Cristalys : Quintessence Celtique

Black Pagan / France
(2006 - Auto-Production)
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Les paroles

1. L'AURORE D'UN SOLEIL NOIR

(Instrumental)


2. QUINTESSENCE CELTIQUE

Le paradis en ta lumière dense
Éveille la chaleur des enfers
Ton regard suit le sort, par delà les ères
Des temps anciens trop éphémères

Quatre éléments universels
Réunis en un cercle fraternel
Sur une croix intemporelle
Que se réveillent les pures Éternelles

Les grands cycles dynastiques et glorifiant
Gravés sur le marbre des axes du temps
Dans la sueur et dans le sang
Dans la fierté et l'art triomphant

Hanté par l'union symbolique
Jusqu'au plus profond de mon âme mélancolique
Lacéré par les entrelacs des lignées ancestrales
Où se reflète le sang d'une fraternité loyale

Énigmatique image purificatoire
Aux reflets des sanglantes voies des gloires
Éveille la grandeur de nos immortelles fiertés
A ne jamais omettre, jamais !

L'obscurité en mon esprit, éternellement s'anime
D'une flamme interdite, me semblant légitime ?
Des rêves aux glorieux siècles sublimes ?
Où se dresse le celte symbole,
Au-dessus de nos peuples, nos ancestrales nécropoles
Et s'élève, tel un feu païen, notre grand héritage
Sur nos contrées, aujourd'hui souillées de ravages

Et les larmes des monarques ruissellent sur ma vie
Fils et Dauphines de notre précieux héritage gaulois
Et les cris de nos légitimes reines abreuvent mon esprit
Filles et Princesses d'une Europe d'autrefois
Et mes pleurs, mes pleurs sombrent
Dans le néant du fruit pourri
D'une révolution hasardeuse
Justifiant ces tendances calamiteuses
Que je renie, que je renie, que je renie !

Que l'union des Fiers au teint blafard
Se recueille face à la nappe de brouillard
Que la Quintessence paraisse sur les étendards
Face à l'aube purificatrice de notre précieux territoire
Que la Fleur de Lys renaisse par le celte signe preux
Alors s'élèveront, la fleur de nos rois majestueux,
La croix celtique auréolée d'un halo lumineux :
La Gloire
La Quintessence celtique !


3. FRONTIÈRE DE SANG

Terre ! Par ta roche, ta glace
Scarifie mon corps, mon héritage
Ainsi l'écarlate se mélange à ce palace
Consécration de l'union des âges !

Les frontières de sang
Miroir éternel des gloires d'antan
Embrasent l'horizon immortel
De mon esprit luminescent !

Admirant l'océan étincelant
Blessé tel l'épée de Roland
Misanthrope loup européen blanc
Tu songes amèrement aux tristes cohortes du néant

Gardiens des portes septentrionales
Que votre hurlement bestial
Ces choeurs si mélodieux
Envoûtent ce domaine de nos aïeux
Et cette beauté obscure
A jamais sera pure !

Contemplant les douleurs d'un territoire pourtant Franc
Tapi comme un spectre éternel pareil au diamant
Misanthrope loup européen blanc
Tu te replies à ton tour vers les contrées du néant

La mort hurlée par les loups
Dans le Nord, dans le sang
La mort hurlée par les loups
Dans la mort, dans ce pays d'antan

Terre ! Par ta glace et par le sang
Efface mon regret d'un territoire abâtardissant
Afin que renaissent nos royaumes de gloire
Que je ne peux oublier, ni laisser choir !


4. L'APPEL DU GRAND NORD

Une étoile polaire brille sur notre sentier boréal
La mer celte embaume ce tombeau d'un parfum seigneurial
Ce monde de mes sombres rêves
Qui purifie l'essence de nos sèves
Élève la misanthropie des pays de glace
Je rêve de résurrection, d'hommes victorieux
Qui, par le glaive, établissaient des principes audacieux
Le Nord, miroir de ces pures visions
Me hante, mais me libère de ces tristes régressions
Qui sans cessent me lassent !

L'appel du Grand Nord !

Créature à la prestance prohibée, j'entends les tourments,
De tes cris qui comme les cieux hantent mon esprit franc
Tu glapis sans cesse, sonnant les mots du grand empereur vénéré
Qui a douleur et peine, pleure et se tourmente
La barbe blanche, attristé !

A travers le lacet des tristes vents
Les fières cohortes de nos aïeux
Chantent les paroles du passé survivant
Leur éternel écho dans les parois de ce vieux
Continent !

L'appel du Grand Nord !

Je vis pour ce symbolique monde de cristal
Bien loin des pathétiques croyances orientales
Ainsi je me lève en fier aigle impérial
Vers l'antre du large glacial !

L'appel du Grand Nord !

Tel le marteau de Thor, furieux et amer
Je m'abattrais sur mes précieuses terres
Par les griffes du grand empire
Détruire pour mieux reconstruire !

Le sang des Fiers se mélange aux écumes blanches
La cohorte des braves unis par la revanche
Telle est l'alliance des pouvoirs nordiques
La renaissance du symbole oublié
Une croix celtique, au-delà de vos médiocrités
Bien loin des faibles insignifiants pathétiques

L'appel du Grand Nord !

J'ai vu ces paysages de glace
Le Grand Nord, grand aigle de l'audace
J'ai entraperçu une bien triste sirène
Dans le béant tréfond de notre terre souveraine
J'ai aperçu les messagères de l'au-delà
Les éternelles Walkyries du Walhalla


5. MONARCHIE FRANQUE

Le vent paraissant depuis les menhirs de Stonehenge
Murmure les secrets transcendants de notre Legs
Comme le souffle en la galerie des rois Bourbons
Enseigne l'unité du sang, l'unique chaînon

La chorale des morts, comte les victoires
Que jadis, nos symboliques ancêtres ont accomplies
Le sang versé pour les plus grandes gloires
Lentement sombre dans les méandres de l'oubli

Une Monarchie Franque !
L'emblème des vestiges Francs
Une Monarchie Franque !
Symbole des mérites d'antan

Paraissant depuis les tempêtes de Gergovie
Guerrier de la race des conquérants
Que ton spectre devienne chair,
Et ta chair devienne sang
Ainsi les sols souillés seront à nouveau purifiés
Et les martyrs adorés, éternellement détestés !

Guerrier Celte ! Monarchie ! Plein pouvoir !
Croix Celtique ! Fleur de lys !
Devise contre-révolutionnaire !

N'entendez-vous pas les hurlements d'Alésia
Ces grandes voix d'une patrie expirante
Ces cris d'une précieuse identité mourante
Où sont nos hommes assoiffés de maestria

Surgissant depuis les palais de Versailles
Fils légitimes de la race des Gaulois
Que ta personne soit suprématie et ta suprématie soit loi
Pour une seule lignée, une seule personne morale
Ainsi en ta lumière sombreront les calamités mentales

Monarchie Franque
Et les vents des maréchaux, sur le sol de Gergovie
Menaient et mèneront une poignée
De chacune de nos terres affaiblies...
...afin que renaissent nos gloires !


6. AMBRE

Le feu de tes lèvres se colore d'un rouge brillant
Et ta bouche est remplie de mon sang

Un drap de soie flotte dans le songe du néant
Ton charme brillant fait pâlir mon péché sanglant

Baignant dans le maquillage d'un diamant
Tes yeux brillent tel l'océan, joyau tranchant !

Ambre !
La luxure de ta splendeur vampirique
Empire ma décadence chaotique
Magnificence de ta puissance celtique

Oh, lacère mon corps
Je ne suis point mort
Laisse cette lame glisser sur ma peau
Afin que le caveau se remplisse à flots

Ambre !
Approche, vampire ! Vois le poison dans mes veines
Je ne suis plus que le reflet blafard de ma reine
L'essence de l'opium s'enflamme
Sur une peinture infâme

Les noirâtres dentelles cachant tes seins
Sont induits d'une romance ennoblie sans fin
Maintenant tu as creusé ma tombe
A travers de sinistres et inlassables vents

Avec mes divins dieux
Dans les tristes cieux
Puissance du Germain
Splendeur du Latin
Métis européen, semblant sans lendemain

Ma souffrance n'est pas semblable à l'hécatombe
La froideur de la nuit m'apporte tout son arôme
Je ne suis plus qu'un fantôme
Dans un lit qui n'a plus de temps

Une fleur de lys reluisant d'ambre
Se dresse pour s'épanouir
Elle embaume une lueur bien pâle
Dans laquelle je vais périr...

Mais à la fin les princesses de sang
Sont toutes un peu les mêmes
Ambre je t'aime


7. LA MARCHE DES FIERS AU TEINT BLAFARD

(Instrumental)


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