01.CONSCIENT:
Univers d'acier, de machines montrueses.
Une nation de guerriers clamants que la vie est heureuse.
Fanatique, vivire selon mes rites, ne pas croire l'Antéchrist.

Une foule d'êtres aux mêmes visages, aux mêmes vices salent.
Une foule d'êtres aux mêmes visages, aux mêmes vices salent.

Le vent du malheur arrache des gros bras.
Les yeux pleins de mouchent meurent, la peste est toujours là.
Par le sang, réduire à néant. Ne jamais croire l'homme blanc!

Une foule d'êtres aux mêmes visages, aux mêmes vices salent.
Une foule d'êtres aux mêmes visages, aux mêmes vices salent.

Une fois conscient! Une fois conscient! Une fois conscient! Une fois conscient!

Pense comme on te dit, dis ce qu'on te dit...
Pense comme on te dit, dis ce qu'on te dit...
Pense comme on te dit, dis ce qu'on te dit...
Pesne comme on te dit, dis ce qu'on te dit...

Penses... Penses... Penses... Penses...

Une fois conscient fait moi confance!
Une fois conscient fait moi confance!
Une fois conscient fait moi confance!
Une fois conscient fait moi confance!

Une foule d'êtres aux mêmes visages, aux mêmes vices salent.
Une foule d'êtres aux mêmes visages, aux mêmes vices salent.

PENSEZ! PENSEZ! PENSEZ! PENSEZ! PENSEZ! PENSEZ! PENSEZ! PENSEZ! PENSEZ! PENSEZ! PENSEZ! PENSEZ! PENSEZ! PENSEZ!

02.PESANT & LOURD

Plus de clarté, plus de chaleur, pour ne plus me glacer. Le soir tard, je pense mes plaies grasses, nettoie mon coeur rasé à vif, l'organe mécanique fait circuler mon être, dans chaques artères se glisse à la clan des spectres.

Mon coeur est lourd, pesant et lourd mais je ne plis pas, non je ne dois pas!
Mon coeur est lourd, pesant et lourd mais je ne plis pas, non je ne dois pas!

Toujours prêt à me rendre fou quand la fissure est suspecte, ma petite tête étroite ne peut en contenir tant,
compte tenu du fait qu'elle est pleine depuis dix ans, gisant dans le temps grisant.

Mon coeur est lourd, pesant et lourd mais je ne plis pas, non je ne dois pas!
Mon coeur est lourd, pesant et lourd mais je ne plis pas, non je ne dois pas!

Je tourne et retourne une sans cesse angoisse ! Mes draps moites me froissent et me glassent. Dans un interminable combat perdu d'avance, les milles Lexomil me quillent dans la transe.
JE TOURNE ET RETOURNE UNE SANS CESSE ANGOISSE! MES DRAPS MOITES ME FROISSENT ET ME GLASSENT. DANS UN INTERMINABLE COMBAT PERDU D'AVANCE, LES MILLES LEXOMIL ME QUILLENT DANS LA TRANSE.
Mes yeux en mode infrarouge scrutent les détails d'une nuit aux allures caduques

Mon coeur est lourd, pesant et lourd mais je ne plis pas, non je ne dois pas!
Mon coeur est lourd, pesant et lourd mais je ne plis pas, non je ne dois pas! PESANT ET LOURD ! PESANT ET LOURD!

03.JÔDO

Un jour comme un autre... Un jour comme un autre...
Pourquoi faut il que nos plus infimes espoirs s'effacent,
Nos faces les plus infimes s'effritent à l'usure.
 sa faire trainer dans la boue, tu sors sali, c'est sûr,
Ecrasé comme un batard sans race errant dans l'espace.

Un jours comme un autre sur la terre, on s'arrache le coeur, on s'enterre

Discorde, sacrifice et traitrise, l'homme s'ennuis sans son ennemi. Sans pitié être supérieur, baiser l'autre. La veangeance anesthésie.

Un jours comme un autre sur la terre, on s'arrache le coeur, on s'enterre
Un jours comme un autre sur la terre, on s'arrache le coeur, on s'enterre

ON A TOUS LE MÊME COEUR SOUS LA CAGE.
QU'IMPORTE L'ÂGE, QU'IMPORTE LA COULEUR ET L'ÂGE.

On s'bouffe le nez, on s'bouffe le cul, on meurt , on pleure, on s'tue. S'fait mal, avale, crève, avale , sans mental tu n'es plus. SANS MENTAL TU N'ES PLUS, SANS MENTAL TU N'ES PLUS.

04.L'EFFET DE L'ACIER

Schizophrène