Bleeding Black : Personal Hell

Black Metal / Bulgarie
(2003 - 043)
En savoir plus

Les paroles


1. LES CORBEAUX

Regarde mes yeux !
Les Corbeaux dispersés en Novembre.
Regarde les nuages grix !
Regarde mon visage !
Les Corbeaux dispersés en Novembre.
Regarde mon coeur !
Les Corbeaux dispersés en Novembre.

Regarde les nuages noirs !
Les âmes innocentes - les corbeaux
Dispersés en Novembre.
Regarde les nuages noirs !
Les os tresses - les corbeaux dispersés en Novembre,
Regarde les nuages noirs !
La fosse sanglante-les corbeaux
Disperses en Novembre.
Bois de mon sang !
Ta colère noire - les corbeaux dispersés en Novembre.
Bois de mon sang !
Le courant mort - les corbeaux
Dispersés en Novembre.
Bois de mon sang !
La souffrance noire - les corbeaux dispersés en Novembre.


2. LES VOILES NOIRS

Relèves les voiles noirs et rends-toi, là,
Où le temp n’a pas d’importance !
Relèves les voiles noirs
Et que le vent mort dessèche mes yeux
Et metamorphose ton sang
Dans une cendre grise.

Releves les voiles noirs et rends-toi, là,
Où les debauchées chérissent des loups
et où les corbeaux chantent ta mort.

Releves les voiles noirs !
Devient un Ange, qui cherche son âme
En temp de peste !
Sois diable pleurant son père !


3. INVOKING MEMORIES

Open thy wounded heart
And let the shadows of your predecessors flow into it !
Seven frozen riders came out from the fog.
I invited them to enter their home.
My blood melted their deepest sleep.
My heart is their lost temple.
The first drops fall into the fire…
… And for the wolves born from it.
Their flags were covered in frost.
A handful of black embers-
Burned by the first holy fire
Ravens croak called my name.
Let my brothers - wolves end my song !


4. L'ESPRIT DE LA SOLITUDE

Les pas ténébreux avaient laissé
Des traces sanglantes.
L’ombre de tes ailes s’etala sur
Le cercueil dans lequel la mort
a gardé ses trophés.

J’ai engagé ma vie d’un espoir confus,
Mais voilà - j’attends le vent
Avec ton souffle, pour passer inaperçu,
Et pour glacer mes larmes,
Pleines de sécheresse.

La vide et la mélancolie - dans les vêtements spectraux
Ils devenaient mes épouses

J’ai engage ma vie d’un espoir confuse
Mais voila - mes larmes pleines de sécheresse.
Sur le cercueil, ils seront comme les traces sanglantes.


5. TO ETERNAL REST

A cold breath of timelessness carries severe songs - there
I will lay my body forever.
I cut my sanity in two parts.
I see my soul wandering through burnt forests
And it searches the path to my final rest.

Freezing wîuds dried up my skin
And carried me towards the hills
Where fathers mourn for their daughters
And mothers lick the blood-red
Bodies of their sons.
There on the hills the dead whisper my name.
Black ravens are warming my blood.
There, on the hill, I saw my heart
Getting up and starting through the bark
Of the dogs, howling of wolves and
Creaking of bones, towards my promised domains,
My eternal domains.
My immortal domains.


6. POSTHUME

Un coup violent de glaive.
Un éclat d’ache - un sifflement de fIeshe
Et le monde languit de tes yeux.
Et le chemin part dans le ciel.
As est comme la glaive et comme ta main - solide et vrai.
Par le chemin volait un cheval ardent,
Plus net que d’éclat,
Plus blanc que la neige.
Ton esprit s’empresse.
De l'autre côté ils t’envoient leur saluts.
Et t’attendent.
Et existe le lieu pour toi.
…Et le chemin part dans le ciel.
Ton esprit s’empresse - un cheval ardent.
De l’autre côté il existe le lieu pour toi.

A existé le lieu pour toi.
Plus net que d’éclat-
Et le chemin part dans le ciel.
Plus blanc que la neige.


7. THE OBLATION

With ferocious and raging force
I will cut away the savage enemy's
Incurable wound.
Furry filed my mouth
My eyes are burning in flames.
Darkness as black as pitch
Embraced the altar stone.
His blade cut the throat and he wanted
To feed me with yet trembling meat.
I gave a gift to Death - a gift of
Wails and flood of tears.
Thunders of wrath shaked the altar.
And the same old grayness fell again.
Unnail to me the doors of death,
And let in deadly peace to find
Some rest, so not to last my grief - forever !


8. DEADLY WHISPER

Deep beneath the core,
Around the roots of consciousness
Flames touched my sanity.
Far away from the light,
In the dreams of malice-
Weakness paralyzed my heart.

Glowing serpents pierced my eyes
And built a nest into my skull.
They brought me a gift - the eternal night.
They gave me the blackest night-
Ancient power of the lucid moment.

Fear already has lost its power.
The weakness engulfed itself.
Invaluable gift carried from eternity on an eagle’s wings,
Wolf’s fangs gleamed white in the blackest night.
The ancient power of death…
The spring of tears dried up in the blackest night.

paroles ajoutées par Apophis2036 - Modifier ces paroles