Kaldt Helvete : Sur les Ruines d'Autrefois

Black Metal / France
(2016 - Self-Released)
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Las palabras


1. L'ENVOL DES CORBEAUX

Dans ce monde de souffrance
Mon chemin vers la mort se rapproche
Le ciel obscur assombrit le sentier
Et me guide
Vers ma destinée
Dans un battement d'ailes
Les corbeaux s'envolent
Et croissent leur complainte
Envers les cieux
L'innocence n'existe plus
Et la nuit adoucit ce monde
Dont les valeurs sont perdues
Meurtri dans mon âme
Seul le tourment et la solitude
Me guide vers les étoiles
Dans les méandres de la folie
Mon esprit toturé se pert
Dans ce monde de dégoût et d'impureté
Rongé par la maladie et les tourments
Ma vie s'estompe dans le néant


2. NOIRCEUR ETERNELLE

Dans un vent de désarroi et de folie
Les ténèbres m'appellent
La mort m'emporte et me berçe
Dans l'obscurité
Mon coeur est rempli de noirceur
Dépourvu de couleurs
Mon corps semble mort
Et mon âme possédée semble vivre
Dans l'obscurité
Parmi les défunts
Et les esprits oubliés
Dans le ciel assombri
Et les déchirements de la nuit
Se déchaîne mon esprit
Livré à lui même
Dans cette mélancolie infinie
Mes démons m'emportent
Dans un couloir obscur
Où la fatalité reigne et perdure
Dans cette torture existencielle
La nuit et la noirceur démentielle
M'emportent dans un sommeil éternel
Mes démons m'emportent dans un couloir obscur
Où la fatalité reigne et perdure
Dans cette torture existencielle
La nuit et la noirceur démentielle
M'emportent dans un sommeil éternel


3. CIEL CONSTERNE

Dans les gouffres abyssales cauchemardesques
Plénitude lunatique de tourments
Abreuve mon âme esseulée
Dans un voyage temporel
La lassitude est drainée
Dans les égards d'un ciel consterné
Solitude d'un être qui s'exalte
Dans un univers partiel
Où seul le chaos reigne
Ô nuit berçe ce coeur meurtri
Ô astre lunaire embaume les mots de la terre
Je m'évade dans un monde lointain
Dans la brume magistrale des bois


4. CHEMIN DE DELIVRANCE

Marchant dans la forêt
Accompagné des ombres
Tout s'estompe dans la nuit
Et les décombres
Les branches frémissent sous mes pas
La lune brille de son éclat
Sa splendeur maléfique et mystique
Fait ressortir de mon coeur
L'inconmensurable noirceur
Des cris de trolls résonnent à l'horizon
La nuit, l'obcurité, la douceur du vent
Me guident dans les tréfonds du tempds
Ce chemin est ma quête
Ma délivrance
Il efface mes peines
Et mes souffrances
Ce sentier tortueux se dessine
Dans ces confins ténèbreux
Tout s'écroule dans ma mémoire
La mort me sourit
Dans une lueur de désespoir


5. LA NUIT MURMURE SA MELANCOLIE...

(Interlude)


6. PRESAGE FUNESTE

La nuit tombe
Le soleil laisse place à la pénombre
Un souffle glacé parcourt mon corps frigorifié
La déchéance de la clarté
Est glorifiée dans l'obscurité
La faux s'est emparée de mon âme
L'orage gronde et s'abat
Sur cette terre sauvage
La pluie déferle et coule
Sur mon visage
Submergé par le dégoût
Dans ce monde morfondu
Empli de rancoeur
La joie se dissout dans la torpeur
La peste va vous dévorer
Vous et votre insatiable stupidité
Votre monde va sombrer
Dans des cavées abandonnées
Le mal-être va vous ronger
Dans la plus profonde animosité
Aveugles et bernés
Les moutons vont être saignés
Par les loups affamés
La violence que je ressens
N'est que le reflet de mon ressentiment
Pour de la vermine excentrique et vomissante
Du berceau à la tombe
Jusqu'au prolongement de l'ombre
Le soleil s'est couché
La lumière s'est dissipée
L'obscurité va reigner


7. POUR LA GLOIRE D'ANTAN

Longtemps encore nous nous souviendrons
De la brise à travers les champs
De la vieille pierre
De l'ancien temps
Le temps de nos ancêtres
Longtemps encore nous pleurerons
La perte de notre pureté
La perte de notre innocence
Le feu de la vie
La majesté
Et toute la beauté figée sous la glace
Le jour où l'ennemi a franchit nos portes
Bien trop nombreux
Il se répandit tel la peste et la vermine
Détruisant la culture et la foi
Faisant disparaître les montagnes et les forêts
La soumission de tout un peuple
Une nuée de corbeaux
Profanant les tombes de nos pères
Buvant le sang de nos femmes
Les âmes perdues errent aujoud'hui
Dans un grand fracas
Une tempête au crépuscule
Ô gloire perdue
Ô temps révolu
Les batailles surgiront des plaines
Pour la gloire d'antan
Pour la fierté de notre peuple


8. DANS L'OMBRE DES CIMES

Enterré par l'hiver
La neige qui règne en ce lieu profane
S'abreuve d'un froid glacial
D'un soleil éphémère
Atténué des éclats de lumière
Cette vie n'est qu'une trace passagère
Dans ce monde où tout s'efface
Au fil de son histoire
Dans l'ombre des cimes
La forêt est le refuge d'une âme perdue
Qui lentement s'enracine
Le chaos est permanent
Et la mort omniprésente
La vie se meurt dans une douceur lancinante
La vie n'est qu'illusion
Superficielle
Egarée dans l'espace confiné
Le fracas du tonnerre s'abat sur la terre
La pluie tombe dans une rivière de sang
Et de sanglots amers
Je m'éclipse dans l'infinité du temps
Et le ciel étoilé


9. ET LA FORET S'ENDORT...

(Outroduction)


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