1. LA MORT D'UN PATRIOTE

les feuilles qui tombent le sang de l'automne la brume écarlate s'est levée l'automne 1837 s'est taché de rouille et les feuilles mortes gisent mais le thrône est fort et enraciné la révolte bourgeonne les sacrifices ne sont pas vaints: l'héritage nous est parvenu

le vent continu de souffler sur les braises et l'incendie se prépare à nouveau le vent a tourné et le briussement des nouvelles feuilles se fait entendre...

cette fois la brume sera d'un pourpre vainqueur et la mémoire du patriote honoré.


2. LE SACRIFICE DES GUERRIERS PAYSANS

les drapeaux patriote dansant avec le vent du nord des hommes rempli d'honneur et de courage prêts à défendre leur territoire. Des hommes prêts à vengés tous ceux et celles, femmes et enfants qui ont perdu la vie pour enrichir les anglais.

hommes, vieillards et garçonnais tous se tiennent côtes à côtes contre leurs ennemis. Peu importe leur force ils ont du coeur au ventre. Ils donnent leurs vies pour une noble cause, ils donnent leurs vies pour la survie de leur langue, leur culture et leur identitée.

Ce peuple de gens courageux et combattant pour notre liberté, nous ont laissé en héritage notre culture, transmise de génération en génération, de père en fils et de mère en fille malgré la présence toujours active des vieux ennemis qui essayèrent de toutes manières possible de detruire leur identitée propre à eux.

aujourd'hui j'appelle tout les survivants de cette invasion à se lever et rendre hommage à leurs ancêtres en perpetuant la transmission de notre culture et de notre héritage et en repoussant ces ennemis avares de territoires pour garder ce que nos pères nous ont laissé avec le coût de leurs vies.


3. LA FORÊT EST LEUR TOMBE

la pluie tombait en rafale ce jour là transformant les sentiers en marais et le vent en brume.

à travers les arbres on aperçevait les ombres de nos frères tombés la veille, par les mains de l'ennemi.

la fumée provenant du village annonçant la fin du sinistre... et l'odeur du brûler ne fesait qu'augmenté ma haine.

arrivés sur les lieux, les villageois chapeaux en mains et têtes baissées, pleurant les leurs, disparus à tout jamais.

la troupe maintenant rassemblée s'armant de fourches, de couteaux et de courage prêts à vengés leur terre et accomplir leur destiné. ne respectant que la loi de la nature n'écoutant que leur coeur et leur fièreté. REPRENONS NOTRE TERRE! criaient-ils, enragés.

la pluie tombait en rafale ce jour là les survivants; vieillards, femmes et enfants encourageaient leur peuple en ce jour fatidique

Nous Vaincrons!


4. TRADITIONNELLE I

[Instrumental]


5. NOTRE HÉRITAGE

à l'aube du XVIII, de plus en plus d'européen se laissent séduire par le grand voyage vers le nouveau monde. de si grandes terres fertiles et un abondance de faune et de flore sans oublier le paysage enchanteur.

Une fois l'océan traversé, les années passèrent et les colons commencèrent à regretter ce voyage. De plus, leurs ennemis poursuivirent le combat afin de s'emparés du territoire. Leur pays natal leur semble si loin, leur roi et leur patrie trop loin et trop occupés pour entendre leur cris de désèspoir. La rage dans le sang et une lueur d'espoir dans les yeux de nos ancêtres comptant sur le grand vent pour porter leurs appels à l'aide aux oreilles de ceux en qui ils avaient toujours confiance. Espérant jusqu'au derniers moments, la trahison se fit sentir et nos pères sombrirent aux mains de l'ennemi. Depuis ce temps, les colons canadien français poursuivons le combat pour notre survie.

Quatre siècles plus tard, le combat se fait plus dur, les ennemis se multipliant. Le courage, les sacrifices et l'héritage que nous ont léguer nos ancêtres nous permettent aujourd'hui de garder espoir et surtout d'être fiers de ce que nous sommes.

Les colons qui regrettèrent leur France, dans leur vie si dure, moi je regrette de n'être né à cette époque, je me perd dans tous ces éléments d'une modernité qui nous guidera vers notre perte. Que regretterons les enfants de mes enfants...


6. LE COMBAT DE NOS PÈRES

la course à la conquête de l'amérique est commencée. La France et son plus vieil ennemi s'arrachent les nouvelles terres découvertes. Les colons provenant de l'angleterre se rebèlent et une nouvelle nation nait.

Les loyalistes bannis de leurs terres n'ont trouvé autre solution que de pillés leurs voisins, ennemis de toujours, les français.

Ils résistèrent avec fièreté et honneur aussi peu nombreux étaient-ils. Certains d'entre eux prièrent leurs dieux pour obtenir l'aide de leurs ancienne patrie et de leur ancien roi qui jadis, combatti à leur côté contre les mêmes ennemis.

Abandonnés par les leurs, ils se sacrifiaient pour la survie de leur nation.

Aujourd'hui, nous, fils de ces patriotes, survivons toujours et continuons à élever nos fils comme nos pères nous ont élevé, agrandissant notre nation pour que les générations futurs reprennent ce qui nous est dû.


7. TRADITIONNELLE II

Dans mon jardin rencontra
Une fille abandonné
Qu'avez vous donc la belle
Qu'avez vous a tant pleurer

Je pleure parce que j' suis vieille fille
Pis j'ai pas pu m'en trouver

Ne pleurez plus la belle
Je saurais vous contenter
J'ai pris sa belle main blanche
a ma chambre l'emmener

Déshabiller vous belle
avec moi vous coucherez

Ma jupe est trop étroite
J'peut pas la dégrafer
Allumez la chandelle
Je vous la dégraferez

Qui casse les verres les payes
Pour moi j'en ai pas casser

Ah j' ma roule, le déroule, on se roule
Lalatidalidelidelam


8. LE VISAGE DE LA HAINE

Je n'étais qu'un enfant lorsque ma vie bascula, et pour la première fois, je connu ce qu'était la haine.

J'ai entendu ma mère hurler alors je m'suis précipiter pour voir ce qui se passait.La scène que j'y ai vu restera gravé à tout jamais dans ma mémoire et ainsi nourri ma rage. J'ai vu dans le visage de ma mère tout l'horreur du monde et ensuite, j'ai vu le reste de la pièce, les soldats en habits rouges décapitant mon père sous les yeux horrifiés de ma mère. Par la suite, tout s'est passer si vite. Ma mère m'a aggripper au bras et on est sorti par dèrrière. Elle m'a assi sur un cheval et m'a dit de partir le plus loin possible et donna un coup au cheval qui parti au galop.

Quelques minutes plus tard juste avant d'entrer dans la forêt, je m'suis retourné une dernière fois vers mon village. Tous les bâtiments s'écroulaient sous les flâmmes qui montaient jusqu'au ciel. Les villageois courraient de tout bords tout côtés essayants de fuire les tortures infligés par l'ennemi. La dernière image que j'ai obsèrvé était celle de ma pauvre mère dans notre cours qui hurlait tentant de se déprendre du soldat qui la violait. C'est la dèrnière image que j'ai vu de ma mère.


9. FIERS ET VICTORIEUX

La froidure boréale en mon âme exaltée et la rage glacée dans ma gorrge serrée,

J'avance sur les routes tourmentées de mon destin Insoumis, Fier et victorieux.

Je m'abattrai sur eux comme la foudre et je les poursuivrai tel un loup affamé la chasse sera couronnée de hargne triomphante et ma terre sera libérée.

Mes braves compagnons, buvons à même ce tonneau et levons nos poings, célébrons notre terre et acclâmons la victoire!!!

Rendons honneur à l'esprit du nord qui nous animent et qui fait couler leur sang sur les traces de nos pas.


10. QUAND LES MORTS S'AGITENT

Endeuillée est ma terre depuis 3 siècle souillée par l'abandon de 1760 gonflée de douleur de notre sang. Violente, elle crache la rage de ceux qu'elle porte à jamais en son sein.

Quand les morts s'agitent le passé est vivant les ombres s'animent à nous de prendre la relève

Quand les morts s'agitent la fièvre de la riposte frappe le frisson de la victoire enflamme à nous de prendre le relai

À Nous!


11. TRADITIONNELLE III

[Instrumental]