The Monotonous Moment of a Monologue

Liste des groupes Dark Metal Argile The Monotonous Moment of a Monologue
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15/20
Nom du groupe Argile
Nom de l'album The Monotonous Moment of a Monologue
Type Album
Date de parution 2002
Labels Holy Records
Style MusicalDark Metal
Membres possèdant cet album42

Tracklist

1.
 Troubled by the Storm
 01:32
2.
 Satanic Music
 07:10
3.
 Pandemonic Necronomicon
 04:48
4.
 Pyramid Paradise
 05:37
5.
 Heart of the Celestial Empire
 04:47
6.
 In the Shadow of the Horns
 06:09
7.
 Danse Macabre Mist
 04:45
8.
 Organ Cries of Iron
 01:10
9.
 A Lugubrious Funeral
 06:17
10.
 God's Degenerated Angel
 05:43

Durée totale : 47:58

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Argile


Commentaire @ LeMoustre

16 Mars 2016

Pandemonium Lost Tribute

Entre deux Misanthrope, la paire Moréac/Courtois s'est faite plaisir en renouant franchement avec ses premières influences, Celtic Frost en tête. Un peu le moyen de contrebalancer l'optique death mélodique made in Göteborg prise par leur groupe principal à cette époque. Sur ce premier album, le spectre de Celtic Frost suinte par sa présence, occulte, dépressive et mélancolique (les vocaux plaintifs parsemés ça et là sur tout le disque comme sur le référentiel Into The Pandemonium, "Pandemonic Necronomicon" ou "Pyramid Paradise" en sont un beaux exemples).

Si l'on reconnaîtra également l'hommage au doom/death du début des 90's (le Paradise Lost des deux premiers albums, notamment), nul doute que The Monotous Moment of a Monologue propose un condensé efficace et souvent fort réussi de titres forts, mélodiques et mémorisables facilement. Rempli d'une ambiance que l'on pouvait retrouver aussi sur les deux premiers Misanthrope ("Danse Macabre Mist"), et quasi exclusivement composés par Philippe Courtois, l'album est plus que convaincant, voire même attachant, malgré deux ou trois maladresses (les claviers kitsch, parfois, ou des transitions au sein d'un même titre, mais c'est pour chipoter, cela faisant finalement partie de l'hommage).

Ainsi, quasiment tous les titres ont leur propre patte, empreinte de groove malsain, signe d'un album abouti, et que l'on sent mûrement réfléchi. Et comme la production est précise, on ne peut que fortement inciter les fans (nombreux) de cette époque révolue à jeter une ou deux oreilles sur ce disque, sorte d'OVNI musical en 2002. Même la reprise de Dark Throne, parfaitement adaptée, est une sorte d'hommage au tout premier Celtic Frost, dont les compositeurs, peuvent être fiers de ce rejeton tardif.

1 Commentaire

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ebony - 16 Mars 2016: Je ne serais pas objective sur cet album, car j'adore l'univers de Philippe courtois,comme tu le décris si bien, le son d'une époque révolue mais quelle époque bénie à mon ouïe! Un régal de le réécouter régulièrement!
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