Sacrificia Mortuorum : Railler l'Hymen des Siècles
Las palabras
1. MORT NOIRE (QUADRYPTIQUE DES PRINCES MECENES)
Hommes-oiseaux à la parure inusitée
Emergeant d'un nid noiré de ténèbres à la fuitité affleurante
Ode inspirée de braises de nos mémoires
Mendiant le râle hissé dans l'infinie tristesse
D'une divinité de bronze oublieuse de son talon charognard
Désirs élégiaques natifs d'un épilogue
Masque grêle à l'âme transfigurée et au four gémissant
Perclus de pêchés travestis en d'austères louanges
Exquise utopie d'une laideur savoureuse
Charriant une soumission endeuillé
D'oboles sirupeuses stipendiant l'irrévérencieuse vénation
2. VANITAS VANITATUM, ET OMNIA VANITAS
Un théâtre d'ombre à l'art fallacieux
L'énivrante mélopée des cordes
Effleurant les passions
Un lacis flatteur aux fondations drapées d'ocre et de velours
Le voile se lève sur la mascarade
Jadis je n'eus que ma nudité comme vêture
Me délectant du joug des saisons
Au crépuscule de vos vies defendantes
Eluder chaque supplique servit mon élan
Cependant à pâlir il n'y eut que ma raison
Insondable et indomptée
Les inénarrables couplets sanglants
Exsudant pour vous d'illusoire attrait de mes chants
Veneur immortel et révéré d'une chasse
Dont l'obédience en majesté feinta l'abandon
Les plis moqueurs de mes os se fanèrent
Ne marquant plus vos lèvres que de baisers volages
Vendanges et lamentations
L'énivrante mélopée des cordes
Effleurant les passions
Une macabre danse pour le fruit flétri de ses entrailles
3. LACRIMAE
Parentes d'une concupiscente caresse s'enivrant d'obscurité
Mes larmes te réclament
Ceindre la coiffe du passé travellée de souvenirs
Charnière fragile et séduisante
Squelette érodé par vle souffle du regret
Célébrant mes stigmates... amers
Muré dans la démesure vaine de mon existence
L'enfer me serait plus supportable
Anonyme me pardonneras tu cette indigence
Brodée dans la plus frêle étoffe
La solitude me porte servile
Oublieuse de ce regard nébuleux... abstrait
Scénescente torpeur soucieuse de la nuit qui désormais
S'accroche à mes pas
Ton essence éthérée hésite et souffre
Pour finalement s'estomper
Le repos m'offre l'errance confuse d'un profane
Ivre et repus... l'âthe
4. DE POUSSIERE
Voile narcotique tapi au seuil de ma conscience
Pater ejus est Sol, mater ejus Luna,
Portavit illud Ventus in venjtre suo;
Nutrix ejus Terra est
S'affranchir du déclin
Assoupi sans l'insidieuse écale de peau et d'os
Railler l'ymen des siècles
Et de nos opulentes charognes
Séparabis terram ab igne, subtile a spisso,
Suaviter, cum magno ingenio
En vain s'épanche mon effroi
Sous l'effluve univoque des enfants diurnes
Assoiffé de demains
F'abjure la tyrannie du souffle qui m'étrangle
Sic habebis gloriam totius mundi.
Ideo fugiet a te omnis obscuritas
Mes prières churrent pour m'étreidrent que poussière
5. FLAMMIFERA NOX
Aux perte d'une atadelle confidente
Niant l'indélébile rêverie qui la consume
Saveur licite transgressant les sens éxilés des nantis
Souverains porteur de l'oriflamme du vice et de l'oisiveté
D'où se lèvent leurs chants délitant les échos iniques
Dont l'ascension éteint l'absurde cognition humaine
Contempler le dispendieux miroir de nos vies
L'ire embrase l'horizon tissant une trame
Dans le fer et l'airain
Extatique homélie se délectant d'une sotte inanité
Sommé par la déraison de renoncer aux pactes immémoriaux
Leurs rires s'apprpoprient l'obscurité
Semper idem
La couronne s'orne de croix déférentes
Enchâssant faiblesse et vanité dans l'a^tre gémissant
Froide morsure, vindicte cruelle
Leurs corps se tordent et s'abîment silencieux
6. FRAGMENTS EPARS
Le corps rompu sous les ronces virginales
D'une souffrance sibylline
Porter l'obole macabre
Compagnons aux lèvres ceintes
Sur la plaine pavoisée de bannières flamboyantes
De nos larmes insanes perdure l'écho
Le coeur consumé de fragments épars
N'accordant plus de repos dans les ténèbres
Panégyriquie funeste
Compagnons aux prunelles dénudées
Sur la plaine pavoisée de bannières mutilées
De nos lames endeuillées expire l'écho
Hommes-oiseaux à la parure inusitée
Emergeant d'un nid noiré de ténèbres à la fuitité affleurante
Ode inspirée de braises de nos mémoires
Mendiant le râle hissé dans l'infinie tristesse
D'une divinité de bronze oublieuse de son talon charognard
Désirs élégiaques natifs d'un épilogue
Masque grêle à l'âme transfigurée et au four gémissant
Perclus de pêchés travestis en d'austères louanges
Exquise utopie d'une laideur savoureuse
Charriant une soumission endeuillé
D'oboles sirupeuses stipendiant l'irrévérencieuse vénation
2. VANITAS VANITATUM, ET OMNIA VANITAS
Un théâtre d'ombre à l'art fallacieux
L'énivrante mélopée des cordes
Effleurant les passions
Un lacis flatteur aux fondations drapées d'ocre et de velours
Le voile se lève sur la mascarade
Jadis je n'eus que ma nudité comme vêture
Me délectant du joug des saisons
Au crépuscule de vos vies defendantes
Eluder chaque supplique servit mon élan
Cependant à pâlir il n'y eut que ma raison
Insondable et indomptée
Les inénarrables couplets sanglants
Exsudant pour vous d'illusoire attrait de mes chants
Veneur immortel et révéré d'une chasse
Dont l'obédience en majesté feinta l'abandon
Les plis moqueurs de mes os se fanèrent
Ne marquant plus vos lèvres que de baisers volages
Vendanges et lamentations
L'énivrante mélopée des cordes
Effleurant les passions
Une macabre danse pour le fruit flétri de ses entrailles
3. LACRIMAE
Parentes d'une concupiscente caresse s'enivrant d'obscurité
Mes larmes te réclament
Ceindre la coiffe du passé travellée de souvenirs
Charnière fragile et séduisante
Squelette érodé par vle souffle du regret
Célébrant mes stigmates... amers
Muré dans la démesure vaine de mon existence
L'enfer me serait plus supportable
Anonyme me pardonneras tu cette indigence
Brodée dans la plus frêle étoffe
La solitude me porte servile
Oublieuse de ce regard nébuleux... abstrait
Scénescente torpeur soucieuse de la nuit qui désormais
S'accroche à mes pas
Ton essence éthérée hésite et souffre
Pour finalement s'estomper
Le repos m'offre l'errance confuse d'un profane
Ivre et repus... l'âthe
4. DE POUSSIERE
Voile narcotique tapi au seuil de ma conscience
Pater ejus est Sol, mater ejus Luna,
Portavit illud Ventus in venjtre suo;
Nutrix ejus Terra est
S'affranchir du déclin
Assoupi sans l'insidieuse écale de peau et d'os
Railler l'ymen des siècles
Et de nos opulentes charognes
Séparabis terram ab igne, subtile a spisso,
Suaviter, cum magno ingenio
En vain s'épanche mon effroi
Sous l'effluve univoque des enfants diurnes
Assoiffé de demains
F'abjure la tyrannie du souffle qui m'étrangle
Sic habebis gloriam totius mundi.
Ideo fugiet a te omnis obscuritas
Mes prières churrent pour m'étreidrent que poussière
5. FLAMMIFERA NOX
Aux perte d'une atadelle confidente
Niant l'indélébile rêverie qui la consume
Saveur licite transgressant les sens éxilés des nantis
Souverains porteur de l'oriflamme du vice et de l'oisiveté
D'où se lèvent leurs chants délitant les échos iniques
Dont l'ascension éteint l'absurde cognition humaine
Contempler le dispendieux miroir de nos vies
L'ire embrase l'horizon tissant une trame
Dans le fer et l'airain
Extatique homélie se délectant d'une sotte inanité
Sommé par la déraison de renoncer aux pactes immémoriaux
Leurs rires s'apprpoprient l'obscurité
Semper idem
La couronne s'orne de croix déférentes
Enchâssant faiblesse et vanité dans l'a^tre gémissant
Froide morsure, vindicte cruelle
Leurs corps se tordent et s'abîment silencieux
6. FRAGMENTS EPARS
Le corps rompu sous les ronces virginales
D'une souffrance sibylline
Porter l'obole macabre
Compagnons aux lèvres ceintes
Sur la plaine pavoisée de bannières flamboyantes
De nos larmes insanes perdure l'écho
Le coeur consumé de fragments épars
N'accordant plus de repos dans les ténèbres
Panégyriquie funeste
Compagnons aux prunelles dénudées
Sur la plaine pavoisée de bannières mutilées
De nos lames endeuillées expire l'écho
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