Infinite Regress

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15/20
Nom du groupe Defiled (JAP)
Nom de l'album Infinite Regress
Type Album
Date de parution 24 Janvier 2020
Style MusicalDeath Metal
Membres possèdant cet album13

Tracklist

1.
 Intro
 00:23
2.
 Divide and Conquer
 02:30
3.
 Tragedy
 05:21
4.
 Systematic Decomposition
 02:33
5.
 So Blind
 02:47
6.
 Legacy
 01:58
7.
 Masses in Chaos
 02:00
8.
 Centuries
 04:17
9.
 Aftermath
 03:01
10.
 Invisible War
 01:44
11.
 Ignorant
 02:27
12.
 Slaverobot
 02:57
13.
 Infinite Regress
 02:47
14.
 Outro
 00:32

Durée totale : 35:17

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Defiled (JAP)


Chronique @ odrodzenie

26 Mars 2020

ça pilonne sec, ça rosse efficacement, le riffing est incisif et le growl bien caverneux

Vétéran de la scène « death » japonaise, avec 28 ans d’activité et 5 albums aux compteurs, force est de constater que le combo ne s’est jamais véritablement imposé dans le style, la faute sans doute à des œuvres de qualité mais pas transcendantes. Quatre ans après « Towards Inevitable Ruin », Defiled publie son nouveau méfait intitulé « Infinite Regress », toujours sous la houlette de Season Of Mist.

Ce nouvel enregistrement ne déroge pas à la règle. Les japonais n’ont pas viré leur cutil et pratique toujours un « death-metal » bas du front, brutal, sans concession et très ancré dans le « old-school ». La grande majorité des morceaux sont courts et dégoulinants de riffs comme sur « Systematic Decomposition » ou « Masses In Chaos », mais pour maintenir l’attention de l’auditeur et éviter qu’il ne se noie dans cet océan de brutalité, Defiled a su injecter à son propos, une dose de « groove » (« Aftermath ») mais également de la lourdeur, comme sur le morceau-titre, conférant à l’ensemble un peu de variété.

Coté interprétation, ça pilonne sec, ça rosse efficacement, le riffing est incisif et le growl bien caverneux, tout ce qui fait un bon album de « death » en somme. Il est à noter que la mise en son, signé Jim Morris du Morrisound Studio, est en béton armé et que l’artwork, complètement à l’avenant, est l’œuvre de Wes Benscoter (Cattle Decapitaion).

Mais voilà, les griefs incombant aux précédents albums de la formation, sont une nouvelle fois de mise. « Infinite Regress » reste, au demeurant, qualitativement bon et offrira uu moment agréable de « death old-school », mâtiné de « grind » et parfois de « punk » mais qui sera assez vite oublié avec le temps. En fait, hormis la sensation de bien-être procuré aux oreilles aguerries au style, le temps de la découverte de ce skeud, celui-ci sera rangé aux côtés des nombreuses autres galettes, sans avoir trop l’envie d’y revenir.

Au final, « Infinite Regress » ravira, sur le moment, tous les aficionados du style, mais il est fort à parier que ce disque ne passera pas l’épreuve impitoyable du temps. C’est dommage, car Defiled est vraiment pétri de talent. Un bon album tout de même.

6 Commentaires

8 J'aime

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MCGRE - 26 Mars 2020:

Salut tormy la forme, je crois que tu as oublié un mot dans ton commentaire , ah la la tormy qui devient gâteux maintenant hé hé hé .

MCGRE - 26 Mars 2020:

Sans déconner à mon avis c'est un bon skud à chaque fois je me suis régalé avec Defiled il assure les japs

tormentor - 26 Mars 2020:

Ouais ma vu baisse et comme j'écris avec mon téléphone portable c'est encore pire.

Le mot c'est "chro". 

Oui ce groupe déchire comme tu dis ces japs assurent grave!

MCGRE - 26 Mars 2020:

Tu es pas le seul poto moi aussi je suis de plus en plus miro de loin ça va mais de près c'est la merde hé hé.

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