Art(s) et littérature >> Vos compositions littéraires...
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Jeudi 27 Août 2009 - 00:48:53
En fait, j'ai bien délimité à quel moment devaient commencer et finir mes modifications. Je m'arrange pour qu'aucune modification n'affecte la suite du récit.Pour l'instant, ça fonctionne.
Vu que ça fait la 6ème ou 7ème fois que je repasse des couches de modifications, j'ai fini par tout avoir en tête, et toujours garder une vue d'ensemble.

Si je dois recommencer, je ne ferais plus du tout le même livre, et ce n'est pas là ce que je recherche. Donc je persiste


Jeudi 27 Août 2009 - 21:31:54
Je te souhaite bon courage en tout cas.

Jeudi 03 Septembre 2009 - 23:20:53
Cradle of family


Une jeune coquette s'étant mariée
S'acoquinait pourtant avec maints romantiques.

Le soleil couché, son époux endormit
Aussitôt, elle s'adonnait à l'éveil de ses interdits.
Aucun remords, aucune limite et plusieurs compagnons.
Son alliance au doigt, son esprit à l'abandon
La volage, après que s'éteignent les lumières,
Jouait au jeu dangereux qu'est l'adultère.

Chaque soir un cavalier différent.
Hier un preux croisé et demain un cuirassier.
Leurs chevaux endossés, allant courtiser la belle
Que cachait par une armure cette pseudo-pucelle.

Nulle ombre, nul souci, seulement des désirs assouvis.
Venant le jour où dans cette obscurité,
Un énième homme voulut l'essayer.
Prise de passion, son visage elle n'eût voulut dévoilé.

Le plaisir d'un soir, mais le regret de toute une vie.
Car retrouvant sa demeure, non l'ojet d'une de ses conquêtes
elle eut découvert. Mais le gantelet de son propre frater.

Ö toi, Tuosa ( tu osa), pour ton frère Inces
Quelles Impure tu fais lorsque celui-ci est derrière toi!

Mardi 27 Octobre 2009 - 14:48:26
Eh bien, on peut dire qu'il y a de belles plumes par ici.

Ahem, voilà ma contribution, une petite nouvelle écrite il y a peu, située dans l'univers gothique et apocalyptique de Warhammer 40000.
(Vous remarquerez peut-être pas mal de références, notamment musicales ^^)



LA VICTOIRE NAÎT DANS LE Sacrifice


 Les claquements des bolters résonnaient dans le bunker, le tintement des douilles tombant au sol par dizaines sonnait comme une douce musique aux oreilles d’Aspar. Puis les bolts explosaient, éventrant leurs victimes impies, ces ingrats qui s'étaient détournés de la lumière divine de l'Empereur, et qu'il était juste de punir par la mort.
A chaque bolt tiré, un hérétique tombait.
Il était l’instrument de Sa volonté. Pendant plus de deux siècles, il avait tué en Son nom, et aujourd’hui il allait mourir en Son nom.
« La victoire naît dans le sacrifice » lui avait un jour expliqué son ami Mitzrael, du Chapitre des Hands of Blood.
Aspar n’avait pas peur. Car aujourd’hui, ce principe s’affichait clairement en lui. Aujourd’hui, il allait mourir pour l’Empereur.
Dans le bunker, les survivants de l’escouade Voice of the Fallen n’étaient plus que quatre.
Appartenant au noble Chapitre des Sons of Riddermark,  l’escouade tactique avait été envoyée sur Polaris II afin de s’occuper d’un soulèvement d’hérétiques vouant un culte au dieu du sang, Khorne.
Dix Space Marines contre quelques dizaines de milliers d’hommes. Cela aurait du suffire.

  Aspar reprit ses esprits en entendant la voix de Jacen, le sergent de l’escouade, grésiller dans son vox.
- Ca se calme un peu, on dirait.
En effet, la dernière vague d’attaquant venait d’être stoppée nette aux portes de la ville par une rafale de bolter lourd bien placé d’Aydan.
- Voilà ce qu’il en coûte de s’attirer le courroux des Sons of Riddermark ! Cria celui-ci.
- Ne te réjouit pas trop vite, lui répondit Jacen. Nul doute qu’ils ne vont pas tarder à rappliquer avec du renfort.
Leurs armures énergétiques, à l’origine d’un vert-jaune évoquant les steppes de leur monde natal, étaient à présent presque entièrement grises, à cause de la poussière que dégageait la ville en ruine.
Leurs bolters étaient prêts de s’enrayer, et ils étaient presque à court de munitions.
Ils firent le décompte des chargeurs restants, lorsqu’Aydan fit remarquer :
- Tu a l’air dépité, Achmed.
- Nous avons échoué, répondit celui-ci
- Non, intervint Aspar. Nous n’avons pas mené notre mission
à bien, mais nous serons morts en essayant. Nous avons accompli notre devoir.
- Aspar a raison, dit Jacen. Nous allons mourir aujourd’hui, mes frères, mais nous mourrons avec la fierté d’avoir accompli notre devoir !
- Car nous sommes Ses fidèles serviteurs ! Hurlèrent à l’unisson les quatre guerriers.
Soudain, le visage de Jacen devint grave.
- L’auspex signale une perturbation près de notre position, dit-il en regardant l’écran du petit appareil qu’il venait de décrocher de sa ceinture en l’entendant émettre un son.
- Téléportation ! Jura Achmed avant d’empoigner fermement son bolter, de le Charger d’un coup brusque et de désactiver la sécurité de tir d’un geste précis.
- Ou pire… répondit Aspar.
En effet, à quelques dizaines de mètres du bunker, un énorme bruit de distorsion se mit à bourdonner de nulle part.
Puis soudain, la trame même de la réalité fût déchirée dans une explosion d’éclair et un bruit de tonnerre, révélant un trou béant sur la dimension chaotique du Warp, duquel s’extirpa un démon gargantuesque couleur rouge sang,  aux défenses saillantes, aux ailes gigantesque et empoignant fermement une hache démesurée d'au moins trois fois la taille d’un homme.
Un Buveur de Sang. L’un des démons les plus dangereux auquel l’Imperium pouvait avoir affaire, ici, sur cette planète désolée, envoyé par Khorne pour aider une bande de pitoyables adorateurs.
« Les dieux du Chaos sont vraiment capricieux… » Pensa Aspar.
Dominant les Space Marines du haut de ses huit mètres, le Buveur de Sang rugit d’un son rauque et puissant avant de charger en direction du bunker, fermement décidé à faire couler le sang au nom de son dieu.
Mais les Space Marines n’avaient pas peur. Car en ce jour, ils allaient mourir pour l’Empereur.

  Quelques jours plus tard, alors que la cité était tombée aux mains des adorateurs, des dizaines de flèches de feu percèrent les nuages. Les modules d’atterrissage s’écrasèrent dans un fracas de tonnerre aux quatre coins de la ville, libérant chacun de leurs pales dix guerriers en armure verte, bolter à la main.
La purge avait commencé.
Et chaque Space Marine avait la ferme intention de venger ses frères tombés au combat.




Jeudi 05 Novembre 2009 - 23:54:18
Oulala, j'ai plein de nouvelles mais la plupart sont sur cahiers, sauf plusieurs sur ordi, une de SF (j'en parle sur mon profil) et deux de fantastiques assez sombres....le problème c'est que vu leur longueur et leur complexité, si je poste un extrait, personne ne va comprendre !
De plus, je les modifie tout le temps car jamais contente : je rajoute, j'enlève, je paufine.....et là je suis en plein Syndrome, pas de la page blanche, mais de comment trouver une fin correcte.....

Vendredi 13 Novembre 2009 - 13:41:43
Voilà un poème un peu con que j'ai fait lorsque j'étais, comme vous allez le comprendre, atteint par la grippe (saisonnière svp)




La Grippe

Cinq jours à prier les Saints avec dévotion
Pour qu’elle parte cette clandestine indésirée
Boivent des tasses tout en se sentant torturées
Ses victimes, complices à sa reproduction

Faisant bouillir le sang à le faire cailler,
Changeant les gorges en des geysers à morve,
Parfois une semaine, parfois jusqu’à Orve
Elle frappe en hordes endémiques et sans pitié.

Banale, en Mutation ou dans le TGV
Voila les atouts qu’elle possède pour naitre.
Elle s’offre sans intérêt à tous les êtres
Préférant les frêles qui ne peuvent être sauvés


Voilà, certaines tournures ou éléments (TGV, fallait insérer un objet lié à la modernité) peuvent paraître étranges mais c'était dans la consigne (ouep j'ai fait dans le cadre scolaire, ce n'était pas uniquement pour sublimer ma douleur maladive au travers de l'écriture).




Mardi 08 Décembre 2009 - 01:39:59
Allez je relance le Topic avec trois textes écrit par mes soins, que je ne saurais trop catalogué dans un genre précis.
 
Voyage Sensoriel :
Je le sens, ce souffle qui viens et qui m'emporte, me trainant au seuil d'un paradis artificiel rempli de néons aveuglants qui éblouissent les lambeaux d'un monde déchirés par la nature fourbe d'une vie sans réels fondements... Mais avant de partir quelques mots qui resteront gravés me viennent à l'esprit, comme les
dernières paroles de l'homme attendant l'état de grâce dans le couloir de la mort. Un Testament sans valeur, faisant office d'ultime récit dédié à une existence belliqueuse, tiraillant l'esprit désarçonné de l'éternel enfant rêveur, qui, dans son utopique Conception d'un sentiment transcendant tout autre, voudrais saisir la
véritable sensation du bonheur incompris de tous. Celui ci n'étant que l'appaisement de l'âme, qui, se reposant aux cotés de l'amorphe vision de l'être,
resplendissante tel une œuvre abstraite, dont la valeur n'est que fond, sans réelle forme, ne détourne sa pensée par la rétine. Exutoire tourmenté d'une philosophie
poétique, effleurant la splendeur, et contemplée avec le cœur, s'élevant au dessus de toute futilité matérialiste pour un repos dans l'honneur et la sérénité...
 
La Chute :
Et de ses yeux, elle voit ressurgir les larmes du passé, s'écoulant chaque jour de sa pupille rougeatre, comme la fraiche rosée matinale. Ces gouttes qui tombent sur le
parquet d'un fracas semblable à celui de l'accident survenu quelques mois plus tôt. Terrible perte que celle de l'être qui nous a mis au monde.Un foyer, une personne,
un amour, un père, ne laissant derrière lui qu'un désastre de plus. Car même si l'abandon ne fut pas orchestré par ses soins, cela n'en demeure pas moins douloureux, pour celle qui seule dans ses pensées attends le retour de l'homme qui lui avait appris à sourire. . .
 
Nous Brûlerons :
Enfer Synthétique,
Illusion Cauchemardesque.
 
Flirtant Avec L'interdit,
S'élevant Face Aux Siens.
 
Sensation Répugnante,
Le Désir De L'immonde.
 
Né De La Chair Et Du Sang,
Il Se Tient Là Eternellement.
 
Comme Le Miroir Des Parias,
Lumière Terne Des Exclus.
 
Dans Ta Longue Agonie,
Le Temps N'est Que Fabulation.
 
Ta Tristesse N'a Dégale,
Que L'univers Infini.
 
Perdant Tout Espoir,
Je Me Repose Au Creux De Ton Être.
 
Ayant Comme Seule Ration,
Les Larmes Qui Coulent Telle Une Rivière,
 
De Tes Yeux,
Aveuglés Par Tant De Haine...
 
 
Sinon j'ai écris une phrase que je trouve plutôt sympathique :
"Il y a des erreurs qui détruisent le coeur des hommes, le genre d'erreurs qui ne peuvent s'effacer et laisse un vide curieux au beau milieu des coeurs."

Jeudi 10 Décembre 2009 - 16:03:45
c'est la chanson du minet miné ou du mistigri aigri ???

Jeudi 10 Décembre 2009 - 19:15:28
Je crois que j'ai le paragraphe le moins horrible. Il me fait même presque un compliment en disant que je suis "tenace". Merci Archevil, c'est gentil.

Archevil, le metalcat qui a perdu son cerveau
Archevil, le metalcat qui a perdu son cerveau
Ton chant me donne de l'acouphène,
Petite péripatéticienne,
Pour Modo (x3)



Vendredi 11 Décembre 2009 - 18:29:29
Merci flint. Bah tu sais, j'ai le matos, j'peux t'en faire le tube de l'été