AqME : En l'Honneur de Jupiter

Alternative Metal / France
(2009 - At(h)ome)
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1. TOUT LE MONDE EST MALHEUREUX

Nos convenances ont établi que nous avons pour devoir d’être heureux.
Nous combattons de toutes nos forces pour simplement sembler l’être,
Parfois jusqu’aux soutiens psychotropes qui n’ont pour unique conclusion
Que de devenir une autre addiction,
Que de devenir une autre affliction.

Nous préférons sombrer certainement petit à petit vers une constante
Des sentiments risquant de perdre nos pleurs
Mais aussi d’oublier nos rires.
D’un sourire béat pleurons tous, d’un sourire béat hurlons tous :
« Nous sommes malheureux ! »

Comment se satisfaire de ce que l’on est ?
Faire face à nos tourments, assumer notre désespoir,
Assumer nos peurs pour apercevoir notre bonheur.
Le bonheur doit être les autres.


2. GUILLOTINE

Tout s’écroule autour de nous,
Car les normes ont changé,
Comme l’ennemi qui aujourd’hui nous opprime.

La colère de nos silences s’est transformée
En flamme que plus rien ne peut éteindre.

Il n’est plus question de vie mais bien question de survie.

Le feu crépite quand nos poings se soulèvent,
Face aux tyrans et leurs entraves,
Le feu s’embrase dans nos cœurs quand ils rêvent,
Ils restent braves,
Car demain nous appartient,
L’heure n’est plus aux diplomates
Mais au soulèvement des justes.

Ensemble, combattons cette arrogance,
Reconstruisons notre avenir.

Il n’est plus question de vie mais bien question de survie.

Aux armes !

Brûlons nos hymnes et nos symboles pour ceux tombés,
Ceux qui tombent encore.

Le feu crépite quand nos poings se soulèvent,
Face aux tyrans et leurs entraves,
Le feu s’embrase dans nos cœurs quand ils rêvent.
A l’assaut !


3. LES MATAMORES

Encore!

Se perdre car nos vies,
Ne prennent pas assez de place dans les vôtres,
S'inventer au point d'oublier,
Que nous sommes seuls.
Un glamour irréel,
Le temps d'un signe.

Nos pensées ont libre cours,
Quand on nous dit comment penser.
Mais que nous reste t-il encore ?

Nos moindres faits et gestes,
N'ont plus aucun secret pour personnes.
Epiés les uns les autres,
La surveillance nous condamnera à l'isolement.

Nos pensées ont libre cours,
Quand on nous dit comment penser.
Mais que nous reste t-il encore ?

Influente,
Ignorance.
Décadente,
Dissidence.

Nos pensées ont libre cours,
Quand on nous dit comment penser.
Mais que nous reste t-il encore ?

Encore!
Encore!


4. NOEL NOIR

Seuls depuis trop longtemps,
Ils préfèrent nous laisser mourir,
Car je ne parle plus qu'à toi.

Je ne sais plus depuis,
Combien de temps nous survivons,
Avec le souffle du vent.

La douleur à disparu,
Il ne reste que toi et moi,
Plus besoin de se cacher,
Pour pleurer,
Personne ne nous voit plus.
J'ai fait de mon mieux seulement pour toi,
Ne m'abandonne pas.

Cette nuit nos yeux humides,
Ne se fermeront plus jamais,
Non plus jamais.

L'apathie m'a emporté,
Une ultime larme comme adieu.

L'apathie m'a emporté,
Une ultime larme comme adieu.

Malgré toutes les immondices,
De notre volonté barbare,
Il existe du magnifique,
J'ai si peur,
Non, je ne veux pas,
Partir,
Partir!

L'apathie m'a emporté,
Une ultime larme comme adieu.

L'apathie m'a emporté,
Une ultime larme comme adieu.


5. MACABRE MODERNE

Instant T, le plus précieux d'une poussière millénaire.
La chimère éphémère,
A pris sa proie,
Pour l'emmener,
Vers ce qu'il y a après.

Il n'y a plus de reflet,
Dans le miroir de mon âme.

Ne pleure pas,
Et pour tous les bons moments passés,
Ne pleure pas,
Et pour tous les bons moments futurs,
Ne pleure plus.

Souris et n'oublie jamais que rien n'est immortel,
Profite de chaque instant,
Car on ne meurt,
Qu'une seule fois,
Et tous du premier coup.

Face à la fin,
Il est trop tard.

Ne pleure pas,
Et pour tous les bons moments passés,
Ne pleure pas,
Et pour tous les bons moments futurs,
Ne pleure plus.

Séchez vos larmes.
Brûlez ce qui reste de moi,
Un souvenir qui restera à jamais.
Comme c'est étrange,
De prendre seulement maintenant,
Conscience du simple.
Nous sommes un seul, ensemble.

Un seul verbe importe vraiment ;
Un seul verbe importe vraiment ;
Un seul verbe importe vraiment ;
Un seul verbe importe vraiment ;
Un seul verbe importe vraiment ;
Un seul verbe importe vraiment ;
Un seul verbe importe vraiment ;
Un seul verbe importe vraiment ;

Aime!
Aime!
Aime!
Aime!
Aime!


6. LE CULTE DU RIEN

Perdus sans fin dans notre recherche de repères,
Le pire nous abuse et nous pousse à ne devenir,
Que des écervelés aux icônes incapables,
Oubliant l'impalpable et le remarquable,
Comme un culte du rien.

Aveuglés par trois fois rien,
Dirigés comme des pantins,
Sans plus aucun lendemain.

Aveuglés par trois fois rien,
Dirigés comme des pantins,
Sans plus aucun lendemain.


Notre admiration affamée par l'essentiel,
Prend pour modèle celui qui n'est plus vivant,
Q'aux yeux des autres,
Alors que l'admirable n'est plus qu'un sujet
Tiré de faits réels,
Comme le culte du rien.

Aveuglés par trois fois rien,
Dirigés comme des pantins,
Sans plus aucun lendemain.

Aveuglés par trois fois rien,
Dirigés comme des pantins,
Sans plus aucun lendemain.

Quelle sera la fin ?

Aveuglés par trois fois rien,
Dirigés comme des pantins,
Sans plus aucun lendemain.

Aveuglés par trois fois rien,
Dirigés comme des pantins,
Sans plus aucun lendemain.

Si nous ne rêvons plus,
Quelle sera la fin ?

Si nous ne rêvons plus,
Quelle sera la fin ?


7. BLASPHEME

Des hommes faits de pierres,
Dressés comme des dieux,
Face à eux-mêmes.
Fiers et rutilants.
Rien ne sera jamais,
Par leur faute,
Réduit en cendre.
Ils sont les cieux.

Le sang coulera jusqu'à la dernière goutte.

Malgré le temps qui passe,
Et tous nos efforts,
ils restent encore,
Et menacent nos vies.
Soumis à leurs discours,
La tête baissée, ils n'ont plus rien d'humain,
Et tuent par plaisir.

Le sang coulera jusqu'à la dernière goutte.
Le sang coulera jusqu'à la dernière goutte.

Il n'est pas trop tard,
Pour survivre.
L'éveil comme un divin châtiment.

Il n'est pas trop tard,
Pour survivre.
L'éveil comme un divin châtiment.

Qui es-tu face à ton dieu ?
Qui es-tu face à ton dieu ?

Il n'est pas trop tard,
Pour survivre.
L'éveil comme un divin châtiment.

Il n'est pas trop tard,
Pour survivre.
Qui es-tu face à ton dieu ?


8. STADIUM COMPLEX

Pactiser par le sang,
Du désespoir pour réussir à enfin n'entendre qu'une seule voix,
La cruelle industrie,
Abandonne ses dernières étoiles à l'agonie,
Coïncidences injustes,
Des intérêts.

Sans aucun état d'âme,
Comme la mort il donne la mise à prix,
D'un art devenu sans âme,
Qui finit par se vendre à tout prix.

Toujours les mêmes visages,
Jamais les mêmes personnes,
Futiles plastiques qui n'ont Plus aucun sens.
C'est la beauté du diable,
Nous faire succomber à la tentation
De cette cynique mise en scène.

Sans aucun état d'âme,
Comme la mort il donne la mise à prix,
D'un art devenu sans âme,
Qui finit par se vendre à tout prix.

Tout ça ne veut plus rien dire,
Il n'y a plus rien à croire.
Il n'y a plus rien à croire.

Tout ça ne veut plus rien dire,
Il n'y a plus rien à croire.
Il n'y a plus rien à croire.

Sans aucun état d'âme,
Comme la mort il donne la mise à prix,
D'un art devenu sans âme,
Qui finit par se vendre à tout prix.
Donnons-nous corps et âme,
Sans jamais croire que tout a un prix!

La beauté du diable.
La beauté du diable.
La beauté du diable.
La beauté du diable.


9. QUESTION DE VIOLENCE

Peut-être est-ce le monde,
La nature humaine,
L'appât du gain.

Peu importe les causes,
La réalité,
Nous appartient.

Vis ! Vide ! Pleurs ! Meurs !

Jusqu'où irons-nous dans cette malsaine odyssée ?
L'équilibre est compromis bientôt.

Avons-nous conscience d'avoir réellement perdu la raison ?
Baigné dans un rouge, souillé d'infini, il n'y a plus D'horizon.

Vis ! Vide ! Pleurs ! Meurs !

Jusqu'où irons-nous dans cette malsaine odyssée ?
L'équilibre est compromis bientôt.

Une unique réponse,
A l'unique question que nous nous,
Posons sans cesse.

Notre nonchalance appelle sans aucun doute les armes,
Les drames, les larmes,
Car l'indifférence,
Est la vraie violence,
Face aux émeutes désespérées.

Jusqu'où irons-nous dans cette malsaine odyssée ?
L'équilibre est compromis bientôt.

Peut-être est-ce le monde,
La nature humaine,
L'appât du gain.
Baigné dans un rouge, souillé d'infini,
Nous n'avons plus d'horizon.

Vis! Vide! Pleurs! Meurs!
Vis! Vide! Pleurs! Meurs!


10. VIVRE A NOUVEAU

Dernière erreur,
Les prémices du mal,
Mais tu n'es pas responsable.
Prescris des mains de l'intenable.
Ton âme fragile et pure
S'est trop vite emportée.
Tant que je vivrai,
Le combat continuera.

Je n'ai rien pu faire,
Mon amour s'en est allé.
Je dois sauver ceux qui m'aiment,
Ce que tu es.
Le pire s'est produit,
Tu es partie bien trop tôt.
De tout mon cœoeur,
Je dois maintenant vivre à nouveau.

Un rêve chimique
Où plus rien n'a ni saveur, ni goût.
Piégé dans une prison de chair,
Enfermé pour mon bien,
L'innommable est arrivé.
Une douleur trop intense,
Une souffrance trop atroce!

Je n'ai rien pu faire,
Mes amours s'en sont allés.
Ceux qui m'ont sauvés sont les mêmes qui ont tué.
Le pire s'est reproduit,
Tous sont partis bien trop tôt.
De tout mon cœoeur,
Je ne veux plus vivre à nouveau!

Je suis si seul, j'ai tout perdu!
Je suis si seul, j'ai tout perdu!
Je suis si seul, j'ai tout perdu!
Je suis si seul, j'ai tout perdu!


11. LE CHAOS

Depuis la nuit des temps,
Les origines de notre ruine hurlent en nous.

Mais rien est entendu,
L'exécution a bien lieu d'un long silence,
En regardant les autres.

Tout un monde,
Sans peine et sans gloire,
Comme le problème vient de nous!

Tout un monde,
Sans peine et sans gloire,
Comme le problème vient de nous!

Les yeux à peine ouverts,
Mêlant sang chaud et chaudes larmes, elle voit, sans voir,
Demain pour agir maintenant,
Elle finit même par y croire.

Tout un monde,
Sans peine et sans gloire,
Comme le problème vient de nous!

Tout un monde,
Sans peine et sans gloire,
Comme le problème vient de nous!

20 ans à vivre!
20 ans à vivre!
20 ans à vivre!
20 ans à vivre!

De nous naît le pardon,
Mais plus encore la mort.
Nos esprits confus n'oublient jamais,
Même au plus profond, qu'elle soit ou non.

Malgré la teinte obscure qui,
Colore nos destins funestes, elle croit en nous.


Elles ne guérissent pas!
Elles ne guérissent pas!
Elles ne guérissent pas!
Elles ne guérissent pas!
Elles ne guérissent pas!
Elles ne guérissent pas!


12. UPPE PA BERGET

(Instrumental)

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