Jeux >> Vos Tests de Jeux Video
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Samedi 15 Mai 2010 - 13:43:02


Dark project/thief et particulièrement le premier.

L'infiltration de splinter cell, hitman, Assassin Creed et bien d'autre ont prit forme dans un coin bien sombre du jeu video car Thief était l'un des premier du genre (voir le premier, pour la 3D) et toujours actuellement celui qui représente le mieux le genre pour moi.Je détaillerai ça après la mise en place de l'univers et du scenario.

Vous contrôlez Garett, un nouveau membre de la guilde des voleurs et vous devez remplir des missions pour vous même et aussi pour la guilde dans un univers médiéval-fantastique.
Car même si le début se veut assez réaliste malgré des éléments surprenants pour l'époque comme des lampadaires et diverses machines qui semblent provenir de l'univers de Jules Verne.Plus vous allez avancer et plus vous allez découvrir des endroits et des créatures étranges et plonger petit à petit dans une quête qui vous dépasse.

Les premières missions sont des vols assez classiques et basiques pour vous faire un peu à la routine d'un voleur de la guilde et puis va alors arriver une mission qui va vous embarquer dans une vraie aventure.Lorsqu'une femme vous demandera de voler l'épée d'un bourgeois du nom de Constantine dans un manoir étrange, surnaturel et à l'architecture improbable.
Cette mission changera la vie du jeune Garett et de là, tout va devenir plus personnel et dangereux pour votre vie, il faudra non plus travailler pour sa richesse mais pour sa survie et celles des autres.

Je parlais d'un vrai jeu d'infiltration par rapport à bien d'autres car même si le jeu est en vue FPS, on est bien loin d'être capable de finir les missions en bourrinant et en tuant tout sur son passage.
Garett est un vrai voleur et n'est absolument pas un guerrier, vous avez comme arme principalement: Une matraque pour assommer les cibles en Silence, une épée à utiliser en extrême recours quand tout semble perdu et un arc.
Les confrontations directes sont à éviter absolument car même un garde isolé vous donnera du fil à retordre et il est possible qu'il vous tue assez facilement dans un duel à l'épée même si vous avez toute votre vie.
Si il prévient d'autres gardes ou qu'il n'est pas seul, c'est peine perdue, ça ne sert à rien d'essayer.

Thief, C'est pas Conan le barbare

Si Garett n'est pas un guerrier, par contre c'est un vrai fantôme et il a tout un attirail pour rester invisible et opérer dans le silence.Il faudra pour ça faire attention à plusieurs chose

La lumière: Chose très importante, vous avez une barre de luminosité qui brille lorsque votre personnage est visible et devient de plus en plus sombre lorsque vous êtes caché...Vous devez être en permanence invisible et assez loin des regards pour éviter de vous faire repérer.
Les flèches à eau sont là pour vous faciliter la tache et éteindre les feux et torches à distance, attention tout de même a faire ça proprement car des torches qui s'éteignent toute trop vite, ça attire la suspicion.

Le bruit: Bien entendu, il faudra faire attention au moindre bruit et aux surfaces sur lesquelles vous marchez, ainsi que déplacer les objets les plus bruyant le plus délicatement possible.
Les flèches à mousse sont là aussi pour vous aider car elles permettent de faire apparaitre de la mousse sur le sol et s'y déplacer sans aucun bruit.

Ne pas exister, laisser aucune trace: Il faudra faire attention sur l'instant mais aussi prévoir les réactions futures, on ne laisse aucune piste derrière nous et on cache et se débarrasse des corps, on remet les objets en place, tout doit être niquel si quelqu'un passe dans le coin.

Vous disposez de plusieurs objets dont certains seront à acheter plus tard grâce à vos larcins.
Les différentes flèches pour votre arc, flèche à eau, flèche à mousse, flèche explosive (Pas le meilleur moyen de rester discret mais assez efficace en zone), flèche à bruit (Tirer dans une direction opposée pour attirer les ennemis), flèches à cordes pour escalader les obstacles.
Le passe-partout pour ouvrir les serrures résistantes, plus la serrure est difficile et plus ça met du temps, là encore, ça fait du bruit donc prudence.
Et d'autres gadget plus ou moins utiles qui vous faciliteront la vie.

Chaque mission dispose de plusieurs objectifs, les principaux à remplir pour terminer la mission, les secondaires pour vous enrichir un peu plus ou pour le challenge.
Le mode de difficulté le plus élevé demandera de ne tuer absolument personne et c'est là que ça devient franchement intéressant, d'autant que plus le mode de difficulté est élevé, plus il y aura d'objectifs à remplir et donc de challenge.

Le scenario, l'univers, l'ambiance


Trois choses qui font de ce jeu un chef d'œuvre et aussi un OVNI...C'est sombre, très très sombre.Vous êtes absolument seul du début à la fin dans le noir et le silence le plus complet entouré d'évènements surnaturels et de situations parfois vraiment flippantes mais interdit de crier ou de réagir, la survie c'est le rester une ombre et oublier la peur et le stress.
Il faut rester le maitre des évènements même si on ne comprend parfois plus rien, les observer et juste survivre en ne voyant que l'objectif de la mission en cours.
Les "ennemis" ne seront pas tous humains et leurs réactions ne seront pas non plus toutes les mêmes.

Pour le scenario en lui même, en dévoiler même une petite partie, ça serai du spoil donc je ne vais pas trop m'y aventurer mais il est vraiment très très bon.
Toutes les cinématiques sont sublimes avec un style graphique qui lui est propre, mélange dessins/vrais acteurs, les dialogues et doublages sont parfait ce qui rend l'immersion totale.
C'est toujours un plaisir de se cacher derrière une porte et écouter les PNJ discuter entre eux, les entendre parler tout seul en disant des conneries ou alors en essayant de vous parler quand ils pensent entendre un bruit avant de se dire que ce n'était surement que leur imagination.
Le mélange Médiéval/technologie/fantastique ou le soleil ne semble pas exister fait aussi son effet et on y adhère très rapidement.

Bref:

En résumé, Thief est une série géniale et originale...Déjà pour l'époque (1998) mais toujours maintenant et s'impose comme un vrai jeu d'infiltration ou il n'y a pas de place pour les kamikazes et les rambo en herbe.
Avec un scenario et des dialogues passionnants, matures et travaillés dans un univers complexe, riche, immersif et mystérieux.
Des passages ou on se sent maitre des lieux et ou on incarne la peur et d'autre ou c'est totalement l'inverse...on se sent piégé et vulnérable dans son propre manteau de ténèbres.


Samedi 15 Mai 2010 - 19:34:30
Excellent test Vortex. Thief est une serie que j'apprécie énormément.

citation :
du jeu video car Thief était l'un des premier du genre (voir le premier, pour la 3D)
En fait Thief a été le premier FPS à proposer de l'infiltration à une époque où des jeux comme Doom dominait le genre. C'est ce qui a fait en partie sa renomée : la subjectivité du FPS est mise au service de l'immersion et l'ambiance que propose le jeu.


Samedi 15 Mai 2010 - 19:55:40
Oui, pour ça que je précise pour la 3D et donc pour le FPS car l'infiltration existait déjà avec le premier metal gear sur la NES où deux vieux jeux d'arcade comme Elevator Action qui reposait sur un système d'ascenseur et l'autre (Dont j'ai oublié le nom...) était un jeu où on contrôlait deux voleurs à jouer en coop qui devaient dévaliser divers bâtiments.

Eidos était un des premier à rendre le FPS original avec Thief et le cultissime Deus ex.

(Sinon c'est Vertex avec un E et pas le bassiste de dimmu  )


Samedi 15 Mai 2010 - 21:46:25

citation :
(Sinon c'est Vertex avec un E et pas le bassiste de dimmu  )

Oups, désolé confusion avec l'ex-bassiste de Dimmu.
Sinon Deus Ex est aussi une excellente série, j'attend beaucoup du trois.


Mardi 13 Juillet 2010 - 16:17:35

Sorti il y a plusieurs mois, en mi-octobre plus precisement, Brutal Legend est un jeu comportant plusieurs DLC et qui as fait "moins bien que prevut" pourquoi ? Est-ce parce qu'il n'est finalement pas un bon jeu ? Car il a trop deçu ? Revenons plus tot sur ses qualités et ses défauts.

On suit donc l'histoire du roadie (technicien), nomée Eddie Rigges, d'un groupe de jeunes comme on en voit tant (vous savez ceux qui a la simple mention de leurs noms voient les jeunes filles hurlées et s'evanouirent), deçu par l'actuel etat du monde musical et nostalgique sans l'avoir connu de l'age d'or du métal. En sauvant un des menbres du groupes qui s'etait mis en Danger par une de ses pitreries Eddie se retrouve grievement blessé, et par l'ecoulement de son sang dans sa boucle de ceinture stylisée, se retrouve transporté dans le monde du métal.

Il s'y fait trés vite agressé par des pretres de sang démoniaques et des nonnes de combat. Par chance il rencontre la jeune rebelle humaine Ophélia qui vas l'aider, ensemble ils s'echappent et Eddie rejoins la "cause pour la libération de l'humanité" (composé au debut de trois personnes...). Le reste du jeu n'est alors que le suivit du groupe des "métalleux" a travers leurs luttes contre l'empereur Doviculus et ses sbires.



Le jeu se veut trés tourné vers l'humour, des le debut blagues et comique de situation fusent, et ça tout du long. Bien sur certaines personnes n'apprecieront pas cet humour, mais il est loin d'etre gras et bete comme on pourrait s'y attendre de la part de méttalleux (stéreotypés). On pourrait croire d'ailleurs vu le coté "pour le fun, rien que le fun" du jeu que l'histoire ne sera qu'une vaste blague sans vrai interet scénaristique, et bien non, on as droit a des morts sans resurection, des retournement de situation et autres, et ils ne sont pas "ridicule", autrement dit, on as droit a un bon alliage d'humour et de serieux (seul petit bémol les phrases glorieuses un peu ratées).
Par ailleurs Tim scaheffer, maitre d'oeuvre de Psychonauts et de Day of the tentacle et aussi celui de Brutal Legend, ne lesine pas sur les moyens, non pas technique avec moult effets de lumieres et de particules, mais plutot aux niveaux du casting. Car oui, mis a part Jack Black qui prete son physique et sa voix a Eddie, de nombreuses stars du métal sont representées ET doublé (en original) par eux meme, on y retrouve donc Lemmy(Bassiste-chanteur de Motörhead), Rob Halford, (le chanteur de Judas Priest) ou encore Ozzy Osbourne.
Et mieux encore, meme si la Bo est sublime et ponctuée de voix pour le moins célebres, la version francaise du doublage fait intervenir plusieurs doubleurs importants et assez connus mais surtout doués : le doublage francais est d'excellente qualité et d'assez nombreux joueurs le prefere a la version originale, les intonations y sont parfaitement respectés et les doubleurs sont dans la peau de leurs personnages, ce qui est, il faut l'avouer assez rare pour etre souligné.



Venons en au coeur du sujet : le gameplay.
Celui-ci s'avere acrocheur, c'est le moins qu'on puisse dire, mais hélas il perd un peu de sa force avec la suite du jeu, bien que la prise en main soit parfaite...
Le jeu se partage un style mi-beat'em all, mi-STR. La partie STR pouvant faire peur lorsqu'on pense a "console de jeu" est ici trés bien gérée, rien d'extraordinaire, mais dynamique et facile de prise en main. Le coté Beat'em all lui s'essouflera(bien que faisant un trés bon depart) car les quelques combos debloquables son bien peu pour se prolongez tout le jeu durant... par contre certains ont trouvés regrettable l'absence de saut, mais bon, en réalité ce n'est guere pénalisant. Meme si le jeu peut derouté a quelques moments, avec un peu de concentration, vous le reussirez assez facilement, meme trop dirait-on, ce qui est assez dommage. Commencé le jeu dans sa plus haute difficulté possible (Brutal) est meme conseillé; les succés eux meme sont d'ailleurs plutot simples, avec un peu de méthode et de patience, a obtenir.
Mais cette difficulté pourris le jeu car trop facile et trop intense, il se finnit trop vite, en géneral en 7 heures de jeu (25heures de jeu pour les plus gros acharnés qu veulent finnir le tout dans son integralité), et bien que les mission soit rejouables et le mode multijoueurs bien pensé (mais un peu deserté), le jeu a donc une faible durée de vie.




Les graphismes quand a eux sont desservis par un moteur molasson, mais sauvés par des maitres du design, en effet, l'ambiance graphique et le look de tous les personnages est assez unique. Ce style graphique donne d'ailleurs sa touche personnele a Brutal Legend.
Voici venir le gros point fort du jeu : sa tracklist.
Car oui Brutal Legend est un jeu par et pour les métalleux et amateur de hard rock, et nous avons droit a pas moins de 107 morceaux (plus meme) des plus grand groupes de métal (Anthrax, Megadeth, Black sabbath, Judas priest et bien d'autres), de tous genres et de toutes époques, et ce ne sont pas forcement leurs meilleurs morceaux qui se retrouvent projetés dans le jeu mais avant tout des morceaux qui colle a la peau de la mission ou on les entend. A ce niveau d'ailleurs, l'immersion est a son comble tant la musique correspond bien au moment de son utilisation.

Le jeu a par ailleurs tellement de clins d'oeils (pas seulement au monde du métal) qu'on sent l'amour des concepteurs, TOUS les elements du jeu ont un rapport direct avec quelque chose, et ça c'est beau, tout simplement.

Pour finnir je dirais que ce jeu est celui qu'il faut posseder absolument si l'on est un amateur de métal, ou auquel il faut jouer, au moins, si l'on est pas refractaire au style.
Les extensions sont par contre, completement inutiles meme...

Note standard : 15/20
 
Développeur: Double Fine Productions
Editeur: Electronics Arts
Type de jeu: Beat'em all/ Stratégie
Sortie en fance le: 16 octobre 2009
Plateforme: Xbox 360 et Ps3
Classification: Interdit au moins de 18 ans (mais avec la possibilité de retirer sang et insultes, le jeu vous le propose meme de maniére humorisitique en début de partie)

Mardi 13 Juillet 2010 - 16:24:19

Tales of Vesperia est le dernier jeu d’une franchise déjà bien connue, sorti en été 2009 sur Xbox 360 et peu de temps après sur Ps3.

On y suit l’histoire de Yuri Lowell, habitant de la capitale impériale : Zaphias. Celui-ci à la manière d’un justicier punit de ses propres mains les criminels protégés par la Justice impériale. C’est en violant la propriété d’un noble pour y retrouver le "noyau de blastia" de la fontaine du quartier pauvre (en fait une petite sphère bleue qui permet a la fontaine de fonctionner) qu’il se fait arrêter par des gardes puis incarcérer au château. Lors de sa fuite il rencontre une jeune noble agressée par des chevaliers. Celle-ci lui annonce que son meilleur ami faisant partis des chevaliers impériaux cours un grave Danger, et d’ailleurs au même moment apparait un assassin…
Vient ensuite le périple de Yuri a la poursuite du voleur de noyau de blastia tout en essayant de retrouver son ami Flynn.
Bien sur le tout vas petit à petit prendre des proportions assez énormes (sinon nous ne serions pas dans un RPG voyons).
L’histoire a son lot de choses prévisibles et de déboires énervant (du style les personnages qui sont censé vous faire les grandes révélations meurent ou fuient et ca plusieurs personnes de suite…), mais c’est un peu le lot de ce genre, heureusement Vésperia s’en tire pas trop mal a ce niveau, mais on aura vu mieux.


Une des forces de Tales of Vesperia et que Yuri est plutôt original en tant que héros (certains diront même qu’il a un charisme fou…), de même trois autres personnages de l’équipe ont une identité forte, et certains méchants sont des ovnis tels un certains Yeager qui parle avec un accent et dit régulièrement "ya" tout en utilisant une faux-fusil.

Le style graphique, on aime ou on n’aime pas : il est très particulier, donnant l’impression d’évolué dans un anime. Les cinématiques sont a ce niveau sublimes, sinon le reste du temps, si vous n’êtes pas épileptiques vous supporterez voir aimerez.
Bien sur si vous appréciez lire des manga le style ne pourras que vous plaire.


Les combats eux se déclenchent lors de la rencontre avec une créature, celles-ci se baladent, visibles sur l’écran ou la carte. Le combat se déroule en temps réel et vous avez le contrôle de votre leader. Les combats sont d’ailleurs très dynamiques ce qui évite la fuite systématique d’affrontement trop lourd et pas forcément utile comme c’est le cas dans d’autres RPG.

Le gameplay, lui, se voit (comme l’histoire d’ailleurs) prendre de la vitesse par rapport à un début assez mou. Car très vite frappe fatale (sorte de coup Fatal porté a un ennemi lorsque vous l’avez harcelé de techniques), artes explosifs ou mystiques (les "artes" étant en fait les techniques, votre premier arte sera par exemple une onde de choc filant sur le sol) se rajoute au simple combo de trois coup avec un coup spécial a la fin.
De même après quelque heures de jeu toutes les armes posséderont des capacités incluses sur elles, capacités qui seront apprises a force d’utiliser une arme en possédant. Ces capacités allant d’un simple « +5% en force » a un mouvement de recul en pressant une touche ou encore la possibilité de frappé pendant un saut, ce qui bien sur augmentera encore la technicité et l’intérêt des combats, tout comme la durée de vie car vouloir avoir toute les capacités peut facilement devenir une petite manie récurrente.



La difficulté du jeu en elle-même est assez légère, toutefois le jeu ayant un paramétrage de la difficulté, beaucoup d’à coté, de défis, et disposant d’un new game plus (permettant donc de recommencer le jeu avec divers bonus) cela n’est pas trop grave.

La durée de vie est bien sur énorme, faisant facilement 50 heures de jeu en ligne droite, voir 200 pour tout finir a 100%...

La musique en elle-même est assez moyenne de manière globale, certains thèmes sont épiques, d’autres enchanteurs, d’autres encore barbants (comme c’est le cas pour la musique de combat standard). Le doublage des personnages est en Anglais, mais le tout est intégralement sous titrés en français, les puristes reprocheront d’ailleurs au jeu de ne pas leur laisser le choix de la langue.

Le jeu est jouable jusqu’as quatre, en local… chacun contrôlant un des personnages a l’écran, la version Ps3 possède des « extras » car sortie après la version 360.

En conclusion, Tales of Vesperia reste un RPG dynamique mais qui ne plaira pas forcémment au puriste du tour par tour, doté d'un style graphique spécial qui la aussi ne plaira pas a tout le monde, mais qui est frais et original. Y joué presente un risque chronophage aigu, mais le tout étant de qualité cela ne sera pas un problème.

La note globale : 17/20
 
Développeur : Namco Bandai
Editeur : Namco Bandai
Genre : RPG
Classification PEGI : -12
Plateformes : Xbox 360 et Ps3


La jaquette européene du jeu :


Jeudi 15 Juillet 2010 - 21:37:41
Test : Split Second Velocity.

Editeur : Disney Interactive.

Développeur : Black Rock Studio.

Style : Course.

Disponible Sur PC et consoles HD.

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Prologue : Split Second c'est quoi ?

Split second, c'est une émission télévisée auquel vous allez participer, le but est simple, faire des courses endiablées ou tout élément du décor peut se retourner contre vous, en effet l'équipe de production nous à placé divers explosifs en tout genre sur les fondations des divers bâtiments que pouvez rencontrer.. et n'attendant que vous pour les activer.

Il vous faudra donc braver tout un championnat divisé en 13 saisons, comportant chaqu'une divers modes de course.. qu'il voudra remporter afin de gagner le plus de points possibles.

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Episode 1 : Ca se passe comment ?

Le gameplay bien qu'assez original est fort simple et sera assez vite maitrisé... vous faites des courses classiques contre 8 concurrents dans des environnements plutôt urbains..

environnements que vous pouvez faire détonner à tout moment sur vos concurrents ! pour se faire il vous suffira de remplir une jauge de puissance au moyen de dérapages, sauts et esquives d'attaques ennemies; Une fois celle ci remplie, il vous suffira d'activer au bon moments les déclencheurs C4 et autres joyeusetés du genre ( lâché de baril, Grue en mouvement ) sur vos ennemis.

Le jeu comporte deux types d'attaques, les Bleues prenant 1/3 de votre barre de puissance, délivrant des petites attaques, et l'orange qui vous retire l'entièreté de votre jauge, délivrant alors des attaques dévastatrices, pouvant aller jusqu'à changer la moitié du terrain, ouvrant alors de nouvelles voies sur le circuit jusqu'alors inexploitées.

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Episode 2 :  Les modes de jeu disponibles.

Rassurez vous, le jeu ne se résume pas qu'à la simple course destructrice.. vous aurez également droit à différents modes de jeu tels que :

Elimination : toutes les 15 secondes le dernier se fait éliminer.

Survie : Foncez et dépassez de nombreux camions qui vous bombardent de barils explosifs avant la fin du temps imparti.

Détonateur : Parcourez un stage le plus vite possible ou tout les évènements explosifs se déclenchent face à vous.

Attaque aérienne : foncez dans ce stage en évitant les salves de missiles envoyées par un hélicoptère qui vous prend en chasse.

Revanche aérienne : Idem mais vous pouvez renvoyer les missiles sur l'hélicoptère.

Le jeu possède bien évidemment un mode course rapide, réseau local, et internet.

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Episode 3 :  La musique, les Graphismes , la maniabilité ?

Niveau maniabilité rien à redire, au début on a un peu du mal, certaines voitures étant assez raide dans les dérapages ou d'autres beaucoup trop légères.. mais une fois habitué, on parcours les circuits avec aisance.

Pour les Graphismes, hé ben, c'est beau ! il n'y a rien à redire, les explosions sont superbes, les décors bien soignés, et le Hud vraiment ergonomique.

La musique quand à elle, est de bonne qualité, si vous aimez l'electro / drum n' bass, vous allez être servi, le tout correspond bien à l'ambiance survoltée du jeu.

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Episode 4 :  Et la durée de vie dans tout ça ?

Le jeu comporte 13 saisons, comportant à chaque fois 4 modes de course différents, 1 mode bonus à débloquer en détruisant des voitures adverses et une course Élite, ou il faudra arriver au minimum 3ème pour réussir.

En remportant chaque course ( même en étant 7 eme ) , vous gagnerez des points, ceux vous permettront de débloquer de nouvelles voitures ainsi que d'avoir accès au courses élites.

 Pas d'inquiétude sur ce point là donc, il y a de quoi s'occuper, d'autant que le mode multi est bien complet et vous permettra de bien vous amuser entre amis.

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Episode 5 :  C'est parfait comme jeu alors ?

Parfait non, Rien n'est parfait et ce jeu ne fait pas exeption à la règle.

La maniabilité au début sera assez rebutante, on aura dur à réussir les premiers championnats la difficulté de ceux ci étant assez élevée, et les crash forts fréquents.

Niveau Graphisme, le jeu bouffe beaucoup, attendez vous à avoir un bon pc sinon vous allez ramer, le jeu est assez gourmand.

et je terminerai par les environnements, bien que ceux ci soient parfaitement détaillés, ils se ressemblent malheureusement de trop, de l'urbain et un peu de canyon et le tour est vite fait.. seulement 16 circuits disponibles.

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Fin de la saison : Une Conclusion ?

Malgré ses quelques défaults le jeu est d'une excellente facture et d'un fun assuré ! si vous cherchez un jeu de course de type arcade, bien déjanté et sortant de l'ordinaire, vous avez trouvé votre jeu ! n'hésitez pas et foncez !




Mercredi 27 Juillet 2011 - 22:44:57
On peut dire que je me suis arraché le cul mais pour écrire tout ça, mais j'avais envie de vous en faire profiter.

Mount and Blade : Warband


Un jeu de rôle dans une époque médiévale, l'avez-vous déjà vu ?
Sorti le 30 mars 2010 exclusivement sur PC, ce deuxième opus (qui peut être intégré au premier) peut se jouer (aussi) dans le premier Mount and Blade, d'où le terme "add-on" ne serait approprié.

Pour en acquérir la démo, vous devez télécharger le fichier du jeu (en français, bien qu'il existe plusieurs liens d'hébergeurs français où le fichier intégralement en anglais), qui pèse environ 700 Mo. En installant ceci, vous pourrez aller jusqu'au niveau 7 mais ensuite, si vous voulez continuer, il faudra payer une clé ID qui coûtera entre 14,99 € et 25 € (selon les sites).



Graphiquement, c'est très moyen par rapport aux jeux de la génération 2010, mais on s'y fait ! Le gameplay et le scénario complexes sont l'une des richesses du jeu, qui vous Fera scotcher devant votre écran durant des heures et des heures.

Plusieurs modes de jeu s'offrent à vous :
Le dictactiel
Cela vous permet de vous donner une première impression du jeu, en ce qui concerne les déplacements et les touches d'action car, il faut le reconnaître, le gameplay n'est pas très aisé quand vous débutez.
Après cette petite excursion, vous pouvez décider de vous entraîner à combattre (que je conseille fortement avant de vous lancer dans l'aventure principale) avec des armes en bois. Là, vous cravacherez autant pour la visée d'attaque de défense, que ce soient pour éviter les coups de bâton ou en donner.
Le système de combat est à peu près le même que celui de Risen (clique-gauche : attaque avec l'arme en main ; clique-droit : défense au bouclier). Ceux qui y ont déjà goûté s'en sortiront mieux dès le début à coup sûr.


Campagne principale
Avant la création de votre personnage, vous devez créer son passé. Plusieurs options s'offrent à vous : vous pourriez être le fils d'un noble désargenté, d'un guerrier vétéran, d'un marchand ambulant, un chasseur, d'un nomade des steppes ou même d'un voleur !
Si vous choisissez la première option, vous devrez prendre une bannière proposée par des dizaines d'autres pour représenter votre noblesse.
Dans votre jeunesse, vous auriez pu être un écuyer, un universitaire, un forgeron, ou encore autre chose...
Puis, dernière chose, concernant votre personnalité en lien avec votre passé : dans quel but vous amenez-vous dans les terres de Calvadia ? La perte d'un être cher, la Vengeance, l'envie d'avoir beaucoup ou de pouvoir ou simplement l'envie d'aventure ? Cela influera sur l'attribution des compétences de départ.
Ensuite, vous créez la facette de votre personnage. Rien de très compliqué, vous pouvez vous occuper de la couleur de peau, de la barbe, des cheveux, de la forme des yeux, etc.


Après la création du passé et du physique de votre héros, vous devrez choisir quelle destination prendre.
Arrivé à destination, votre caravane est attaquée par un bandit en pleine rue (et en pleine nuit, normal). Là est votre premier test, premier combat. Conseil : équipez-vous directement du bouclier puis de l'épée. L'ennemi s'amènera vers vous soit à l'épée, soit en tirant des flèches.

Dès que vous l'éliminerez, le marchand qui vous a conduit ici vous amènera dans un lieu protégé cette fois, pour parler affaires. C'est ici que vous commencerez vraiment votre aventure.
A vous de peaufiner votre présent et de vous faire une (bonne ou mauvaise) réputation dans les terres de Calvadia !

La renommée de Calvadia

Plusieurs choses feront en sorte que vous deviendrez une bonne ou une mauvaise personne dans ce monde. Protégez les paysans, apportez-leur du bétail durant la famine, chassez ou tuez les bandits des rues des grandes villes, conduisez-vous en justicier ou alors, tout le contraire, pillez les villages, attaquez attaquez tout ce qui bouge et profitez de la corruption qui y règne.
L'honneur y est aussi de rigueur. Si vous attaquez des bandits en train de piller un village, vous recevrez de l'honneur. Après ce combat acharné, les paysant voudront vous donner leurs récoltes en guise de reconnaissance. Si vous refusez, vous disant qu'ils en ont plus besoin que vous, sachez que vous gagnerez des points supplémentaires d'honneur pour cette belle action.

L'entraînement

Plusieurs terrains d'entraînement sont dispersés un peu partout dans Calvadia (à savoir un seul par royaume). Un maître des armes vous y attends et vous pouvez alors vous exercer à l'attaque, la défense, au tir à l'arc ou l'arbalète et à l'attaque à cheval autant de fois que vous le voudrez !
Cela est très conseillé dès le début de la partie. De plus, vous gagnerez des points d'expériences à chaque ennemi vaincu.

Le recrutement
Vous pouvez recruter un certain nombre de soldats (selon votre niveau) qui chevaucheront et combattront pour vous durant votre voyage. Chaque village regorge plus ou moins des paysans qui veulent prouver leur courage sur un champ de bataille. Ou si vous préférez, vous pouvez recruter des mercenaires d'expériences dans les tavernes des grandes villes, mais ce sera au prix fort.

Les combats

Avant chaque combat, plusieurs option s'offrent à vous.Vous pouvez combattre avec vos soldats (ce que je recommande fortement) ; envoyer vos soldats sans vous ; ou carrément se rendre. Dans ce cas, vos soldats seront congédiés, vous perdrez de la renommée, des deniers, mais en plus vous serez fait prisonnier ! Et le temps qu'un rançonneur s'intéresse à vous pour payer le prix, vous perdrez déjà beaucoup de temps...
Mais revenons à la bataille. Elles sont très tactiques. Sans tactique, vous risquez de vous faire prisonnier, même en étant en nombre supérieur. Pour cela, ne vous trompez surtout pas ! Sachez que vous pouvez disposer au départ qu'entre une trentaine et une quarantaine de soldats dès le début du combat (les renforts viendront par la suite, s'il vous reste moins de 80 % de vos unités pouvant encore combattre).
L'infanterie, la cavalerie et l'archerie seront des choix cruciaux pour vous. Choisissez bien qui commencera la bataille avec vous !
Par contre, si vous choisissez de combattre avec vos troupes, sachez seulement qu'il vous sera interdit d'être KO ou sinon votre "armée" aura de grandes chances de voir son moral baisser et d'en payer le prix fort par les épées.

La vie du groupe au quotidien
Cependant, n'oubliez pas que votre groupe doit toujours très bien traité par vous-même, pour qu'aucun de vos soldats ne vous fasse défection ou même pire... Qu'il ne rejoigne l'ennemi !
Cela passe par votre bravoure ou votre méchanceté, des quêtes délivrées par les Maîtres de guilde de chaque grand ville, que vous les réussissiez ou non, aura toujours une incidence sur vos poulains.
Et surtout, ne négligez pas les réserves de nourritures ! En effet, si vous n'en avez pas assez, le moral général du groupe diminuera et cela se fera ressentir en combat.
Et bien sûr, de pouvoir les payer par semaine. Donc, choisissez bien du niveau du recrutement, ne vous mettez pas bêtement dans une dette abyssale à cause de cela.

Le système de vassalisation
Comme au temps de la France médiévale, vous pouvez proposer vos service à tel ou tel royaume en prêtant allégeance. Mais il faudra d'abord vous faire une renommée.

Dès que vous vous sentirez prêt, choisissez pour quel royaume vous voulez servir et allez voir son roi, que vous trouverez dans la salle du trône, dans la capitale de la faction choisie.
Les royaumes sont composés d'un roi, de seigneurs (vassaux) qui le servent, de personnes de classe moyennes ainsi que de paysans.
On peut comparer à quelles civilisations font référence les royaume du jeu (qui sont fictifs). Bien que je n'y ai rien trouvé d'officiel, j'ai essayé de voir à quelles civilisations les royaumes font référence et voici ce que ça donne :
- Royaume de Swadia : culture occidentale (France, Angleterre, côté ouest du Saint-Empire romain germanique, ...)
- Royaume des Nords : culture scandinave (Suède, Norvège, Danemark)
- Royaume Vaegir : ?
- Royaume des Rhodoks : culture byzantine (Byzance)
- Khanat de Kergit : culture mongole (Mongolie ou Khanat de Crimée)
- Sultanat sarranide : culture ottomane ou mamelouk (j'ai encore des doutes...).

Dès que vous prêterez allégeance, le roi (ou le sultan) vous octroiera un fief (un village en réalité) que vous devrez gérer pour l'aider à prospérer. C'est à ce moment-là que vous deviendrez un seigneur, sire, etc.
Mais en ce qui concerne votre fief, attention aux agressions extérieures (bandits, armées étrangères), vos paysans risqueraient de perdre toutes les récoltes !
Bien sûr, vous pouvez monter plus haut dans l'estime du roi, en remportant des batailles et en suivant (et plus tard en menant) des campagnes. Vous aurez l'occasion aussi, plus tard, si vous faites de bonnes actions pour votre souverain, de devenir Général de l'Armée royale.
Lorsque vous aurez assiégé puis pris une forteresse par la force, n'oubliez pas que vous pourrez envoyer un émissaire au roi pour lui demander de vous l'attribuer (cela dit, cela devrait vous revenir de droit, mais n'oubliez pas que des querelles persistes entres seigneurs et que vous vous ferez des ennemis...).

Plus tard dans le jeu, vous aurez la possibilité de devenir roi. Mais pour cela, il faudra gagner des points de "Droit à régner". Moi je n'ai jamais eu encore cet honneur.

D'autres options pourront vous êtres proposées bien sûr, prendre par exemple le parti d'un seigneur réfugié "légitime" pour régner sur un royaume alors que quelqu'un d'autre, d'illégitime, a usurpé la dynastie, et qu'il faudra le déloger. Bien sûr, c'est un acte de trahison et vous devrez recruter maints soldats et vous casser la tête à coups de stratégies pour y venir à bout. De ce fait, vous serez déjà désigné Chef des Armées révolutionnaires.

Les mods
Si vous en avez marre ou si vous n'aimez carrément pas la version Native ("Vanille") de Mount & Blade, vous pouvez toutefois télécharger gratuitement des mods faits par des fans, dont la plupart sont malheureusement en anglais. Des traductions françaises existent et sont toujours en cours.
Je détaillerai cette section plus tard dans un autre post, quand je me serai bien immergé dans certains mods que je vous conseillerai.

Parties multijoueurs
Ou encore, si vous vous lassez de la campagne principale ou des mods, vous pouvez toujours guerroyer contre d'autres joueurs en ligne... jusqu'à 64 !
Certaines parties sont requises d'un mod spécifié qu'il vous faudra télécharger si vous ne le possédez pas encore.

Maintenant, à vous de choisir votre destinée !!




Graphismes : 13 / 20
Jouabilité : 17 / 20
Durée de vie : 19 / 20
Bande-originale : 18 / 20 (j'ai rarement entendu une si belle BO dans un jeu. Simple, mais efficace !)
Scénario du jeu : - (vous le créez vous-même).


Lundi 22 Juillet 2013 - 22:30:16
http://rétrogaming.fr/

Le dossier : Etat d'âme, pas un test à vrai dire (bien que le site en comporte, dark forces, Phantasmagoria, Shivers de moi) juste quelques paragraphes sur mon ressenti actuel sur le rétrogaming.