The Valiant Fire

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18/20
Nom du groupe Damnation Angels
Nom de l'album The Valiant Fire
Type Album
Date de parution 27 Mars 2015
Style MusicalPower Symphonique
Membres possèdant cet album26

Tracklist

1.
 Finding Requiem
 07:04
2.
 Icarus Syndrome
 05:26
3.
 This Is Who We Are
 05:16
4.
 The Frontiersman
 09:26
5.
 Closure
 06:38
6.
 The Passing
 05:42
7.
 Everlasting
 07:36
8.
 The Fire Inside
 08:37
9.
 Under an Ancient Sun
 08:54

Durée totale : 01:04:39

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Damnation Angels


Chronique @ ericb4

01 Avril 2015

A l'instar de cette pièce d'orfèvre, le projet du groupe s'est assurément bonifié avec le temps...

Pas moins de trois longues années se sont écoulées depuis leur premier album full length à l'aune de l'opulent « Bringer of Life » (2012). Surtout, cet album a vu le combo britannique relever l'exigeant défi de sa propre évolution. Et ce, après des débuts initialisés par une discrète démo, W.I.L.D. (2006) et un EP déjà incitatif à l'adhésion, à l'instar de « Shadow Symphony » (2009). Sans chercher à remettre en question ses fondements power symphonique, le combo a oeuvré sans relâche pour nous offrir, cette fois, un propos musical plus épique, aux accords plus catchy que par leur honorable passé. Il ne s'agit pas tant d'une rupture stylistique de fond que d'une évolution atmosphérique, artistique et technique qui en a défini le contenu. On comprend que « The Valiant Fire », par sa nouvelle orientation de forme, annonce d'ores et déjà la couleur...

Le trio issu de Doncaster poursuit donc son projet avec l'indicible espoir d'effleurer davantage d'âmes encore, en les asseyant plus sereinement à sa table. A cet effet, on retrouve le guitariste, émérite claviériste et choriste Will Graney, le batteur à la frappe experte en la personne de John Graney ainsi que Per Fredrik Asly, dit Pellek, chanteur charismatique au timbre de voix polymorphe. En outre, un soin particulier a été apporté à la qualité des arrangements ainsi qu'aux parties techniques de l'instrumentation, sans oublier la finesse d'écriture des textes observable sur chacune des chansons et les finitions décelables sur chaque piste. Ces éléments ainsi conjugués témoignent, dès lors, d'un poil de maturité artistique supplémentaire accolée à cette seconde mouture full length eu égard à leurs productions antérieures. Précisons aussi le rôle joué par Scott Atkins (Grindstone Studio, Ipswich), au mixage et au mastering, assurant ainsi un parfait équilibre entre riffing et orchestration, comme il l'a déjà prouvé chez Cradle Of Filth et Sylosis.

La porte d'entrée de l'opus nous place face une pochette à l'artwork sobre et raffiné, dessiné à l'encre de Chine par JungShan. Ainsi, un sombre guerrier armé nous fait face, placé au cœur d'un cadre au cercle sanguinolent, sur fond immaculé. Cette image aux teintes hétérogènes symboliserait l'univers de contrastes atmosphériques habitant cette œuvre. Elle imposerait également une dynamique graphique pour l'oeil, transparaissant précisément dans la frondeuse cohésion orchestrale qui nous est livrée. Aussi, la diversification de la section rythmique et des ambiances nous amène à y voir des courants d'influences plus épars qu'antérieurement. On oscillerait entre les subtils arrangements de Nightwish, la dynamique rythmique d'Epica, le riffing corrosif de Sonata Arctica, avec quelques refrains luminescents dans l'esprit d'Evergrey ou d'Orden Ogan. Quant aux phases vocales, on est à la croisée des chemins entre Tommy Karevik (Kamelot, seconde mouture), Georg Neuhauser (Serenity) par moments, ou encore Tony Kakko (Sonata Arctica), voire Brett Anderson (Suede). Ce qui renseigne sur l'étonnante étendue du spectre vocal du maître de cérémonie.

Une touche heavy se superpose à un power symphonique bien enlevé tel que l'a souhaité le groupe, comme pour renouer partiellement avec son glorieux passé. De deux manières différentes, il affiche sa détermination à nous emmener dans une sphère densément rythmée avec un message fort en substance dans les paroles. On l'observe déjà sur l'entraînant « Icarus Syndrome » qui, avec un mid-tempo propice à un headbang enfiévré et son riffing plombant, nous conduit irrémédiablement à des refrains immersifs à souhait. De plus, on ne manquera pas un joli pont orchestral, quelques complexes accords, eux-mêmes renvoyant à une solide technique instrumentale. Au-delà, des éléments de recherche sur les sonorités nous immergent quelques instants, et ce, dans une atmosphère doucereusement planante. On n'oubliera pas non plus la patte de l'interprète, mêlant puissance maîtrisée du timbre et fêlures, nous plaçant au carrefour des célestes modulations de Georg Neuhauser et de celles de Tommy Karevik. Cette première arme de séduction a pour corollaire celle de sa voisine, « This Is Who We Are », disposant de refrains catchy et d'un solo de guitare quasi magnétique. Quelques arpèges au piano nous aspirent vers un environnement orchestral violoneux avant que ne s'infiltre la voix féline de Sir Pellek, à la façon de Tommy. En outre, les arrangements sont de très bonne facture, les riffs plutôt incisifs, la rythmique épaisse et un tantinet mouvante. Enfin, des variations de tonalité se cristallisent sur la piste ainsi qu'un break vocal, celui-ci laissant s'exprimer un pont instrumental en substance, avant une jolie reprise de micro de l'émérite vocaliste. Bref, si ce n'est pas un hit, ça y ressemble! Dans cette veine s'inscrit également le virevoltant « Closure ». Une introduction violoneuse et souriante s'accorde avec un profond environnement cuivré, où résonnent de chaleureux cors, avant que des riffs rugueux ne prennent le relai, eux-mêmes étreignant une section rythmique en mid-tempo. De plus, des refrains hypnotiques enveloppent nos pavillons à l'instar de jolies séries de notes distillées par le timbre reptilien du valeureux chanteur. Un break instrumental s'installe et laisse justement le corps vocal s'exprimer un instant, avant une bondissante reprise, bien difficile à prendre en défaut. Nous voilà déjà renseignés sur les intentions du combo d'en découdre, à sa manière, avec la concurrence.

Par ailleurs, le groupe n'a pas oublié ses fondamentaux stylistiques, déployant des trésors d'ingéniosité sur des plages ensoleillées de ses notes power symphonique classique. A commencer par l'entame de l'opus, « Finding Requiem ». Une douce ambiance violoneuse ouvre le rideau pour nous plonger au cœur d'une cavalcade rythmique, corroborée de riffs tranchants. Les couplets sont finement ciselés et les refrains aussi mordants que pénétrants, sous la houlette du cador aux inflexions claires et puissantes, dans l'esprit de Georg, avec une pointe de Tommy dans les médiums. Des changements de tonalité insoupçonnés s'invitent aussi à nos tympans ainsi qu'un pont instrumental imposant d'obédience heavy mélodique, ce dernier précédant un solo de guitare aussi fluide que ravageur accolé à une féroce double-caisse. C'est dans cette mouvance que s'achève notre parcours, à l'aune de l'outro d'inspiration symphonique « Under an Ancient Sun ». Une orchestration progressive initialisée par des sonorités de violoncelles et de gros cuivres nous envoûte par ses ondulations, ses nuances, son relief acoustique de grande ampleur. Une énergique rythmique estampée power, avec une touche heavy, s'accouple ici avec un cinglant riffing. Et ce, le long des neuf minutes de cette plage riche en arrangements, techniquement complexe et aux jolis contrastes. Un peu brutal mais sans être démoniaque, ce titre offre aussi de superbes nappes synthétiques accrochées à un joli pont, avant que cors et violons ne reprennent le flambeau. Cette fois, c'est sous des chapelets de notes aériennes et cristallines que nous accompagne tout le long l'impétrant, à la façon de Tony Kakko. On comprend que Pellek sait comment nous rallier à sa cause...

Mais, non content d'en rester rivé à ces structures instrumentales rigoureuses, le groupe a aussi veillé à diversifier sa proposition. Et ce, à l'image de rythmiques variées cohabitant dans un même espace sonore, sans y perdre en cohérence sur le plan des compositions. Le surprenant « Everlasting » est dans cette logique là. Une douce ouverture aux sonorités ouatées d'une musique de film nous conduit à des contrastes d'ambiance et à une vivifiante rythmique qu'accompagnent des riffs griffus. Pensant suivre un rassurant mid-tempo d'inspiration heavy, on se surprend à découvrir de nombreuses variations de rythmes. On déambule au sein de refrains colorés et de fines gradations de tonalité, avant qu'un break aux notes aquatiques ne vienne rompre cette dynamique. Une reprise vocale et orchestrale magistrale s'ensuit avant que la rythmique ne s'accélère, à la manière d'Evergrey, pour finir avec les honneurs. Il en va de même pour l'instrumental « The Fire Inside », où la section rythmique ne s'est pas contentée de suivre un cheminement pré-déterminé. Des perles de pluie au piano nous invitent rapidement à suivre des riffs martelants le long d'une rythmique power, pour aboutir à une orchestration samplée des plus charismatiques et à des choeurs chatoyants. Par effet de contraste, une voix féminine au loin se fait entendre lors d'un break inattendu, se faisant alors prendre en étau par une reprise instrumentale émoustillante. Le combo se prend même le luxe de lâcher les chevaux, la double-caisse nous enivrant progressivement jusqu'à la note ultime d'une fin de piste tonitruante. Ou, l'art de savoir conjuguer les contrastes...

Pour ceux qui les attendaient, les voici, les plages où le repos de l'âme est de mise!... Ainsi, cuivres, violons ainsi qu'une guitare rythmique nous attirent dans les bras de la somptueuse ballade « The Passing ». Si les couplets s'avèrent enivrants, les refrains se révèlent parfaitement customisés au gré d'impulsions vocales aussi limpides que lumineuses, à la façon de Brett Anderson. Pour compléter ce tableau déjà prégnant, des changements de tonalité viennent affiner le trait, tout comme un joli solo de guitare venu nous faire un clin d'oeil.
La voilà enfin, la pièce maîtresse et fresque de l'album ! Se déployant majestueusement sur près de dix minutes, la ballade progressive « The Frontiersman » évolue au gré des nuances atmosphériques et de tonalité pour finir en apothéose. D'entrée de jeu, cette piste nous installe en douceur au son d'une guitare acoustique, précédant un éveil orchestral un poil orientalisant. A la manière de Tommy, Pellek use d'une voix de gorge associée à un léger vibrato, gagnant en puissance au fil du morceau, pour assurer notre confort auditif tout le long. Sinon, pas moins de deux soli de guitare fringants et trois breaks s'égrainent sur notre parcours, ces derniers permettant aux reprises d'évoluer crescendo. Si la rythmique s'accélère progressivement, elle retrouvera ses assises du début à la dernière reprise. Ce qui n'empêche nullement le titre de nous octroyer les notes finales, celles qui font mouche !...

On ressort de l'écoute de cette roborative et goûteuse galette avec le doux sentiment de détenir une petite pépite déjà finement sculptée. Racé, surprenant, vivifiant, accaparant, le propos musical a pris le temps nécessaire à sa bonification optimale. Aussi, peu de défauts de production émaillent la surface de ces neuf pistes. En outre, ces dernières nous ont fait voyager dans l'espace affriolant et authentique de pas moins d'une heure d'un déploiement quasiment ininterrompu de sonorités enjouées. On a pu remarquer également une distanciation plus marquée, à défaut d'être radicale, des modèles identificatoires du groupe, apposant, par là, son sceau sur la plupart de ses heureuses compositions.

Que les fans du groupe se rassurent, on retrouve le power symphonique bien trempé du combo, avec une pointe d'originalité supplémentaire et de nombreux arpèges inédits. C'est dire que les amateurs du genre ne seront pas pris au dépourvu, loin s'en faut. L'accessibilité de la plupart des plages aidant, ces dernières semblent formatées pour répondre à des attentes d'autres publics encore. Véritable tour de force accompli par le groupe dans un exercice de style pas nécessairement conçu à cet effet.

Nul doute que nos acolytes ont élevé le niveau de leurs compositions d'un cran et qu'ils continueront à réalimenter leur projet dans cette énergie-là. L'attente fut longue mais le résultat en est une production collective méticuleuse, qui s'inscrira probablement dans l'histoire du registre dans lequel le combo officie. Autant dire qu'il serait regrettable de passer à côté de l'incommensurable plaisir de toucher, sentir, ouïr cette puissante et délicate rondelle.

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PERMAFROST - 07 Avril 2015: Bon groupe.Leur musique s'écoute sans modération.
ericb4 - 07 Avril 2015: Merci pour vos appréciations. c'est vrai qu'on ne se lasse pas de l'écouter cet album...
LeLoupArctique - 24 Mai 2015: Je l'écoute en boucle depuis un mois que je l'ai, c'est vraiment une très bonne surprise. Je suis d'accord en tout point avec ta chronique Éric :)
ericb4 - 24 Mai 2015: Merci à toi. Je suis heureux de constater que tu apprécies cet album.
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Chronique @ edenswordrummer

02 Avril 2015

Damnation Angels a trouvé son terrain de chasse, et y agit en véritable prédateur !

Avec son premier album sorti en 2012, Damnation Angels était parvenu à capter l'attention de quelques oreilles attentives. Oeuvrant dans un Power Symphonique très ambitieux et bondé d'arrangements en tous genres, la formation signa un Bringer of Light de qualité, mais timide dans son exécution, les musiciens et les arrangements ne semblant pas laisser exploser leur folie, pourtant indispensable pour des œuvres aussi chargées, denses, et fortes en émotions. Dans l'ensemble, on pouvait clairement apercevoir l'influence de Kamelot, dans l'atmosphère, parfois proche du gothique, les émotions transmises, ou même le timbre de Pellek, au chant. Nightwish non plus n'était pas loin, la densité et la prédominance des instruments à cordes jouant un rôle principal pour ce constat.
Restait donc au groupe à faire preuve de hargne et à développer sa personnalité pour s'extirper au maximum de l'influence de ses modèles.

En 2015, la formation nous annonce la sortie de leur second opus, joliment intitulé The Valiant Fire, et accompagné d'un titre inédit : « Finding Requiem ». Et dès l'écoute de ce petit morceau de bravoure, le constat est sans appel : Damnation Angels n'hésite plus à montrer les crocs, et quelle dentition ! Dès le début du morceau, l'introduction orchestrale laisse présager une force de frappe colossale et la production s'annonce géniale. Un riff de guitare dévastateur entre alors en scène, le tout sur un travail de break à couper le souffle. Pellek présente un chant plein de tensions, tandis que le refrain est une petite merveille qui, au bout de plusieurs écoutes, peut encore surprendre.
En plus de cette hargne se dégageant de ce titre d'ouverture, Damnation Angels y emploie ses orchestrations de manière, pour le moins, originale. Les choeurs sont charcutés, les violons grinçants, et les cuivres plus graves et épais que jamais, le tout aboutissant alors à un Metal Symphonique torturé, doublé d'une capacité de dosage qui manquait légèrement au premier album.

Mais cette petite mise en bouche ne reflète en rien le tournant pris par Damnation Angels dans cet album, tant les titres sont variés et présentent tous un univers particulier. « Icarus Syndrome », par exemple, se propose, à l'aide d'une mélodie électronique froide et profonde, de nous faire parcourir les horizons les plus gris jamais composés par le groupe. Le refrain est très intense et le titre gagne vite en puissante, tandis que les orchestrations se mêlent à l'électronique pour un résultat vraiment unique.
« The Passing », quant à lui, opte pour une power ballade pleine de couleurs et dépaysante à souhait. Pellek accomplit ici un magnifique travail de dosage dans ses interventions, tandis que les arrangements, doux et emplis de majesté, insufflent au titre toutes ses couleurs.

Damnation Angels est parfaitement à son aise et n'hésite donc pas à varier ses horizons et les sentiments qu'il cherche à faire passer tout en gardant son emprunte personnelle, à présent bien reconnaissable. Le travail accompli au niveau orchestral est déroutant de densité et de fluidité, les arrangements se mêlant aux riffs mordants du Maestro qui semble bien décidé à en découdre. « Everlasting », par exemple, résulte d'un talent de dosage parfait entre horizons exotiques, riffs incisifs, breaks assassins et lyrisme. D'ailleurs, pour rajouter davantage de grâce à l'album, les titres de Damnation Angels tendent souvent à évoquer une atmosphère orientale, en accord avec le (sublime) artwork.
« The Frontierman » en est un parfait exemple. Du haut de ses 10 minutes, le morceau garde un rythme lent et serein. Les orchestrations se superposent, multiplient les cassures, tandis que Pellek ne cesse de donner du relief à sa voix pour renforcer cet impression de voyage, poursuivant la démarche entamée sur « Pride », de Bringer of Light.
« Under An Ancient Sun », dernier titre de 9 minutes, paré de cuivres impériaux, accomplit également cet objectif sans anicroche. Il semblerait que Damnation Angels ait écarté toutes ses lacunes d'un grand revers de la main, se permettant même quelques rapprochements avec ses modèles sans sombrer dans la ressemblance excessive.

« Closure » en est la preuve. Son ton dramatique et épique tend à évoquer Kamelot, source d'inspiration flagrante pour le groupe anglais. Mais l'exécution, les orchestrations omniprésentes, la petite touche électronique et la voix de Pellek, chargée en émotion, permettent à la formation de ne pas reproduire les erreurs de « Reborn », de l'ancien album, beaucoup trop semblable au groupe américain.

Damnation Angels a trouvé sa voie, au milieu de ses différentes sources d'inspiration. En plus de s'être considérablement désinhibée, la formation nous livre un album ambitieux, travaillé, aux multiples atmosphères et facettes. Bien sûr, on pourra encore relever quelques menus défauts, comme la démarche quelque peu maladroite sur l'instrumental « The Fire Inside », de 8 minutes, très intéressant néanmoins. Mais nous sommes encore en présence d'un groupe à l'identité récemment trouvée. Aussi, l'album peut présenter quelques passages pour le moins expérimentaux.
Le constat est donc sans appel : Damnation Angels a trouvé son terrain de chasse, et il y agit en véritable prédateur. Avec la sortie du nouvel album de Nightwish récemment, et l'annonce du nouveau Kamelot en mai, les fans de ces deux groupes devraient venir faire un petit tour du côté d'une formation à l'identité forgée par ces deux géants, mais aujourd'hui dure comme l'acier.


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edenswordrummer - 02 Avril 2015: Merci a toi eric :) et comment, ça fait six jours que je l'ai dans les oreilles !! Si avec deux 17, il attire pas du monde celui-ci...
Sonadenn - 03 Avril 2015: Belle chronique! Vivement que cet album soit disponible! Si ce groupe continue dans cette lancée, il jouera bientôt dans la cour des grands!
edenswordrummer - 03 Avril 2015: Merci ! Oui ça fait du bien d'entendre du bon Sympho, ça fait longtemps que je ne m'étais pas autant régalé :D
frozenheart - 03 Avril 2015: Merci pour la chro edenswordrummer. Très bonne analyse du dit album qui complète bien celle d'ericb4.
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