Le Grand Cinéma >> Vos films préférés...
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Mardi 27 Octobre 2009 - 18:45:23
Un film excellent que j'ai adoré c'est "Diekkenek".
"Ocean Thirteen" aussi était pas mal. Et "300" et le "Royaume interdit"


Mercredi 28 Octobre 2009 - 00:08:39
Allé ma liste films:
 
Les inspecteurs Harry, que j'ai découvert depuis mon enfance grace à mon grand père qui a fait que j'ai de bon gouts cinématographiques.0
Sinon je vais pas tous les écrires, mais les western avec Eastwood.
Les Indiana Jones.
Danses avec les loup.
Rambo.
Leon.
Les évadés.
Pulp Fiction.
Terminator 1 & 2.
Braveheart.
L'arme Fatale,1 à 3.
Uss alabama.
Seven.
Les Incorruptibles.
Papillon.
Die hard 1 à 3.
La chute du faucon noir.
Le maitre de guerre.
Gran Torino.
Tous les Star Wars.(avec une préférence pour les 4,5,6 puis 1 et 2.)
Les 3 mémoires dans la peau.
Fight Club.
Le diner de con.
Heat.
Danger Immédiat.
Body Of Lies.
36 Quai des orfèves.
Arnaques crimes & botanique.
Le parrain.
Les infiltrès.
Wyatt Earp.
Les tontons flingueurs.
Mystic River.
 
Voila ma bonne petite liste.
Pour pas mal de film, les Indiana, inspecteur harry, pendez les haut et court, Rambo, les évadés, Leon; pour moi c'est pas que des films que j'adores c'est pas mal de très bon souvenir d'enfances aussi.
 
 
 

Mercredi 28 Octobre 2009 - 23:26:38


citation :
MAGGOTS dit :
Tous les Star Wars.(avec une préférence pour les 4,5,6 puis 1 et 2.)
 


C'est marrant parce que au niveau scénario, jeu des personnages, intensité dramatique, noirceur et combats, le 3 est incontestablement le meilleur du cycle, mais j'ai bien bien sûr un faible pour les trois anciens c'est mon époque.
Putain on avait même les figurines Jedi en plastique quand on était gamin, j'avais un garde impérial (les mecs rouges avec leur sabre et leur burka) que j'ai égaré ou cassé comme les autres snif...


Mercredi 28 Octobre 2009 - 23:35:12
Avec mon frangin je me rapelle qu'on avait chacun eu la totale, sabres, masques, tuniques et tous le bazar...
C'était Kenobi contre Dark Maul tous les jours a la maison!0
Sinon Je trouve que le mon bien c'est le 3, une baisse d'intensitée.
Et puis déja le 4,5 et 6 rien que pour Harrison ford, ce sont mes préférés.L'ambiances les personnages, le tout est différent aussi, c'est ce qui fais leur charme par rapports aux autres sortis à mon époque

Mercredi 28 Octobre 2009 - 23:55:39


citation :
MAGGOTS dit :
Sinon Je trouve que le mon bien c'est le 3, une baisse d'intensitée.
 


Ben tu te trompes, les avis sont unanimes, tant celle des critiques que des fans, même Georges Lucas lui même est d'accord avec ça.

Edith : Houla, Darth Maul n'existait pas encore de mon temps ha ha...


Mercredi 28 Octobre 2009 - 23:58:46
Toi c'était Vador! le plus grand méchant du cinéma.0
 
Dark maul était encore un Embrillion dans cette lointaine époque...

Jeudi 29 Octobre 2009 - 10:16:43
Un film s'est rajouté à ma listes de mes films préférés :

"Prédictions" avec Nicholas Cage.


Vendredi 30 Octobre 2009 - 20:47:22





Sin
City est une bande dessinée révolutionnaire de Frank Miller qui fut
réadaptée en film par Robert Rodriguez. Tout d'abord il dut choisir
les volumes, parmi les sept écrits et dessinés par Frank Miller,
autour desquels il allait construire son film. C'est ainsi qu'il
sélectionna trois d'entre eux intitulés : '' Sin City ''; '' Le
Grand Carnage '' et '' Cet enfant de Salaud '' dont les récits
s’entremêlent.


Sin
City est une ville des États-Unis qui détient le plus fort taux de
criminalité. Dans cette ville, où règnent en Maître le vice et le
péché, cohabitent des assassins psychopathes, des violeurs
pédophiles, des politiciens véreux, des flics ripoux, des brutes
épaisses, des bourreaux implacables, des losers sur lesquels la
malchance s’acharne, des strip-teaseuses et des prostituées. La
ville est donc représentée comme la ville de tout les péchés,
réunissant folie, meurtre, sang, sexe, Corruption, crasse et peur...


Il
est impossible de rester insensible à cette œuvre, que ce soit
positivement ou négativement. Ce film est la centre de toute sorte
de critiques. Certains l'adoreront tandis que d'autres crieront au
scandale devant l'immoralité, la violence, le sadisme ou la simple
noirceur de la série. Plaisir ou dégoût, mais aucun sentiment
mitigé...


Tout
le film est en noir et blanc, et les couleurs vives y sont
exceptionnelles et servent à mettre en lumière un personnage
particulier. Les deux couleurs ajoutées au noir et au blanc sont le
rouge et le jaune. Frank Miller dans la BD utilise ces couleurs pour
montrer que la pureté se noie forcément dans la pénombre. Robert
Rodriguez a choisi de l’adapter comme on numérise un story board,
avec une fidélité absolue, allant jusqu’à la transposition de
cases à l’identique. Le film représente la ville comme un cadre
d'un milieu urbain cloisonné, décrivant des personnages évoluant
en marge de toute Justice et une inévitable femme fatale prétexte à
toutes les passions.



Le
monde de Sin City est un monde sans pitié régi par les plus viles
pulsions, dans lequel il n’est pas vraiment question pour les
héros” (ceux qui s’accrochent encore à un soupçon de
moralité, à de vains espoirs et à leurs rêves d’amour brisés)
de faire le Bien mais plutôt de gérer, au mieux, le Mal. Certains
ont une soif de Vengeance à tout moment tandis que d’autres
recherchent désespérément leur salut. Dans cet environnement très
violent, on ne trouve que des âmes torturées et des corps dont le
seul but semble d’être capable d’encaisser toujours plus de
coups. Les habitants qui arrivent à survivre à Sin City sont ceux
qui se sentent à l’aise dans cet univers corrompu et qui le
respecte même, d’une certaine façon, tout en restant loyaux les
uns envers les autres. Toutes ces destinées sont, plus ou moins,
liées entre elles par des histoires d’amour interposées et elles
évoluent au cœur de cette ville sombre, qui est elle-même un
personnage, à part entière. Tous les péchés du monde semblent
avoir pris Possession de la ville où il pleut continuellement.



Les
comédiens viennent s’y montrer, y serrer les mâchoires, se
concentrant sur le canon de leur arme puisqu’il s’agit de leur
principal repère en l’absence de répartie et de décors. Ils
n’ont plus le temps de construire, d’exister. Le réalisateur
fractionne l’espace, déconstruit le temps, sacrifie les comédiens
au profit du sang artificiel qui va gicler de leur corps.



La
ville donne l'impression d'être dominatrice, meurtrière elle-même,
en incarcérant les personnages dans son cœur et leur lançant le
défie de vivre et d'atteindre leur but. En voyant Sin City, on
pourrait avoir l'impression également d'être confronté à un
géant, à la machine qui fait fonctionner tous les pêchés de la
ville. C'est comme si elle était le cerveau de la terreur et du
vice. D'ailleurs, les couleurs noires et blanches, et les effets de
profondeur dans les rues de Sin City, montrent bien la sombre
histoire de la ville et le fait qu'on ne peut se sortir de cette
machine infernale. La profondeur marque le gouffre où les
personnages s'entassent et ne peuvent plus remonter à la surface.



La
représentation de la ville est très bien transcrit. Le spectateur
peut s'imaginer toute sorte de choses et avoir sa vision personnelle
de cette représentation. Il laisse libre cours à son imagination...
Sin City est donc un très bon exemple de représentation de la ville
au cinéma.



Me
concernant, j'ai vu et revu ce film des 10aines de fois et je le
trouve toujours fantastique. Ce film en met plein les yeux. Le
graphisme est magnifique, les couleurs très bien retravaillées et
définies pour chaque élément, et je trouve d'ailleurs le choix du
rouge et du jaune criard très cohérent avec le contexte de
l'histoire.


Le
rouge met en valeur la fatalité de la femme dans le film : le péché
passionnel ( crime, sexe, amour ); et le jaune met en valeur
également soit la beauté de la chevelure de la femme, soit le sang
( le sang d'un homme ressemblant à un monstre hideux dans le film ),
ou tout simplement le corps et le visage de celui-ci puisqu'il fait
penser à une matière moisie et crasseuse.


Je
trouve l'intrigue vraiment bien faite, et ce qui m'a le plus
époustouflé, c'est comment le réalisateur a pu travailler sur
trois histoires différentes sur un film de deux heures, tout en
respectant les détails les plus importants, la narration, et comment
aussi a-t-il effectué ce décalage entre ces histoires si
différentes mais qui finalement ont toutes un lien entre elles.


La
représentation de la ville est absolument extraordinaire... On
pourrait vraiment croire qu'on y est. La ville fait naître en nous
un sentiment d'évasion puisqu'on la parcourt en occupant tout son
espace en suivant les personnages. Un sentiment en nous intervient
concernant la place de la ville dans l'histoire. On a l'impression
que c'est elle qui a tout le contrôle et même avec plus d'ampleur,
que c'est une reine, une majesté. Finalement, c'est comme si
celle-ci nous dépassait.


En
me plongeant dans la ville avec les personnages, j'étais émerveillé
par le gigantisme de son trône tout en ressentant la peur puisque je
m'imaginais aux pieds de cette ville, là où se trouvaient les
personnages, là où la brutalité et la violence dominent les
hommes.


Cet
effet d'émerveillement et de peur mixés, est vraiment, je pense,
l'effet recherché par le réalisateur. Il a voulu mettre une énorme
couche de grandeur et de profondeur pour que nous ne nous sentions
plus nous-même, pour que nous nous sentions surtout, comme si nous
volions dans les airs au-dessus de cette ville. Il a aussi peut-être
voulu donner ce sentiment au spectateur qu'il est intouchable dans
cette histoire et qu'il peut aller où il veut sans subir la violence
que subissent les personnages qu'il accompagne.


Néanmoins
à la fin du film, le héros principal de l'histoire se suicide.
C'est à ce moment là que le spectateur doit se sentir '' vide ''
puisqu'au final, il est le seul à être encore là. Il a vu les
personnages mourir sans pouvoir intervenir alors qu'il a compatit à
leur peur, leur douleur, assisté aux aventures périlleuses des
personnages, alors qu'il a été proche du personnage... Il n'y a pas
vraiment de '' héros '' proprement parlé. Après la mort des
personnages, l'enfer quotidien va continuer d'exister à Sin City. Un
problème résolut ne résolut pas tous les autres. Cette ville
continuera de dominer et de faire régner les péchés, chaque péché
menant inévitablement à la mort pour telle ou telle raison.


Je
vous conseille vivement de voir ce film. D'une part parce qu'il est
très connu, d'autre part parce que c'est l'un des principaux films
en noir et blanc retravaillés. Vous en aurez plein les yeux et vous
vous régalerez de la beauté et de la grande qualité graphique et
artistique du film. Vous n'apprécierez peut-être pas l'histoire
proprement dite ( montrant des scènes extrêmement violentes et
vicieuses ) et l'ironie des personnages, mais ce film vaut le coup
d'œil. Bien entendu, ce qui est aussi intéressant dans ce film,
c'est qu'il dévoile au monde des aspects réalistes mais tabous dans
la société actuelle. C'est d'ailleurs pour cela que certains
téléspectateurs ont été choqués en regardant ce film. Ce sont
des aspects que l'on n'a pas l'habitude de voir, mais que l'on
perçoit indirectement. Ce film ne se veut pas être de la violence
gratuite mais s'adresse véritablement à la société en lui faisant
une certaine leçon de morale et en la questionnant. Et je trouve que de ce point de vue,
l'idée de montrer des aspects certes très choquants en image, est
très intelligente. Cela fait réfléchir tout au long du film
inconsciemment. Enfin vous verrez que la représentation de Sin City
vous émerveillera si l'on écarte les scènes violentes. Par
exemple, au début de l'histoire, on assiste à une scène superbe
sur un balcon de la ville où on la voit dans son ensemble. C'est de
là qu'on peut observer le royaume des horreurs. Dans cette même
scène, vous serez également surprit par la beauté de la couleur du
rouge de la robe de la femme sur le balcon et de son rouge à lèvre.
Je trouve que c'est une scène superbe, représentation de la femme
fatale, vêtue de rouge, une cigarette à la main. Cette scène
montre un premier aspect de la ville : le vice de l'homme et de la
femme qui se finit en crime. Là, la ville montre son côté
meurtrier et annonce que la suite sera bien pire.


Pour
finir, la voix de la narration, voix des personnages principaux dans
chaque histoire, donne un effet plus sombre et macabre à la ville.
Une narration remplie de détails sans importances mais qui pourtant
donne toute sa beauté à l'histoire. C'est comme si l'on craquait
l'écorce d'un tronc d'arbre... Petit à petit, on arrive au cœur
pour trouver le meilleur.

Ce
film est vraiment un chef d'œuvre de la retranscription
cinématographique...

Je l'aie adoré!

Désolé pour la longueur du message mais j'aime bien décrire ce que j'aime.


Vendredi 30 Octobre 2009 - 21:31:08
Sin city 0 quel casting 0   et jessica alba 0

Vendredi 30 Octobre 2009 - 21:50:31
"Vous êtes à votre maximum là bande de tarlouzes?"

Le rôle qui a relancé la carrière de Micker Rourke et lui a sans doute en partie permis d'obtenir le rôle pour The Wrestler.