Jean-Christophe Maurel

Nom Jean-Christophe Maurel
Date de naissance 1977
Pays France
Ville inconnu

Le bassiste brun est l’un des mammifères terrestres les plus impressionnants qui soient. Parmi les nombreux bassistes, le JC est sans aucun doute celui qui a le plus fasciné l’homme. Né en France en 1977, le JC débuta la basse en 1996, après des années de travail rigoureux, il est devenu tristement célèbre lors du concert de juin 1998 à Sainte-Cagouly, puisque sa « magnifique » prestation causa un exode massif de la population du village vers le département voisin. (ndlr : certaines personnes n’ont jamais été retrouvé depuis)

Comme tous les bassistes, le JC est principalement nocturne et en été, il accumule jusqu’à 8kg de graisse. Cette réserve lui permet de tenir l’hiver, période pendant laquelle il devient très léthargique. Bien qu’il ne soit pas un véritable animal hibernant et qu’il puisse être réveillé facilement (mais son humeur est dès lors exécrable), il aime s’abriter dans des endroits protégés telle qu’une caverne, une crevasse ou un bistro pendant les mois d’hiver.

Étant omnivore, il s’alimente à partir de plantes (baies, racines, champignons, jeunes pousses) mais aussi de poissons, insectes et petits mammifères. Le bassiste brun est en partie végétarien, tirant jusqu’à 35% de ses calories des matières végétales. Signalons que le bassiste mange un nombre important de papillons nocturnes (mites) pendant l’été, parfois plus de 20 à 40 par jour et peut retirer jusqu’à un tiers de leurs calories aux cacahouètes salées, olives ourrées et autre mets de comptoir.

Normalement solitaires, les bassistes se rassemblent à côté des cours d’eau et des terrasses de café pendant le frai du saumon pour rencontrer d’autre mammifère tout aussi redoutable tel que le batteur, le guitariste ou le chanteur.

C’est ainsi que le JC se retrouve au sein du groupe Slaene en novembre 2004.
Comme tous les bassistes bruns, il s’acclimate facilement de ces camarades par son tempérament calme et discret. 
Le groupe offre alors au JC une place de choix puisqu’il devient indispensable au biotope du groupe. Ils peuvent ainsi créer une musique énergique et efficace délivrer dans des rassemblements nocturnes au cœur de leur territoire de chasse.
D’après les scientifiques, il serait tout à fait possible de les rencontrer au cœur de nos villes.

À observer prochainement près de chez vous, voir les News

source:www.slaene.com