Une pochette simple, noire (juste un Christ à l’envers comme image)., bien loin de la musique du groupe, non pas au niveau des idées véhiculées par la musique, mais de sa complexité. Je m’explique : complexe et variée, la musique tient l’auditeur en éveil tout au long des cinq (quatre si l’on ne considère pas la première piste, qui est une intro plongeant l’auditeur directement dans l’ambiance froide de l’album, comme un morceau à part entière) morceaux à coups de riffs sanglants, de martèlements de cymbales et de caisse claire et d’une voix caverneuse.
J’ai bien aimé le mélange
Death (au niveau de la voix) et Black
Metal (du point de vue musical) que propose
Darkshine dans ce
Stigma Diaboli, c’est plaisant à l’oreille et les compositions bien abouties d’un point de vue musical (renforcées par moment par des samples tels des cris de chevaux, foule, …) montrent une fois de plus que la scène underground et extrême française, qui bénéficie pourtant d’une réputation pas toujours des meilleures (mais ceci est un autre débat) a du potentiel et que la relève des grands groupes est assurée, d’autant plus que les jeunes formations ont des musiciens de qualité (ce qui est le cas de
Darkshine). Bonne continuation dans le futur et à bientôt sur scène … je l’espère !
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