1. INTRODUCTION

(Instrumental)


2. CETTE FLAMME QUI ME TRAVERSE

Nous reprendrons les œuvres de notre passé...
Plus jamais vous ne devrez connaître l'extrême lassitude
Aucune autre flamme que celle qui me traverse
Je suis l'empereur de la gloire du peuple
Moi qui suis la Liberté, vous êtes mes soldats

Tous avec moi, suivez cette flamme
Votre force versée sera mon saint chrême
Tous du Lebenborn de la franche vérité
Nos pas tyranniques doivent laisser place à la vertu

Reddition ou mort pour la colonie nuisible
Progéniture coupable de traditions infâmes
Vous suivant où vous me suivrez, nous brandirons l'idole
D'une reconquête géniocrate à l'image d'Epicure

Tous avec moi, suivez cette flamme
Votre force versée sera mon saint chrême
Tous du Lebenborn de la franche vérité
Nos pas tyranniques doivent laisser place à la vertu

Epicure ! La Rafle d'Octobre !


3. LA PLUIE EST SI DOUCE, LES NUAGES SI SENSUELS ET LE SILENCE... TERRIBLEMENT SEXY

Parmi le vent, le sifflement des corbeaux,
Les larmes du ciel qui martèlent ma peau
Je sombre dans les bois puants,
Car j'aime la fraîcheur et l'amour violent

Tu me tortures à tourner ainsi,
Ce cercle de brume me donne la nausée
Hurlant à me briser les tympans...
Souffle éternel du temps !

Ce pieu qui ravage mon crâne,
Qui me baise, me dévierge sans cesse
Ce son éternel qui occupe mes nuits ;
Je n'entend que toi fantôme profane

Petit lutin, donne-moi ta main,
Dansons jusqu'au lendemain
Et tu vibreras quand mes ongles
Frôleront le dessous de tes seins

Toute la nuit le ciel flambera mais restera ... froid !
La pluie est si douce, les nuages si sensuels
Et le silence... terriblement sexy !

Cette flamme intarissable, génératrice d'étoiles
Plaquera l'aurore sur notre sueur boréale
Je viendrai naviguer sur les flux de ton corps
Et du haut de son chêne,
Grand Duc chantera notre petite mort !

La pluie est si douce, les nuages si sensuels
Et le silence... terriblement sexy !

Nous sommes lavés de notre existence
Par la chaleur du seul faux péché
Qui dans les bras d'un ange fantasmé
Prouve sa pureté avec magnificence

Tu me tortures à tourner ainsi,
Ce cercle de brume me donne la nausée
Hurlant à me briser les tympans...
Souffle éternel du temps !


4. IVRESSE DIGITALINE

C'est moi le roi, dans tous mes états
Mes artères, mes pauvres... croyez-moi
Sans exception je vous ferai éclater
Pour réaliser l'Harmonie
Le son d'une forêt lavée par la pluie torrentielle
Ou ma personne liquéfiée agressant le sol
Tout est question de relativité
Rien n'est important sous ton règne : Digitalis

Ma tocante me rappelle à ma fin imminente
Mon cœur frappe les dixièmes de secondes
La route s'illumine sous mes pas
Le sang coulera dans un réconfortant éclat
Ma sueur joue une sonate à mes vertèbres
Et je bouillonne de tous mes membres
La haine de ma vie à résoudre en une heure
Vous êtes vivants ? Je corrigerai cette erreur !

Avant de partir faire mon chemin de croix
J'embrasse une dernière fois ta bouille
Tes joues roses trempées de larmes
Sont les plus dramatiques des merveilles du monde
Prends-donc une infusion avec papa
Et admire le processus final...
Ce que la laideur vaut dans son sang,
Ferait croire en Dieu !

Avant de partir jouer à la faucheuse
Je baise une dernière fois ta main frileuse
Tes bouclettes blondes de princesse
Sont la clé de l'invincibilité
Prends-donc une infusion avec papa
Et admire le processus final...
Avant que mon cœur ne soit sujet à rupture
J'aurai assuré ton avenir en stérilisant les rues


5. UN PIEU POUR CHAQUE ORIFICE

Sale traitre, bête nauséabonde...
Haaa, tu mérites punition !
Haaa, ta race est une abomination !
Parasite rampant, regarde ce sexe brûlant
Cette verge de chien qui va te rentrer dedans
Haaa, tu mérites punition !
Un pieu pour chaque orifice !
Pourquoi hurles-tu, alors que c'est ton frère ?
Ce jeune chien fougueux qui te remplit le derrière
Haaa, répète après moi :
"Je ne violerai plus jamais"
Un pieu pour chaque orifice !


6. LES AGORAPHOBES PROPHÈTES (OUTRO)

(Instrumental)