As the Shroud of Suffering Suffocates the Land

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14/20
Nom du groupe Shuriken Cadaveric Entwinement
Nom de l'album As the Shroud of Suffering Suffocates the Land
Type Album
Date de parution 15 Juillet 2007
Style MusicalDeath Brutal
Membres possèdant cet album8

Tracklist

1.
 As the Shroud of Suffering Suffocates the Land
 06:52
2.
 Ascension of Nobunaga
 04:03
3.
 Screams of the Genma
 05:10
4.
 As the Rising Sun Bleeds
 04:08
5.
 Resurrection of the Oni
 04:43
6.
 Transcending the Flesh
 04:33
7.
 Breaking the Stranglehold of the Apocalypse
 04:10
8.
 Unleashing the Tides of War
 04:19
9.
 Crumbling the Throne of the Fallen
 04:41

Durée totale : 42:39

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Shuriken Cadaveric Entwinement


Commentaire @ Arachnid

28 Octobre 2008

Cet album s'écoute aussi rapidement qu'il ne s'oublie.

Après avoir écumé les groupes par dizaines (Lividity, Lust Of Decay, Domination Through Impurity, Debodified, Carcinogenic, Epic of Empyrea, Cesspool Of Vermin, Symphony in Acrimony...), le grand Jordan Varela s'attèle à son nouveau groupe en compagnie de Jay Barnes, par ailleurs actuel chanteur de Lust Of Decay.

Alors disons-le d'emblée : c'est moyen, ce projet quasi-perso de Varela n'ayant d'égal que son égocentrisme (Barnes ne fait que chanter sur la musique intégralement composée par Varela). Très bon jeu de batterie mais riffs peu attrayants et surtout assez répétitifs (particulièrement entre "Resurrection of the Oni" et "Unleashing the Tides of War"), incessantes harmoniques peu réussies, basse mise en retrait, jeu de cymbales identique à chaque morceau, mixage peu reluisant...

Je ne vais pas totalement cracher sur ce projet solo mais il faut avouer que niveau originalité, c'est mort (déjà qu'il faut galérer dans le death metal pour se démarquer), même en rajoutant à la fin de chaque morceau un extrait de bataille peu compréhensible et très mal coupé. Restent de bons passages, notamment sur "Ascension of Nobunaga" (très entrainant riff mélo) ou encore "Crumbling the Throne of the Fallen" (indéniablement influencé par Six Feet Under, un titre efficace).

Bref, mis à part un délire mystico-nippon assez barré et une magnifique pochette signée Pär Olofsson (Prostitute Disfigurement, The Faceless, Spawn Of Possession...), cet album s'écoute aussi rapidement qu'il ne s'oublie.

1 Commentaire

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sijj - 28 Octobre 2008: oh oui c'est moyen, juste sympa, mais aussi très confidentiel comme distribution, bref, on en reparlera jamais...d'ailleurs on s'en fout non?
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