Landscapes of Disease and Decadence

Liste des groupes Black Progressif Sjodogg Landscapes of Disease and Decadence
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15/20
Nom du groupe Sjodogg
Nom de l'album Landscapes of Disease and Decadence
Type Album
Date de parution 14 Janvier 2008
Style MusicalBlack Progressif
Membres possèdant cet album22

Tracklist

1.
 Intro
 03:54
2.
 A Song of Plague
 06:10
3.
 Inglorious Fever of Antonius
 05:15
4.
 Mahapaatra
 06:24
5.
 Brethren of the Weeping Corpses
 02:09
6.
 Sequestra
 06:54
7.
 The Asphyxiation
 06:20
8.
 Sentinels of the Severed Flesh
 00:24
9.
 Sacrosanct
 01:28
10.
 Kiss of the Blowfly
 06:32
11.
 Outro
 00:45

Durée totale : 46:15

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Sjodogg


Commentaire @ metalpsychokiller

02 Juin 2009
Si le contenu est à l’image du contenant, ai-je pensé en voyant le cover de ce Landscapes of Disease and Decadence ; alors cet album doit être noir, froid et dépouillé…
Et il l’est en effet !!!

Ce quatuor norvégien, Vulnus (chant), Dracunculus (guitare), Tetrapus (basse) et Hordeolum (batterie), ne triche pas sur le produit et annonce la couleur dès le nom du groupe, SJODOGG, appellation norvégienne d’une maladie ovine.

Le cadre ainsi instauré, les membres ou ex de The Flesh, Crest of Darkness et Enthral sortent leur premier album sur le label français « OSMOSE ». Cet « album » étant en fait un réenregistrement de deux de leurs trois démos parues et totalement passées underground.

Dès la première écoute, se dégage une impression de dénuement, de minimalisme, dans les compos du combo. Tout est dépouillé, succinct, voir vomitoire. Une chape nauséeuse tantôt Black tantôt Death se déverse sur vous et vous engloutit. Le chant de Vulnus est la pierre angulaire de cette atmosphère froide et oppressante. D’un côté des riffs dissonants ou « très spéciaux », et de l’autre une voix qui évolue entre gémissements, hurlements, braillements, vomissements …et vous fait ressentir toutes les émotions souhaitées par le chanteur.

Le son est puissant et « crado » juste ce qu’il faut pour ce style musical, mais surtout cet album est surprenant de par ces breaks. Ceux-ci très nombreux, acoustiques à base d’arpèges, aux mélodies stressantes renforcent encore l’impression récurrente d’oppression. Rien n’est laissé au hasard et ce qui passait de prime abord pour du minimalisme n’est en fait que la finalité à atteindre : L’ambiance.- A la fois putride et hantée de relents à vous glacer l’échine-
Pas de prouesses techniques ou de surenchères pour y parvenir, juste un black métal narré et suggestif. Le dépouillement et l’unicité de SJODOGG n’ont rien de révolutionnaires mais ne peuvent laisser indifférents, ce qui donnera des avis particulièrement tranché sur cet opus.
Ceux qui adoreront, et ceux qui détesteront. Pour ma part, j’ai déjà rangé le promo, mais je ne sais plus où…
11/20
MPK

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