Des riffs prononcés, beaucoup d’énergie et de bonnes mélodies tissées dans la lourdeur...
ONCE UPON THE
END a débuté en 2015 en Île-de-France, et a été fondé par des fans de métal païen.
On ne peut pas le nier, les Parisiens ont bien fait les choses et ce dès leur première production. Des éléments folkloriques, combinés avec du death scandinave brutal et de belles voix sombres: tel sera le programme de ce quatre titres.
Notre scène commence à compter en la personne de
Bran Barr,
Infinityum, Sille Volk,
Drakwald,
Belenos,
Himinbjorg,
Boisson Divine,
Haeredium,
Nydvind,
Vindland ou
Fenrir une sacrée renommée. "
Prelude" s’intégrera parfaitement à cette liste illustre, fusionnant le death metal mélodique et folklorique dans un mélange extrêmement savoureux qui interroge quant au fait qu'aucun label n'ai daigné les signer.
Avec des riffs prononcés, beaucoup d’énergie et de bonnes mélodies tissées dans la lourdeur ce premier effort bénéficie d'une force peu commune. Les éléments folkloriques injectent un bon degré de variété et de fluidité.
On vient d'assister à la genèse d'une formation majeure dans le paysage
Pagan hexagonal de façon assez certaine. Ne reste plus qu'à s'atteler à la confection d'un album complet et à la vie sur la route pour fendre des crânes en deux avec cette hache sonore!
Très , très encourageant pour le futur...
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