Down from the Sky

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13/20
Nom du groupe Master Crow
Nom de l'album Down from the Sky
Type Album
Date de parution 14 Janvier 2012
Style MusicalDeath Alternatif
Membres possèdant cet album2

Tracklist

1. Contemplation of Death
2. Kill Everyone
3. Thy Soul Is Worth Nothing
4. Route 666
5. Time to Rise
6. Army of One
7. Despise the Crown
8. Sons of Vesper
9. From Dust to Dust
10. Crow Versus Fox

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Master Crow


Chronique @ Kairos

20 Janvier 2012

Un très bon album de Death Alternatif en ce début 2012

Dans la catégorie du Death Metal s'éloignant des sphères brutales et old school pour s'essayer à des choses différentes, la France a démontré au fil du XXIème siècle qu'elle possédait de nombreux talents, que ce soit dans le Death Progressif (Hacride, Misanthrope, 7th Nemesis), le Death Atmosphérique (Klone, Manimal), le Death Technique (Gorod), le Death Thrash original (Minushuman, Trepalium) et bien entendu les incontournables Gojira.
Né en 2006 sous l'impulsion de Kriss, guitariste s'occupant aussi des choeurs et ayant composé l'intégralité de cet album, Master Crow évolue dans un Death Alternatif qui avait dévoilé ses premiers éléments dans les deux démos Origin. Après la 1ère démo, un petit changement de line-up s'effectuait, Lady Dark Doll quittant la formation pour laisser la place au jeune et talentueux niçois Nemphis, qui participa à la 2nde. C'est enfin en début de cette année 2012 que le premier full-lenght du groupe, Down from the Sky, se dévoile.
La pochette, déjà, est sympathique. Bien qu'elle soit faite "maison" avec des éléments du film Le Jour Où La Terre S'Arrêta et la main de Obscure II, elle est disons assez agréable à l'oeil. Avant de commencer à parler de la musique proposée par Master Crow, je précise que le groupe n'est signé sur aucun label et que la production est faite avec les moyens de la maison, ce qui n'est pas du tout évident.

L'album s'ouvre sur Contemplation Of Death, qui est d'ailleurs le premier extrait dévoilé par le groupe et qui à mon humble avis laissait présager le meilleur. Cela commence assez tranquillement, avec un sampler ressemblant à un grincement de plancher (il s'agit en fait d'un claquement de cuisse d'après ce qu'on m'a dit), qui s'élève peu à peu. Alors que la Tension atteint son paroxysme, blam ! On ouvre les hostilités.
Et là on prend directement un gros Pain, non, un 36 tonnes lancé à 150 km/h en pleine gueule. Surtout en fait une première question vient à l'esprit : c'est vraiment une production maison ??? Parce qu'en toute sincérité (oui j'ai décidé d'ouvrir cette chronique par une description de la production, si vous êtes pas d'accord et bah... rien à foutre, c'est moi qui décide), elle est vraiment très bonne. Les instruments sont parfaitement placés, la batterie est juste organique comme il faut, le son de guitare lourd, écrasant, avec un style parfois avoisinant Gojira. La basse est assez exceptionnelle, un son très profond, très pur, parfois un peu jazzy, mais allant tellement bien à la musique...


Il n'y a pas que la production qui met au tapis, bien au contraire. C'est surtout le Death proposé par Master Crow qui laisse béat dès le début. Ça débute par un riff broyeur, dans le plus pur style rouleau compresseur mélodique, rythmé par le martelage en règle de cet excellent frappeur au pseudo si subtil et délicat (Double T Xterminator pour ceux qui ne savent pas aller regarder sur la fiche du groupe). Ce qui me permet d'ailleurs d'en parler, de ce batteur. Car non content de jouer de façon très précise et ryhtmée, il se trouve que DTX a 14 ans , a commencé le groupe alors qu'il avait 9 ans (!!!), et en plus le talentueux élève de Nicolas Bastos (L'Esprit Du Clan, Deep In Hate), et l'a déjà remplacé sur plusieurs dates de Deep In Hate. En faisant attention à son jeu, ça se comprend facilement. Sa frappe est très méthodique, fournissant un jeu fouillé et diversifié, sans jamais se laisser aller à simplement bourriner à coups de blast-beats et double pédale, ce qui fait que derrière ses fûts, il est un des batteurs originaux et surprenants du genre.
Et il n'y a pas que ça qui saisit dès le début ! Je vous rappelle que la formation est dotée d'un vocaliste, Nemphis (Fable), et quel vocaliste...

Le growl de Nemphis, plein de personnalité malgré parfois des influences telles Angela Gossow qui ressortent, se situe entre un James Malone (Arsis) et un Xristos (Inactive Messiah). Ne vous y fiez pas, car parler des vocaux de Nemphis comme d'une pâle copie de ses aînés ne serait pas respectueux de la vérité. À mi-chemin entre Death et Black, sans pencher plus de l'un des deux côtés, cette voix est un des points forts de Master Crow et un des éléments qui font son côté alternatif.
Les autres vocaux, assurés par Kriss, qui en plus de fournir un jeu de guitare fourni et travaillé chante en voix claire, s'occupe parfaitement des arrières de ceux de Nemphis, accompagnant les moments les plus accrocheurs, généralement les refrains, ajoutant une diversité bienvenue et renforçant l'aspect alternatif.

Parlons-en tiens, du côté Alternatif du groupe (oh quelle transition de fou !). Loin de rester confiné au Death Metal pur, les 4 (enfin 3, étant donné que Kriss a enregistré les parties de basse de DFTS) compères s'aventurent sur les terres du Black Metal (le final complètement jouissif de Sons Of Vesper, qui me rappelle les grandes envolées dont est capable Peste Noire) et du Thrash Metal (Route 666) principalement. Mais ça ne s'arrête pas là, il y a parfois un petit côté expérimental (Sons Of Vesper encore, un titre complètement à part dans Down from the Sky).
De ce côté alternatif, je tiens comme exemple Thy Soul Is Worth Nothing. Sans fioritures, le morceau commence sur un riff à la croisée de Behemoth et Gojira, mélangeant le côté surpuissant de l'un à l'hybridité de l'autre, sur lequel viennent se rajouter les vocaux torturés de Nemphis. Et là, changement de rythme, la batterie modifie le tempo pour déboucher sur un riff Groovy à la Pantera. Le morceau poursuit son oeuvre, et tout d'un coup tout s'arrête. Un arpège de guitare lent, simple, même un peu mélancolique reprend le morceau, bientôt épaulé par cette basse si chaleureuse, puis par la batterie. La montée en puissance est progressive, accueillant ensuite voix parlée et insidieux palm-mute (note étouffée par la paume de la main posée à la base des cordes, près du chevalet) de guitare. Enfin tout prend son sens avec l'explosion qui arrive, amenant des solos de guitare ravageurs, montrant que les musiciens sont d'ailleurs assez au point niveau technique. Puis les choses sont reprises là où elles s'étaient "arrêtées" avant cet intermède, pour bombarder jusqu'à la fin. La fin, déjà ? Eh oui, le morceau se termine.
Le côté alternatif se ressent aussi aisément par les nombreuses nuances dont se pare Master Crow, permettant de développer une musique assez riche et diversifiée. Ces aspects ne nuisent en rien à la cohérence, l'homogénéité et la cohésion de l'album, qui est d'ailleurs assez égal le long de ses 41 minutes. On n'y échappera cependant point, chaque album est bel et bien doté de ses grands moments... et de ses instants de faiblesse. Dans le cas de ce Down from the Sky, il y a bien trois morceaux que je vois devenir des classiques du groupe : le très rentre-dedans Kill Everyone, l'entêtant From Dust To Dust et l'agressif Time To Rise, bien qu'on notera aussi le hargneux Despise The Crown.
En revanche, un morceau se démarque particulièrement par sa faiblesse et sa banalité : Route 666. Ce n'est pas un mauvais morceau en soi, mais je le trouve trop prévisible et trop convenu. Il y aussi ce petit côté Highway To Hell qui me dérange.


On est surpris (dans le bon sens du terme) par la maturité et la personnalité de la formation, qui est dotée d'une réelle âme malgré l'ombre des Grands planant encore légèrement au-dessus d'eux. Parmi ces influences on notera notamment Divine Heresy (Time To Rise, Contemplation Of Death), Arch Enemy (Despise The Crown, Army Of One), et même du Slipknot (Crow Versus Fow), ce qui n'est pas surprenant étant donné que Master Crow proposait sur leur 1ère démo une reprise d'un titre des néo-metalleux de Des Moines.
Après avoir fait tant d'éloges du groupe, je ne peux m'empêcher d'avancer un fait : cet album n'est évidemment pas parfait. Voici donc venu le moment douloureux pour les membres du groupe de Meaux-Nice (si du moins ils lisent ma chronique).
Un défaut qui n'en est pas vraiment un pour commencer, étant donné que ce n'est pas vraiment de leur faute : la production manque de puissance. J'espère donc fortement qu'ils disposeront de meilleurs moyens la prochaine fois, pour qu'ils puissent être dotés d'une production allant mieux au "Death Crow", car un regain de force et de puissance leur apporterait beaucoup.
Un deuxième inconvénient qu'il faudrait mettre en exergue, c'est cette tendance à garder parfois les mêmes styles de riffs entre différents morceaux, provoquant parfois un léger manque de diversité dans les jeux de guitares pourtant si aboutis, enchaînant entre palm-mutes ravageurs, riffs tranchants et mélodiques ou entraînants. Les solos de guitare sont excellents, allant parfaitement avec ces riffs.
Dans le même sac que ceci, j'aborde un point qui n'est pas un défaut, mais un conseil que je donne au groupe : pourquoi ne pas aller encore plus loin dans la démarche Alternative ? Pousser la chose jusqu'à son paroxysme ?
D'un autre côté, je pense que ce point-ci se règlera au moins en partie sur le prochain rejeton de Master Crow, étant donné que cette fois Nemphis, arrivé sur le tard pour Down from the Sky, s'intègrera à la composition.
Je pense d'ailleurs que créer quelque chose tendant vers un Death Metal plus technique, dans un style assez proche d'Obscura, Gorod ou Gorguts, ajouterait encore des richesses à la musique du groupe, bien que le bagage technique de chaque membre soit plus que respectable.

En clair, ce premier effort est sincèrement très bon. Matures alors qu'ils viennent à peine de sortir de l'oeuf, les français proposent un Death Alternatif personnel et rempli de différentes nuances. Original, à la fois écraseur et mélodique, ce Down from the Sky s'impose dès le début de l'année 2012 (il sera d'ailleurs intéressant de le comparer avec le nouveau Gojira) et est une des très bonnes sortie de cette nouvelle année.

PS : merci à Nemphis (et Kriss) pour m'avoir envoyé l'album en promotion, ce qui fait que je l'ai reçu plus de 3 semaines avant sa sortie officielle et que je l'aurais sans doute écouté 30 fois le jour de la sortie officielle.

98 Commentaires

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Nemphis - 23 Janvier 2012: Je suis parfaitement au courant des histoires de "DarkBehemoth", c'est vrai qu'il a dit des conneries (je n'étais pas au courant pour Azarath qui est un groupe que j'adore) mais les personnes évoluent et on apprend de ses erreurs. Il suffit de lire cette chronique pour se rendre contre des progrès pas possibles qu'il a fait depuis qu'il écrit. Je ne vous donne pas tort quand vous dites que certaines de ses précédentes chroniques citent des influences douteuses (pense à Behemoth et l'affaire Blasphemy) mais pour être membre de Master Crow je n'ai pas du tout eu l'impression que ce jeune homme était à côté de la plaque pour le coup et je ne vois pas ce qui peut bien te faire "rire" dans cette chronique.

S'il y a deux choses avec lesquelles je ne suis pas d'accord sur la totalité de cette chronique c'est le côté "Xristos" dans ma voix (que je n'arrive toujours pas à entendre mais peut-être que certaines personnes si) et les envolées Peste Noire ou j'entends seulement un passage black metal mélodique. Après vraiment, prenez le temps de lire car c'est un vrai travail qu'il a fourni ici et c'est une preuve d'une vraie évolution. Il fait de gros efforts, pourquoi le descendre systématiquement? J'ai vu un beau paquet de chroniques mal écrites et douteuses être bien reçues alors faites abstraction une seconde de toutes ces tentions et jugez plutôt sur l’instant présent.

Moi je dis bravo pour cette chronique et j'aurais dis bravo même s'il nous avait mis un 6 si c'est aussi bien travaillé qu'ici.
Kairos - 23 Janvier 2012: @van14 : 1/ BG a commencé à me pourrir bien avant que j'aille poster mon petit commentaire sur sa chro de Bal-Sagoth.
2/ La critique de BG a une partie respectable, car il a des arguments et ça c'est un fait. C'est pourquoi elle porte à être écoutée. Alors que celle d'un Nekrophiliak "haha ce mec est drôle et puis t'façon tout le monde le taille, alors je vais faire pareil", beaucoup moins. Alors d'ailleurs Nekrophiliak, si tu viens ici pour me chier dessus, tu peux t'en aller.

Bon je laisse toujours les commentaires ouverts.
opeth59 - 23 Janvier 2012: NON, JE FERME.
Y EN A MARRE.
VOUS IREZ VOUS INCENDIER MUTUELLEMENT PAR PM
BEERGRINDER - 23 Janvier 2012: Van 14 a dit : "Rien à branler de la "majorité des Detahear de SoM"

Étant donné que le monsieur chronique majoritairement du Death (et du Black, mais c'est du même niveau), ça pause quand même un léger problème hein. Tout ceux qui connaissent leur sujet loue son incompétence notoire, apparemment le comité de validation a fini par s'en rendre compte également vu qu'ils ont interdit le jeune homme de soumissions (le fait qu'il soit en fait un membre banni revenant incognito sous un autre pseudo a du jouer un rôle à l'affaire également).

@ Nemphis : Je comprends que tu sois dégouté de voir la chronique de ton album floodé de la sorte, mais ça ne te donne pas le droit pour autant de d'insulter les gens de la sorte, surtout qu'aucun n'est venu chier sur ton groupe.

Je précise que j'ai déjà donné mon avis sur la musique).

Sinon il est vrai qu'il existe encore quelques chroniques anciennes de qualité douteuse (bien que un grand ménage ai déjà été fait), il y a un topic sur le forum public pour en faire la chasse.
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Chronique @ GandhiEgo

30 Janvier 2012

Un album qui plaira aux auditeurs les plus jeunes qui y trouveront un bon « condensé » de Metal Extrême

Maître Corbeau, sur un arbre perché,
Tenait en son bec un fromage.
Maître Renard, par l'odeur alléché,
Lui tint à peu près ce langage…

Tout le monde connait la fable de Jean de la Fontaine et ce qui arriva au corbeau pour avoir succombé aux éloges du renard. C’est plus qu’à des éloges que Maître Corbeau, alias Master Crow a droit sur l’autre chronique (de la discorde) ; suffisamment en tout cas pour y perdre un fromage.

Catalogué en « Death Alternatif », Master Crow, dont c’est le premier album qui fait suite à deux démos sorties en 2010 et 2011, ne facilite pas les choses. Ici pas de « old-school », pas de « brutal death » mais bien un mélange assez spécial de Death Metal avec quelques sonorités qui empruntent à l’occasion tantôt au bon vieux Hard Rock des familles (Route 666), tantôt au Black Metal (notamment pour la voix atypique de Nemphis) et aussi à des sonorités que l’on pourrait effectivement qualifier d’« alternatives ».

L’incursion de voix clean qui font un tantinet pop (Kill Everyone par exemple) ou encore ce timbre des guitares relativement « clair » font à l’occasion penser à des groupes comme Prong (indus) ou quelques groupes un peu plus thrashy. Au final on est plus sur un album qui, malgré des compos plutôt Death Metal, mange un peu à tous les râteliers et donne une impression de touche à tout. Si on ajoute à cela une propension aux soli façon guitar hero de Kriss Mandra, on obtient un album très hétérogène

La force de cet album est donc également son point faible. Trop de variété tue la variété et Down from the Sky en voulant plaire au plus grand nombre perd un peu de son impact. Tous les titres sont bons voire très bons pris d’une manière individuelle mais l'absence de fil directeur et toutes les influences « revendiquées » par le groupe font un peu perdre la tête. Difficile de passer à un titre indus à un autre quasi pop pour finir sur des ambiances Black Metal et une grosse accélération Death Metal et, qui plus est, le placement quelquefois approximatif de la batterie donne une impression d’amateurisme qui tranche avec le côté assez lisse des compos...

L'album plaira, je pense, aux auditeurs les plus jeunes qui y trouveront un bon « condensé » de Metal Extrême mais qui malheureusement devrait laisser les fans endurcis de Death Metal sur le côté de cette route 666. Probablement que le groupe ne vise pas à être plus « evil » qu’untel, ou plus « expérimental » qu’un autre, sa position « mainstream » étant le plus certainement un plan de carrière muri et pensé en tant que tel. Fi de l’underground donc et plus un pari sur l’ouverture. Reste à savoir si le pari sera, ou non, gagné.

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BEERGRINDER - 31 Janvier 2012: Pourtant GandhiEgo se base sur bien d'autres critères qu'un simple ressenti personnel dans ses rédactions, je ne veux pas parler à sa place mais il se base quand même beaucoup sur ses écoutes passés pour établir des comparaisons au niveau qualitatif.

En tous cas tout me parait clair et concis sur cette chronique, et rien qu'en lisant je sais à quoi m'attendre, d'ailleurs sa description correspond sensiblement à ce que j'ai écouté du titre sampler. Il faut dire que je fais aussi partie des gens hermétiques à trop d'expérimentations et qui recherche une ligne directrice claire dans mes écoutes.
stout - 04 Fevrier 2012: Même si cet opus ne semble pas avoir de fil conducteur il éveil suffisamment ma curiosité pour le découvrir. A lire ses chroniques je me demande finalement si le groupe ne se cherche pas encore un peu, je me trompe ?
mastercrow - 05 Fevrier 2012: bonjour je veux juste réagir sur le fait que nous voulons plaire au plus grand nombre, ça oui bien sur ou autrement je fais autre chose que de la musique, après quand on apprends à jouer dans un style musical il faut apprendre le vocabulaire musical de ce style, suivant les époques, l'instrument dont tu joue etc. alors c'est normale que au début tu pars dans tout les sens surtout quand tu as 14 et 18 ans vu l'argent qu'il y a gagner ( enfin plutôt à perdre ) dans le métal je crois que l'on est loin du plan de carrière voilà je suis musicien depuis l'age de 11 ans j'en ai 45 maintenant j'ai fait toute ma carrière comme trompettiste, quand j'étais "au top" j'ai bossé avec des gens Lionel Richie, Paul Anka, Mickael Bubblé, j'ai fais pleins de télé, de tournées etc. donc quand je parle de plan de carrière je sais à peu près ce que je dit, je suis conscient de ne pas être le meilleur musicien du monde ( ça se saurait hein !!!!)ce que j'aime bien dans ce milieu c'est que l'on a faire à des gens passionnés, cela explique aussi que souvent les mouches se tiennent à carreau quand elles passent au dessus de débats fougueux !! bon allé je vais aller bosser un riff de Psycroptic ou peut être Sepultura, ou Origin, ou Metallica ou je vais prendre la trompette et me taper un peu de Salsa ! en tout cas merci de prendre du temps pour écouter, déjà un titre et même plusieurs fois l'album pour d'autre on déjà commencé à écrire des nouveaux titres c'est sur que ça va un peu moins partir dans tout les sens mais va y avoir du mélange quand même
mastercrow - 05 Fevrier 2012: je viens de me relire et je ne me suis pas présenté donc mon de scène est
Kriss Mandra guitariste/compositeur, choeurs et accessoirement père DTX batteur du band
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