'vie comme un Zombie mais quand le bide demande l'assiette est remplie.
Non effectivement ce n'est pas le Soudan ici chez moi,
Ce pays de rois qui comptent sur les consommations de la France d'en bas.
Non effectivement ce n'est pas le tiers-monde ici chez moi,
Nous nous laissons goinfrer nos porcs, eux regardent bouffer les rats.
7. ADRENOCHROME
Sur ce coup là on aura rien inventé,
Je suis d'accord avec toi si tu l'as remarqué,
Mille mercis aux inspirateurs qui nous ont influencés,
Tu constateras tout de même la signature des « baïses » que nous sommes,
Car ce n'est pas une pâle copie mon bonhomme,
Laisse moi brailler, imaginer, refaire le monde et les hommes
Mais ça ne changera rien car on se retrouvera tous au Pandémonium
A trop s'éterniser sur le pourquoi
Tu comprendras qu'il y a de quoi finir complètement fada
Nos corps extrêmement tendus dessinent un visage ridé,
Produisent énormément d'adrénaline qui sera bientôt transformée
Mais là tu l'entends et ce n'est pas une vision extatique
Le papillon qui rebondit sur les remparts de ton crâne est prolifique
Puis vole mon âme est folle
Qu'est ce qu'on est bien le sixième sens repeint
En musique, les couleurs de mon esprit en déclin
Collègue s'il te plait parle à mon cul ma tête est malade
Je me sens enfin moi-même,
Ces milliards de choses ne sont plus un problème
Si tu savais comme je t'aime
Gerber la folie pour les gens pour la terre pour le dieu le diable
L'univers est en moi l'univers est en toi
L'univers est en toi
Et après même si ça va de mal en pis
Qu'est ce qui nous empêchera d'en avoir encore envie
Le son délirant m'excite, désinfectant
Mes pauvres tympans, déjà niqués, évidemment
Nous ne sommes que de pauvres merdes forcément
On la recherche maladivement
Et quand je l'aurai trouvée mon grand le sens transcendant
Tu pourras me mettre plein de vents
Un héritier d'une voix trémolo, rime au galop mes pensées schizos
Noyé dans le flot du noyau sonore il fait trop chaud
Je peux enfin, comme un affolé barjot
Bouger jusqu'à me démembrer les os
Même si ça sonne faux T.P.H. produit ton Adrénochrome
8. OPPOSES
En retard ou trop en avance.
Depuis le début poussière d'étoile pense.
Se sent seul sur terre, lobotomisé, tu vénères,
Ces images qui semblent ordinaires, elles sont en fait extraordinaires.
Tu suis les exemples qui n'te ressemblent pas.
Parle moi pas de marginalité pour tout normaliser,
Une fois l'intellect fatigué on finit par sombrer :
Anorexique, alcoolique et j'en passe triste accusé.
T'es mal usiné comme une pièce non conforme,
Ecrasé dans la benne où l'on t'aurait jeté en somme.
Essayant d'axxxepter, respecter sous toutes ces formes.
Tolérant les préjugés des uniformes, ils mordent même quand ils dorment.
Soutenu du malheur des autres tiré par le bonheur des uns.
Tu t'enfermes hors des crétins,
Des vauriens fascinés, blasé d'écouter, dégoûté d'aimer,
T'sais plus qui t'es, en gros t'es paumé.
Opposés
Te connais tu ? Non ! Rattraper le temps perdu ? Quand ?
Etre ou ne pas être un extraterrestre comme incrédible slogan.
Un regard de confiance, sur qui le poser ?
Finalement opposé à l'idéale société
T'apprends à bosser, à acheter, à mieux baiser.
Bientôt la toutouse à Rocco certifiée norme ISO.
Son clan pour s'affirmer. Idée congestionnée.
L'incompris devient fou et la haine nique tout.
Yo no soy el que tú pretendes, ni mejor ni peor que tú,
Bebo, lloro, como, cago, sufro, grito al igual que tú (¿al igual que tú?)
Toda tu vida es una puta ilusión
Tus manias, tu forma de vestir
Lo único que veo en ti, es alguien lleno de buenos discursos (Puto cabrón)
No te escondas, tras ese disfraz
Piensa, sin prejuicios y sin
Miedo, liberate de todo, vive,
Sé tu mismo.
Différents d'esprits uniquement,
Evidemment dans la même merde physiquement.
Rassemblement de ceux qui volent au sens contraire du vent,
Planent à contre courant, sont tous des oiseaux ressemblant.
Oui! pas d'appartenance. Fuis l'intolérance.
Puis la souffrance crie. Une résistance gît.
Affronter la vie dans son historique décadence.
Tous planète (ailleurs) à mille lunes de l'inconscience.
9. MV
Paroles indisponibles
10. LA TETE DANS LE SABLE
C'était le moment de clore cette période agaçante,
Trente ans sont déjà passés à subir ces actions dégradantes.
Les conflits plus la croisade de nos amis pleins de dollars
Ne nous ont guère motivé.
Ca paraissait trop tôt pour s'en inquiéter,
Ne voulant pas se l'avouer ni s'en préoccuper,
Ce qui semblait venir est arrivé,
Toutes ces activités humaines ont bien fini par tout niquer.
Les experts nous ont prévenus c'est vrai
« Si ça continue le climat sera rude et mauvais ».
Mais la guerre est imminente
Et franchement y'en a rien à foutre de ce qu'ils racontent.
Juste avant de comprendre on se méfiait,
Comme des autruches on se cachait,
« De quoi sera fait demain mes chers ennemis ? »,
Question qui posait beaucoup de soucis.
Probable, Probable
Probable, Probable qu'on va continuer la tête dans le sable
Coupables irresponsables, comme des autruches la tête dans le sable
Probable, Probable que de me l'avouer ça me rendrait malade.
A présent la qualité de l'air est irrespirable.
La planète est couverte d'eau salée, de débris de grains de sable.
J'me souviens de nous, subordonnés,
Prenant nos dominants pour des stars.
L'enjeu économique et politique,
Ils manipulent la haine ethnique de façon stratégique,
Eux baignent dans le fric
Pendant que la terre absorbe nos ogives chimiques
Trop sage pour être un dérapage,
Encore des hymnes à la guerre, pas de mélodie de partage.
Le doublement d'émission de CO2 fait monter
A chaque décennie la température de cinq degrés.
Probable que notre animosité n'ait pas épargné les animaux.
Inimaginable qu'au milieu des dunes tu entendes des chants d'oiseaux
Probable, Probable
Probable, Probable qu'on va continuer la tête dans le sable
Coupables irresponsables, comme des autruches la tête dans le sable
Ah c'est pas marrant la tête dans le sable
Trente ans sont passés mais rien n'a changé
La vie sous toutes ses formes il faut l'oublier,
Sors apprécier dehors le beau soleil qui viendra te brûler.
T'auras peut-être le temps de voir l'immense océan noir
Sous son gaz carbonique et son épais brouillard,
Avant que la tempête de sable ne vienne t'étouffer et t'aveugler.
Tu comprendras qu'on a trop fermé les yeux,
Qu'à force on devient aveugle devant le feu.
Mais c'est trop tard pour l'éteindre
Maintenant qu'il est extrêmement dangereux.
Enfin égaux mais malheureux,
Solidaires et inquiets, comme c'est affreux.
« Comment survivre demain mes seuls amis »
Question que l'on ose plus poser aujourd'hui.
Probable, Probable
Probable, Probable qu'on va continuer la tête dans le sable
Coupables irresponsables, comme des autruches la tête dans le sable
J'vais finir par p'ter un câble
11. UNE PAUSE S'IMPOSE
Paroles non disponibles
12. BOULOT, BOULOT...
"AAAh oh mais sans déconner à chaque fois que j'le vois celui-là, faut toujours qu'il m'parle de boulot, boulot, boulot .."
C'est-y reparti à faire tourner le monde.
Comme des milliards de fourmis bien organisées qui abondent.
Zoomez plus prêt jusqu'aux pensées futiles,
Celles matinales sous-jacentes : "que la vie est absurde difficile !"
Décidément pas d'surmenage sinon t'assures plus,
Dans ce boulot précaire au rémunérations mal rendues.
Rappelle-toi PM(o)U j'reviens pas la dessus,
Décroche pas avant que l'autre braille :
-"OOOOOOoh !"
-"c'est bon je vais pas le voler ton transpalette de merde !"
En bleu comme tu es beau
Ancienneté au Boulot, Boulot
Part de zéro pour revenir à zéro c'est toute ta vie boulot, boulot
Vélo, boulot, métro, dodo
Boulot, boulot, zéro, dodo
Touinego, boulot, blaireau ...
Accoutumé à cette vie bioze rassurante.
Grosse gamelle le soir sur le canap's et gavage d'émissions énervantes.
Combattre le sommeil pour le tirage du loto n'arrange pas la fatigue accumulée,
Hygiène de vie pourrie à savoir gérer.
Bien Niqué par l'uro et fini par les impôts,
Faut suivre quitte à te casser encore plus le dos
39 h tu verras tu seras pas déçu
Heureux sont ceux qui font des heures sup' plein d'heures sup' au chômdu.
"AAAH c'est le week-end plus les RTT !!!
-Do you want to fuck me doggy style ???
-Oh baby ! J'ai pas la gaulle ce matin je suis si fatigué tellement fatigué aaah ! »
Maman a deux turbins et sera toujours moins payée qu'un homme,
Et s'écroule devant ses factures abusives qui l'assomment.
C'est vieux l'temps où l'on quittait sa boîte de pigeons distribuant des baffes
Aux collègues piafs, et trouvait derrière direct du taf.
La nation brasse grâce aux entreprises mafieuses
Et laisse pour les glandeurs une France avantageuse.
Pour un emploi trouvé combien de chômeurs nous sont offerts ??
Pour les changements d'horaires restant au chaud l'hiver !
Les trois huit, un effort à investir en plus des projets nouveaux,
A force t'encouragent à t'mettre une balle dans le ciboulot.
Sinon assume la déprime, évite d'attendre aux Assedic comme du bétail
Pour t'abrutir dans le travail dans l'travail.
L'intérimaire courageux s'en bat les couilles
Des prolétaires, d'CGT, FORCE OUVRIERE .. il fait sa tambouille
Il veux juste vivre tout simplement suivre pour vivre libre.
Lundi c'est lundi, mardi c'est mardi, vivement vendredi
Eh oui.
13. AXXEPTE
Il faut qu'on accepte que j'accepte que t'acceptes nos propres différences,
L'indifférence des autres différents, vivant dans un milieu différent,
Il faut que l'on accepte que l'on ait fait des erreurs,
Que l'on puisse avoir peur et que tout ça nous écure
Qu'on ait menti sans effort,
Qu'on ait mal réagi quand on avait tort.
Il faut que t'acceptes qu'il y ait des phrases qui ne riment pas,
Que je dise toujours des "que", des "qui", des "quoi"
Qu'on accepte quand nous sommes imparfaits,
Qu'on accepte nos blessures et nos regrets.
Qu'on Accepte la foule et tous ces gens malheureusement
Obligés de se soumettre aux lois de l'argent.
Que si on n'en glande pas une,
Que Ce n'est pas étonnant si on n'a toujours pas une thune.
Accéptalo, como tu hermano, no dejes el pasado destruir tu destino
Accéptalo, como el como yo, cada vez que ignoras es un niño que matas.
Une aube de plus, faut faire avec
Avec ce qu'on a, ce qu'on est,
Ce qu'on vit, malgré l'incompréhension humaine
Une faute de plus, tu vivras avec, avec ce qu'il te restera.
Il faut que t'acceptes mon vieux
Que si tout va bien pour toi, t'es pas un demi dieu,
Et qu'ils acceptent la défaite pour tous ceux qui ont fait de leur mieux,
Qu'il y en ait qui réfléchissent plus lentement que certains,
Qu'il y en ait d'autres qui réfléchissent vite et bien,
Et qu'on accepte les fous dangereux qui ne réfléchissent pas du tout.
L'existence humaine est complexe,
Qu'est-ce qui nous motive à part l'argent, le sang, le sexe ?
Le passé qui a mal tourné, le futur qui est mal barré,
De passer de la tristesse à la joie,
Que dans les moments les plus rudes c'est dur de regarder devant soi.
Accepte les politiciens qui font la course,
Pendant que ta mère n'a plus un rond pour faire les courses.
Une aube de plus faut faire avec
Avec ce qu'on a, ce qu'on est,
Ce qu'on vit, malgré la bêtise humaine.
Une faute de plus tu feras bien avec, avec ce qu'il te restera.
Accepte les gendarmes et tout ces poulets
Qui sont sensés respecter la loi et la paix.
Il faut qu'on accepte les silences et les doutes,
Garder son esprit toujours ouvert et à l'écoute
Que la maladie du racisme soit encore un fléau
Que ce mot soit toujours dans le dico,
Qu'on accepte alors tous ces enculés
Ne pas devenir comme eux après s'être fait blouser.
Il faut qu'on accepte que la violence engendre tu sais quoi,
Qu'on ait du mal à se retenir quelques fois,
Que l'on ait l'air d'un con qu'elle se répète cette chanson,
Et puis enfin, qu'on accepte la vie depuis tout petit on y réfléchit,
Qu'on accepte d'abord la mort avant d'apprécier celle-ci,
Que ce n'est pas toujours facile d'accepter qu'un proche soit parti,
Que devant l'horreur notre âme est muette,
Que tout irait mieux si il y avait plus de respect
Qu'elle est bien réelle cette réalité
Qu'elle inspire nos rêves et les feuilletons télé
Qu'on accepte de voir tout ce qu'on gâche,
Qu'on accepte la vérité qui fâche
Qu'on accepte tout et n'importe quoi,
Franchement des fois vaudrait mieux pas.
14. APLOU LA OUATOURE
Paroles non disponibles
15. PT L'POING SUR LA TABLE
A force de se bouffer soi-même,
On se fait bouffer par les autres,
Ou on fini par se bouffer entre nous.
Ecoute toi : "corps et âmes, moi + moi ça fait nous".
Maniaco-schizo enfin conscient de tout
Mieux vaut tard que trop tard pour t'émerger du flou.
La réalité a toujours ce nostalgique arrière-goût,
Le fou renoue avec les bons vieux nous.
En galère, tourner en rond, dégueuler,
Pas l'temps du tout de vivre mais le temps de déprimer.
Ce n'est pas du tout une cure qu'il te faudrait,
C'est une tarte lourde pour te réveiller, lourd.
Bientôt tu vas croire que la télé est en train de te parler.
C'est bon le fond est touché, creusons plus bas,
Voir si l'on peut rebondir de là,
Sortir de l'eau encore sous apnée et s'shooter,
Y'a pas d'quoi se vanter !!!
Brasser les nerfs jusqu'à l'épuisement,
Les obligations délaissées deviennent encombrantes,
Résultat trop décevant.
Si tout est noir et bien c'est forcément blanc.
Le temps est pourri même quand le ciel est bleu.
Plains toi tout seul si tu refermes les yeux.
Tiens le coup, reprends vie car c'est ce que tu veux,
T'es pas au bout, pas à bout.
J'te dis franchement,
Maintenant qu'j'ai donné mon point de vue
Tu peux faire Péter l'point critique
Et tailler toutes mes fautes de français trou du cul.
Fait P'ter l'point final de cet épisode,
Tu voudrais éclaircir quelques points incompris.
Fait P'ter l'poing sur la table !
Car c'est pas le voisin qui l'fera pour toi.
Sers les poings, rien n'à perdre ni à marquer,
Tu vois le segment de vie n'a que deux points.
C'qui suffit à faire péter le pointeau pointé
Afin de tenir jusqu'au point de non retour.
Sombrez pas !!!! Les enfants d'la NAS'7 !
Chaud pour ranger les pépètes avec ce SMIC qui fouette,
Aux niaqueurs de croûte, pour les baïsouts,
Les blaireaux comme moi qui doutent,
Ceux qui constamment ce gèlent les couilles,
Ces saligauds-éléments de l'Etat qui les fouillent.
Ca les aidera certainement pas à se sortir de la rouille.
Muévete el culo, despiértate levántate
No eres, ni el único, ni el último de la fila
Haz algo de tu vida, fóllala, goza,
Que te queda poco tiempo antes de llegar a la tumba.
Sensible ou pas le temps file très vite et t'es fiché,
Changeons ces comportements qui méritent de faire pitié.
Même si il y a fallu s'forcer je l'ai retrouvé ce Nord OOoouuuuffff !!
Ce qui ne nous tue pas est loin de nous rendre plus fort !!!
Sur fond de mon aigriculture concentrée
J'ai appris à faire gaffe aux prunes, et à me consacrer à c'que j'crois :
TPH "TROÏDES PRIAMUS HECUBA" vole plus haut que ça
Donc pas de coups bas.
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