Calvaire (FRA) : Illusiopolis
Lyrics
1. DE PROFUNDIS
Le tonnerre, et la grêle
Annoncent la naissance du fléau
Son corps, est frêle
Mais son âme, annonce le chaos
Ses yeux, sont le présage
Du plus sombre des âges
Autel de la violence
Érigé au nom Arès
Nourri, à l'arrogance
Dénué de faiblesses
Ses armes, millénaires
Ont marqué, toutes les guerres
Les poings serrés, pour s'approprier
La fortune, et le monde entier
Les années, passant
Le destin se construit
Sous l'effet du temps
L'enfant devient messie
La foule, devant lui
Boit ses paroles
Sa prophétie.
2. EREINTANTE MALVERSATION
Le contrôle absolu sur les foules d'abrutis
Mon empire d'abrutis règne en maître absolu
Éreintant, fatigué, ruisselant, éternité
Le miroir, les volets, le couloir, mon reflet
Les réunions souterraines pour dispenser ma parole
Toute une armée soulevée par la force de mon discours
Des anciens combattants déchus pour carburer au whisterol
Des caves souterraines humides aux hangars vides et rouillés
Mon monde est bien
Surtout vers la fin
Quand tout le monde est mort
Les femmes et les enfants d'abord
J'rêve d'imposer ma loi dans ce monde
Que l'humanité crève à chaque seconde
Qu'en mon nom soit posée chaque pierre
Et les murs témoigneront ma gloire
Désireux d'être un modèle, et de baigner dans l'alcool
Les soirées entre adultères,
Rayer le parquet et bouffer le sol
Vivement qu'on soit six pieds sous terre,
Embaumés puant le formol
Les enfants non-désirés de dieu,
C'est ce qui peut nous arriver de mieux
Rien à foutre de la damnation, ni de sa foutue rédemption
Jouez pas au con avec nous
Les leaders sont enfermés, faute de pouvoir, faute d'ériger, la statue bientôt démolie, de la gloire.
Dans le néant.
3. APOGEE (ROUTE DE L'ETERNITE)
(Instrumental)
4. SIMULACRE
Moi qui ai tout bâti de mes mains
Asservi le juste, pour parvenir à mes fins
Les fantômes du passé n'ont cessé de se nourrir de mon âme
Voler mes souvenirs, pour en faire des psychodrames
Aux armes, absurde citoyen
La maladie est à ta porte
Il suffit de lui tendre la main
Pour qu'à jamais elle t'emporte
Je suis las de tes pleurs, dans ma tête, sans arrêt
Si tu peux pas t'arrêter,
C'est moi qui vais te faire regretter
La mort n'est qu'un passage pour l'éternité.
5. AD VITAM
(Instrumental)
Le tonnerre, et la grêle
Annoncent la naissance du fléau
Son corps, est frêle
Mais son âme, annonce le chaos
Ses yeux, sont le présage
Du plus sombre des âges
Autel de la violence
Érigé au nom Arès
Nourri, à l'arrogance
Dénué de faiblesses
Ses armes, millénaires
Ont marqué, toutes les guerres
Les poings serrés, pour s'approprier
La fortune, et le monde entier
Les années, passant
Le destin se construit
Sous l'effet du temps
L'enfant devient messie
La foule, devant lui
Boit ses paroles
Sa prophétie.
2. EREINTANTE MALVERSATION
Le contrôle absolu sur les foules d'abrutis
Mon empire d'abrutis règne en maître absolu
Éreintant, fatigué, ruisselant, éternité
Le miroir, les volets, le couloir, mon reflet
Les réunions souterraines pour dispenser ma parole
Toute une armée soulevée par la force de mon discours
Des anciens combattants déchus pour carburer au whisterol
Des caves souterraines humides aux hangars vides et rouillés
Mon monde est bien
Surtout vers la fin
Quand tout le monde est mort
Les femmes et les enfants d'abord
J'rêve d'imposer ma loi dans ce monde
Que l'humanité crève à chaque seconde
Qu'en mon nom soit posée chaque pierre
Et les murs témoigneront ma gloire
Désireux d'être un modèle, et de baigner dans l'alcool
Les soirées entre adultères,
Rayer le parquet et bouffer le sol
Vivement qu'on soit six pieds sous terre,
Embaumés puant le formol
Les enfants non-désirés de dieu,
C'est ce qui peut nous arriver de mieux
Rien à foutre de la damnation, ni de sa foutue rédemption
Jouez pas au con avec nous
Les leaders sont enfermés, faute de pouvoir, faute d'ériger, la statue bientôt démolie, de la gloire.
Dans le néant.
3. APOGEE (ROUTE DE L'ETERNITE)
(Instrumental)
4. SIMULACRE
Moi qui ai tout bâti de mes mains
Asservi le juste, pour parvenir à mes fins
Les fantômes du passé n'ont cessé de se nourrir de mon âme
Voler mes souvenirs, pour en faire des psychodrames
Aux armes, absurde citoyen
La maladie est à ta porte
Il suffit de lui tendre la main
Pour qu'à jamais elle t'emporte
Je suis las de tes pleurs, dans ma tête, sans arrêt
Si tu peux pas t'arrêter,
C'est moi qui vais te faire regretter
La mort n'est qu'un passage pour l'éternité.
5. AD VITAM
(Instrumental)
Lyrics geaddet von ZnzL - Bearbeite die Lyrics