Bon allez un petit topic où on pourra publier nos propres tests de jeux, pas de longueur minimum mais par contre il faudra indiquer les critères habituels :

* Graphisme
* Gameplay
* Durée de vie
* Ambiance sonore
* Scénario
* Note Globale
avec une note sur 20 pour chacun des critères (échelle qui permet suffisamment de justesse)

Vous pourrez testez les jeux actuels auxquels vous jouez mais aussi des oldies qui vous ont marqués ou des bouses pour lesquelles vous vouliez vous défoulez.

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Je suis navré de ne povoir indiquer la durée de vie parce que c'est le type de merde à laquelle on ne peut jouer plus de 20 minutes sans tout couper! Scénario Absent bien sur


Sur les Traces du Baron rouge
Editeur et Dévellopeur  : Davilex
Genre : Taupe Gun
Note  : 3/20 (et encore je suis gentil )



Ce mois ci dans nos colonnes c’est avec émotion que nous nous
apprêtons à mettre en ligne une interview exclusive de Ghunter Von
Braake consultant militaire sur les productions Davilex…  Figure de
l’ombre de la firme aux 1000 chefs d’œuvres cet ancien pilote de l’air
Force hollandaise reviendra en détail sur la genèse de Sur Les Traces
Du Baron Rouge, la simulation de combats aériens la plus marquante
depuis Ace Combat premier du nom…
- Première question Ghunter comment avez-vous été mis en contact
avec Davilex, il semble étrange qu’un ancien pilote de l’air force se
retrouve consultant dans une entreprise familiale comme celle-ci.

- Relisez vos fiches, moi j’étais juste balayeur dans le Hangar à
avions, d’ailleurs si je suis entré chez Davilex c’est juste parce
qu’ils m’ont viré de l’armée car je n’en branlais pas une. Alors quand
le soir au cofee shop je me suis retrouvé face à des gars bizarres qui
m’on demandé ce que je faisais là. Pour me la péter je leur ai dit que
j’étais de l’air force, ces derniers m’ont alors proposé de devenir
leur consultant pour un jeu en préparation. Comme ils me promettaient
beaucoup de sous j’ai accepté.

-  Un hasard de circonstances en somme !

-  Un malheureux hasard vous dirais-je car ces enfoirés ne m’ont jamais
payé, pire encore mon nom n’est pas affiché au générique du jeu, alors
que j’en ai réalisé la totalité en une après midi chez moi alors que
ces derniers étaient en train d’essayer de comprendre comment allumer
leur ordinateur… Il s’est avéré d’ailleurs que l’ordinateur était juste
débranché.

-  Vous plaisantez là, un seul homme n’aurait pas pu concevoir une telle merveille en une seule après midi.

-   Ah si je vous assure, d’ailleurs comme j’avais du temps à perdre ce
jour là j’en ai profité pour réaliser GIGN Anti-Terror Force espérant
que j’allais avoir une augmentation. Mais comme je le redis, jamais je
n’ai vu la queue d’un radis pour mon travail.

-  Seriez-vous en train de me dire que chez Davilex il n’y a que des escrocs ?

-  Je ne m’étendrais pas sur le sujet mais sachez juste que j’ai côtoyé
des mafieux plus honnêtes que ces gens là, mais ne suis-je pas là pour
parler du jeu ?

-  Si en effet entrons donc dans le vif du sujet,  commençons donc
par la réalisation du jeu, comment avez-vous fait pour obtenir un rendu
graphique, si, comment dire, particulier ? Le rendu de brouillard est
tout simplement hallucinant de réalisme, on se croirait en pleine purée
de pois en permanence, et que dire des décors, ils semblent sortis tout
droit d’un trip sous LSD ?

- Un Vrai artiste ne donne jamais ses secrets sachez juste que c’est un savant mélange de toutes mes névroses réunies…

- Allez mince vous n’êtes pas dans nos colonnes pour user de langue de
bois, c’est une question qui turlupine tous les fans du jeu. Ces
derniers ne parviennent pas à comprendre comment il est possible de
faire aussi sublime, comment peut on habilement méler le brouillard de
Silent Hill avec la pauvreté graphique de Air Combat de namco ?

- C’est bien parce que c’est vous… En fait c’est très simple il m’a
suffit de télécharger un kit de développement super nes et d’y ajouter
le patch Silent hill. Trois carrés deux ailes, un mec bizarre aux
commandes et une hélice dans la carlingue et hop là le tour est joué…
ca m’a environ pris 10 minutes pour créer les aires de jeux, en posant
des bâtiments au pif tout en me roulant un ouinje…


L’hélice au milieu de la carlingue fallait oser !
- En effet cela montre une belle maitrise, et pour le moteur
physique, il est étrange que des avions rebondissent sur le sol et
explosent en touchant un buisson non ?

- Le moteur quoi ??? je sais pas il y avait un menu comme ça ouais ben
j’ai cliqué au pif et le rendu était sympa… Je me rappelle juste que
pour les explosions j’ai choisi la case 8bits Extreme Destruction.

- 8bits mais tout s’explique c’est pour ça qu’une image en gif apparaît
dès que l’avion explose. Pourquoi ne pas y avoir pensé plus tôt ?

- Et oui un génie comprend plus vite que la moyenne..

Si ça c’est pas du full HD…
-   Allez une autre petite question , comme vous est venue l’idée de
créer un jeu se déroulant pendant la première guerre mondiale, et de
laisser le choix entre plusieurs persos qui sont des clichés ambulants ?

-   Ah ça a vrai dire je me rappelle plus me semble que c’est un gars
de davilex qui m’a dit que si c’était inédit ça se vendrait mieux. Les
persos ne sont pas des clichés du tout il représentent très bien leur
pays… Dommage j’avais pas le JPEG baguette pour le pilote français ça
aurait été plus réaliste…

« La France l’écharpe, la cocarde, et la belle veste de poète, sont trop fort chez Davilex ! »
-  Si vous le dites… bon un autre détail qui me chifonne, la
maniabilité des avions est calamiteuse, au moindre mouvement de souris
ils partent en vrille, ne tournent pas et en plus corrigez moi si je me
trompe mais il est impossible de viser correctement du premier coup…

-  Ca se voit que vous n’avez jamais piloté d’avion vous..

-  Vous non plus il me semble !

-   Euh (NDLR il est gêné), oui mais j’ai connu des pilotes et m’on dit
que c’était pas facile en vrai, alors mon jeu c’est de la simulation
voila tout. Pilotez un avion en vrai vous verrez bien que un coup de
manche trop brusque assure un écrasement rapide ! Puis viser a la
mitrailleuse à Mach, eu 60Km/H ben c’est pas facile quand on pilote..

-  Très bien voila de bien bonnes explications, allez une dernière question et je vous laisse repartir !

-  Y a des coffe Shop en France ?

-  Non désolé !

- Fait chier, bon posez votre question en vitesse alors !

- D’accord, la musique du jeu est excellente comment avec vous réussi a
obtenir un thème musical aussi dantesque, aussi pittoresque et aussi
festif ?

- Ben y avait une fanfare de cirque qui passait dans la rue j’en ai
profité pour enregistrer avec mon MP3 et je l’ai balancée à la va vite
dans le jeu. C’est aussi simple que ça très cher !

- Bon et bien merci pour ces brillants éclairages sur le jeu et je vous
souhaite une brillante carrière dans le dévellopement des jeux vidéos.

- Merci à toi, que ce jour reste gravé dans ta mémoire, et mon avenir
est assuré des bon petits gars nommés Team 6 m’on proposé un contrat.

De cet entretient exclusif une chose est ressortie, Sur Les Traces
Du Baron Rouge est une perle, un nanar de compétition à chaudement
conseiller aux grands fans de la firme de Veenendaal qui verront ici un
cahier des charges Davilexiennes amplement rempli…Kovalsky

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EXTERMINAAAAAAAAAAAAAATE!!!!

P'tain Davilex roi des jeux pourris.

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merci kovalsky me suis bien marré en tout cas !
je suis allé voir la date de sortit du jeu par curosité, vu les screens je pensais qu'il était sortit en 1999-2000 en fait il est de 2005!

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Non mais ça les graphismes dépassés de 5 à 10 ans a la sortie d'un jeu c'est la Davilex Touch! Et encore là j'ai mis les réglages au maximum
Note que c'est un des plus "jolis" et "esthétiques" que les hollandais aient pondu
Ayant une cargaison de leurs chef d'œuvres les tests sont présents ICI

Quand je dis cargaison,...



D'ailleurs j'me relance un petit GIGN par masochisme

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EXTERMINAAAAAAAAAAAAAATE!!!!

un petit test d'un jeu récent.



Style : Action / RPG

thème : Futuriste.

Config : Prévoyez un pc assez récent, le jeu est assez gourmand.

Voici le dernier né du studio ClockStone ( qui nous a pondu Avencast, autre Action/RPG de thème héroic fantasy au style de Combat bien particulier. )

Et cette fois ci, au oubliettes les elfes et compagnie, place au bases spatiales, au déserts arides et au zombies mutants, vive le futuriste !.



et alors ? qu'est ce qu'on y fou ?

tranquillos dans votre vaisseau pirate, vous tombez sur un appel à l'aide venant tout droit d'une des colonies terriennes, cependant une fois à bord de cette station, tout est vide, aucun contact radio, et vos seuls amis sont des cadavres ambulants.. à vous de découvrir ce qu'il s'y passe.

Oui c'est très peu, et malheureusement c'est comme ca que l'histoire commence, et a vrai dire, on en apprend pas beaucoup plus par la suite...
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La base. 

Le jeu nous propose donc comme tout hack n slash qui se respecte de nombreux monstres à dégommer, un inventaire bien complet avec ses objets rares, uniques, en mauvais état.. etc.

la difficulté : 

assez corsée, une fois mort pas de fontaine de renaissance, pas de retour en arrière avec perte de po, on est ko, et on recharge la partie. De plus certains passages s'avèrent assez frustrants avec des boss interminables ou des rayons lasers à traverser qui vous donneront envie d'éclater votre clavier... les ennemis de base ne sont pas très résistants, mais font très mal.. il faudra donc bien souvent s'amuser à les éviter plutôt que de bourriner.


La colonie.

Interaction avec le monde :

Assez bonne, des tonnes de barils à exploser, des distributeurs de santé, des pièges par ci par là, des tapis roulants etc.. etc..

Dynamisme :

si les monstres arrivent en masse, on est malheureusement quand même loin du gros rpg bourrin ou l'on défonce tout le monde à coup de massue, certains pourront trouver le jeu un peu lent, mais d'un coté, je vois mal l'astronaute sortir sa massue pour fracasser du zombie, on tire, on lance des bombes, on esquive, etc...

Graphismes :

D'assez bonne facture, ici rien à dire, de beaux effets d'ombrages/lumières, décors et environnements assez bien foutus.


Monde désertique.

en détails :

chez clockstone, on aime le 3.

3 héros différents, ( Pyro, mitrailleur, tireur Plasma )

3 système d'attributs ( compétences actives, passif offensif, passif défensif )

3 caractéristiques à développer ( vie, bouclier, énergie )

3 Mondes différents ( Station coloniale, Désert aride, temple en ruine )
 
Possibilité de multi, avec 3 joueurs

1 système d'esquive, assez pratique contre les gros boss.

De nombreuses énigmes à passer nécessaire pour avancer dans le jeu.


Les ruines.
 
Musique/Effets :

de bonne facture, mélange rock ambiant / electro. mais seulement quelques pistes disponibles.. donc autant se dire, après 10 min ca fait ch...

les effets audio quand à eux sont de bonne qualité, rien à redire.



Note Globale :

14 / 20.

une fois passé outre les pièges à recommencer 5 fois, les boss interminables, et les musiques répétitives à souhait Greed Black Border est un bon petit jeu de hack n Slash, surtout si vous voulez sortir de l'univers Héroic Fantasy.. mais ne lui en demandez pas trop nonplus, c'est loin d'être le jeu de l'année..

Quelques Images ..



 





Et voilà, j'espère que vous avez aimé

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Je sais que je ne plait pas à tout le monde... Mais quand je vois les gens à qui je ne plait pas, je me demande si ça me dérange vraiment.

A jeu monstrueux pavé monstrueux





Assassin’s Creed 2

Editeur : Ubi Soft

Développeur : Ubi Soft Montréal

Disponible sur : X-360 , PS3 , PC (en mars 2010)

Genre : Action/Infiltration

 



Assassin’s Creed un jeu qui a défrayé la chronique au moment
de sa sortie, à la fois baffe graphique, et déception au niveau du gameplay les
aventures d’Altaïr ont laissé un gout d’inachevé dans la bouche de pas mal de
joueurs. Il faut dire que malgré l’aura classieux et la reproduction
hallucinante des villes de la Terre Sainte l’extrême répétitivité du jeu nuisait
quelque peu à l’immersion. Ce n’était pas un mauvais jeu mais un titre à fort
potentiel non terminé. Mais voila les quelques éléments scénaristiques
intéressants du premier ne pouvaient que conduire à une suite. Chose qu’Ubi ne
tarda pas annoncer. Suite à une campagne promotionnelle omniprésente, de buzz
qui n’a épargné personne et un nombre d’annonces effarant l’attente envers ce
jeu ne fut que plus grande. C’est donc au terme de cette campagne marathon que
le jeu est sorti le mois dernier. Maintenant reste a savoir si ce buzz et
toutes les attentes que je plaçais en ce jeu sont justifiées. Et inutile de
faire durer le suspens plus longtemps la réponse est oui.



 

Niveau scénaristique l’histoire commence pile ou s’était
terminée celle du premier. Desmon Miles pauvre Barman Parisien (j’invente pas c’est
dit dans la BD ) a contribué à son insu à un plan des Templiers qui
recherchaient une relique ancienne en fouillant sa mémoire génétique. Le jeu
commence donc dans la peau du peu charismatique Desmond qui va rejoindre un
groupe d’assassins en s’évadant d’Abstrengo. Ce dernier en lieu sur plongera a
nouveau dans l’Animus pour revivre les actions de son ancètre Ezzio Auditore de
Firenze un jeune italien issu de la bourgeoisie florentine de la Renaissance
qui sera amené par un concours de circonstances à mener une Vendetta contre
ceux qui ont trahi sa famille. Un résumé assez rapide du pitch du jeu qui va étaler
un scénario très complexe riche en rebondissements malgré tout très bien
construit. A l’inverse du premier épisode ici chaque élément scénaristique s’intègre
dans une grande fresque qui tien en haleine jusqu’à la Deus Ex Machina qui
devrait en calmer plus d’un. Assassins Creed 2 peut se targuer de posséder un
scénario qui arrive à éclairer les zones d’ombres du premier tout en laissant
le joueur en haleine dans l’attente de la conclusion d’une trilogie qui vient
soudainement de prendre un consistance inattendue.



 

Techniquement le jeu est tout simplement renversant. Si le
premier était beau ce deuxième volet est tout simplement enchanteur. Ezzio se
mouvant avec une classe absolue dans des villes criantes de vérité. Si l’on
bave devant Florence et la Toscane au début il va se révéler que Venise est
tout simplement magique. Les architectures sont criantes de réalisme, les habitants
ont des réactions très logiques et aucun endroit semble mort. Tout ces élements
atteignant leur paroxysme durant le court chapitre se déroulant pendant le
carnaval de Venise. Les animations sont toujours aussi bien foutues et Ezzio ne
meut avec encore plus de naturel que son ancêtre Altaïr. Le moteur physique est
lui aussi tout simplement démentiel avec des collisions gérées au millimètre. On
trébuche sur une caisse au sol, en percutant un passant ou en sprintant sans
regarder ce qui nous passe devant. Les ennemis sont également victimes de ces
désagréments ce qui bien souvent va jouer en la faveur de l’assassin. Lancez des
pièces de monnaies pour affoler la foule et ces pauvres gardes se retrouveront
à avancer tant bien que mal au milieu de la cohue. Enfin les effets d’eau sont
superbes. Ezzio pouvant nager (ouf !!) ce dernier ce retrouve mouillé
quelques minutes après être sorti de l’eau. Un détail diront certains, certes
mais il renforce l’impression de travail d’orfèvres mené par l’équipe de développement.




 

Le Gameplay quand à lui reste inchangé les commandes
répondant toujours au doigt et à l’œil et les possibilités de mouvements énormes
sont renforcées par quelques ajouts intelligents. En effet l’escalade est moins
automatisée et permet une meilleure approche des ennemis en surplomb ou au
contraire une fuite plus rapide vers les hauteurs. Les combats gagnent en pêche
par l’ajout de nouvelles capacités telles que le désarmement, les finish move
se déclenchant maintenant suite à un bon combo. Ces derniers sont toujours
basés sur un système de contre mais tolèrent un peu mieux les approches
bourines. Approches que l’on emploie que rarement tant les contres s’avèrent d’une
efficacité redoutable. Enfin l’ajout de nouveaux gadgets faisant de Ezzio une
sorte de James bond des temps anciens multiplie les possibilités d’approches. Fumigènes,
lames empoisonnées , double lame et autres canons cachés vous offrent de
nombreuses possibilités quand à l’approche que vous aurez d’un assassinat. Le
fait de pouvoir recruter des prostituées ou des malotrus pour foutre le bordel
en ville permet aussi d’éviter des combats lorsque le temps nous est compté
pour éliminer une cible. A ce titre la progression dans le jeu fait l’impasse
sur les pénibles enquêtes et enchaine des missions variés intéressantes dans
leur majorité (hormis le début un peu laborieux tant qu’Ezzio est encore un
jeune insouciant). Ce qui est surtout bien fait c’est le fait que le joueur
peut soit suivre ce que lui disent ses contacts soit assassiner avec sa propre
approche et ainsi varier les plaisirs (bon je dois avouer que le saut du haut d’un
toit avec la double lame reste le plus jouissif). Ceci a pour effet de donner
une meilleure rejouabilité au titre. De toute façon la durée de vie étant
conséquente vous en aurez déjà pour un moment à terminer le jeu à 100%. Comptez
15 à 20 heures pour le scénario et rajoutez le double pour les quêtes annexes
pour obtenir un titre à la durée de vie plus que conséquente à l’heure
actuelle. Les quêtes annexes sont variées, on trouve ainsi des temples perdus à
explorer à la manière d’un Prince of Persia, des assassinats secodaires, des
courses ou encore la rénovation de la villa d’Ezzio. Bref il y a de quoi faire.
Terminons en parlant de la bande son qui est très convaincante. Les musiques sont
enchanteuses et les voix françaises de très bonne facture.






Le jeu n’est pas exempt de reproches entre autres le fait qu’il
s’avère plutôt facile pour un joueur ayant quelques années d’expérience dans le
domaine, et que le scénario peut s’avérer un peu tortueux pour qui ne rentre
pas dedans. L’IA des gardes commet quelques impairs mais rien de bien méchant
et leurs réactions sont souvent crédibles. Mais ces quelques défauts sont noyés
au milieu d’un jeu solide, consistant et frisant de très près la perfection. Bref
Assassins Creed 2 entre pour moi dans mon Top 3 des meilleurs jeux de tous les
temps et éclate sans trop de difficultés tout ce qui est sorti sur 360 à ce
jour (je dis bien 360 car Uncharted 2 sur PS3 semble en avoir dans le caleçon
lui aussi) !

 

                  Résumé :

 

Graphismes : 19/20 : Que dire d’autre si ce n’est
Wah, on se retrouve bluffé par ce souci du détail d’un bout à l’autre !
Il n’atteint pas la note parfaite en raison des visages que certains trouveront
moyens…

 

Gameplay : 20/20 : La Rolls Royce du jeu vidéo,
tout réagit bien, les commandes sont instinctives et les possibilités immenses.

 

Bande Son : 18/20 : Un sans faute niveau musical,
les voix sont bonnes mais l’accent Italien risque d’en faire marrer plus d’un. Va
Bene !


Scénario : 16/20 : Complexe tortueux et intéressant
il est dommage cependant qu’il soit la plaque tournante de la trilogie car la
fin soulève pas mal de questions.

 

Durée de Vie : 16/20 : 15 à 20 heures pour l’histoire
le double en ajoutant les quêtes annexes il y a de quoi faire chauffer la
console un moment !

 

Note Générale : 19/20 : Je ne sais pas ce que vous
faites à encore lire ce test allez y jouer bande d’inconscients !

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EXTERMINAAAAAAAAAAAAAATE!!!!

bon ben ça confirme tout ce que j'ai entendu sur AC2, j'attend qu'il baisse et je me le procure obligé ! merci à vous deux en tout cas

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Voilà un petit test d'un STR qui sera probablement précurseur du genre sur console ( avec Ruse probablement ), dont les développeurs ont fait davantage de bruit que les gamers.



Ubi Soft a vanté les mérites de ce soft en s'appuyant sur un système de commandes vocales très ergonomique. Bordé d'un scénario fataliste bourré de clichés ( mais tout excuse est bonne pour faire la guerre à l'écran ), on se retrouve ici sur une terre dominée par 3 grandes puissances : Les USA ( berceau de la JSF ), l'Europe devenue une fédération ( berceau du corps des enforcers et la Russie ( terre natale de la brigade des gardes Spetsnaz ). Ainsi, suite à une crise du pétrole poussant les européens et américains à développer de nouvelles technologies combustibles et hissant la Russie en tant que premier producteur d'énergie fossile, les trois factions s'affrontent sur un réseau de cartes assez limité mais assez bien développé. Toutefois, le jeu reste encore à l'état de prototype. Explications :

Graphisme
: 14/20

Assez corrects pour un STR aux cartes aussi vastes. Certaines Textures franchement limites, mais on appréciera les animations très sympathiques de l'infanterie. L'environnement est riche et détaillé. Les cartes ne sont pas très nombreuses mais ont été savamment étudiées pour permettre des combats de grande envergure. On passe de bases militaires à des terrains totalement découverts, d'environnement chauds et désertiques au nord de l'europe, le tout avec une série de points stratégiques disponibles que l'on découvrira et expérimentera à chaque fois de manière différente. L'environnement peut entièrement se vaporiser et cela crée une apocalypse visuelle à la fin de chaque combat. Les capitales sont les QG centraux de chaque faction, désertées par les habitants forcément. On constate juste que ça fait une paie que les développeurs n'ont plus été à Moscou ou Paris.


Graphiquement, le jeu fait bonne figure, même si on lui reprochera certains manques de finesse. Dynamique et bien construit dans l'ensemble.
Gameplay : 16/20

C'est ici que se situe tout l'intérêt du jeu. Mélangeant stratégie et Action de manière tout à fait convaincante, l'association pad + commande vocale permet un système de jeu très instinctif.
L'organisation stratégique paraît simpliste ainsi, jouant tout d'abord sur un système pierre-papier-ciseau ( une escouade de véhicules de transport anti aériens battra une d'hélicos qui elle même battra une de tanks. ) mais l'ajout de subtilités telles les fusillers cruciaux pour sécuriser et optimiser des tours de liaison ( grâce auxquelles on pourra faire appel à un appui aérien, à un support terrestre ou à un rayon IEM désactivant bouclier et satellite de l'adversaire un laps de temps ) ainsi que occuper un bâtiment ou une zone d'immeubles, les ingénieurs - artificiers, spécialistes de l'attaque contre blindés, minage du terrain, optimisation et renforcement d'une tour de liaison, ... L'artillerie, pour les frappes longues portée et tirs tactiques. Et une base mobile permettant le déploiement de drônes anti-aériens, d'un drône volant de reconnaissance ou d'attaque éclair et d'une carte tactique.



On voit ici la carte tactique dispo avec la base mobile, représentant graphiquement les mouvements de vos troupes, une vision globale du terrain, la portée de l'artillerie, ...

Ensuite, il est possible d'améliorer toute unité dans l'arsenal, ce différemment selon chaque faction ( par ex : recrutement d'un sniper dans une unité de fusilliers, ajout d'un MGAC pour les transports de troupes, où d'un barrage de missiles pour les hélicos, furtivité, où encore d'un système de déploiement avancé qui permet de déployer de l'infanterie n'importe où sur le terrain ).


l'arsenal permet de modifier chaque élément du bataillon. Ici, les transports de troupes amerloques auxquels ont ajoutera un système de guidage électronique des projectiles, améliorant la précision de l'engin. mais c'est bien peu de choses par rapport aux autre améliorations dispo.

Chaque faction a ses propres avantages et inconvénients.
Europe : La plus avancée technologiquement. Meilleure gestion des impulsions IEM, véhicule allégés extrêmement rapides, fusilliers spécialistes du combat urbain, base mobile très perfectionnée disposant du meilleur armement défensif. Le must pour se développer rapidement.
Russie : Un peu à l'image du IIIème Reich : Mise tout sur la puissance de feu brute et conçoit des véhicules armés jusqu'au dent. Les tanks malgé leur lenteur, sont des bêtes de terrain avec leur canon de 125 mm, leur double blindage, ou encore leurs transports conçus pour permettre à l'infanterie de tirer à couvert. La meilleure astuce pour la guerre de position malgré la technologie de pointe peu avancée
USA : Spécialistes des déploiements rapides et des tirs de précisions. L'excellence des tirs tactiques, du soutient au combat, de la sécurisation de positions, meilleure infanterie, bref, ils raviront les tacticiens en herbe.



Le concept du terrifiant char russe, T-100, modifié au maximum. L'ajout d'un blindage céramique sur les flancs, d'un lance flamme, de butoirs à déminage, d'une mitrailleuse fixe et de canons légers anti-aériens en font une bestiole pratiquement invincible. Son point faible : Un amuse gueule pour artillerie. Sa lenteur et sa corpulence n'aide pas beaucoup. Un peu à l'image des Panzer Tigres des années 40. Si vous êtes facilement sujets à la panique lors d'un pilonnage à distance, prenez les Européens : leurs Panthers sont certes moins puissants dans l'ensemble mais très rapides et disposent d'un système révolutionnaire capable de neutraliser les boucliers ennemis en une décharge.

Le gameplay se trouve limité au niveau de votre personne : Vous n'êtes qu'un colonel et dirigez vos troupes sur le terrain, et par conséquent ne choisissez pas toujours les zones à attaquer. Les modes de jeu ne sont eux aussi pas très nombreux : Conquête ( victoire à celui qui sécurise une majorité de tours de liaisons ), Assaut ( bataille classique : éliminer tous les hostiles du terrain ), Raid ( uniquement sur base militaire ou aérienne : Attaque rapide de sabotage permettant d'amputer l'ennemi de ses supports pendant un petit laps de temps ), Siège ( la séquence finale de la prise d'une capitale, éliminer les résistants ou sécuriser la tour principale avant l'arrivée des renforts ).
le tout est basé sur un système de points de commandements. On en gagne avec le temps ou en sécurisant des tours de liaisons.



L'écran stratégique affichant le résultat de la progression globale de votre faction. On distingue les terrains plein qui représentent des zones de transitions, les terrains aux 4 flèches représentant bases militaires ou aériennes et l'étoile, la capitale, un système peu varié dans l'ensemble ou l'on espérera de futures améliorations dans un prochain volet. ( vert : Russie. Bleu : Europe ).
Durée de Vie : 16/20

Même si chaque mode permet une multitude d'alternatives stratégiques,
ils deviennent en campagne assez répétitifs. Mais le mode Théatre de
guerre en réseau, la même map de la troisième guerre mondiale ou des
milliers de colonels s'affrontent entre eux pour leur faction est
réellement passionnant.
Il est possible de changer de faction et/ou de bataillon à tout moment mais ce serait perdre les crédits et les améliorations.
Au final, même après avoir testé les armes, les aspect tactiques et les cartes de long en large, il y aura toujours un joueur chevronné en face de vous, vous offrant un affrontement intense.

Ambiance Sonore : 14/20

Les bruitages sont corrects, les petits commentaires des troupes et la coordination des ordres et des messages passent très bien. Pas de déception quant à ce point là. Musicalement, on reste sur un répertoire de musique d'ambiance électronique, tirée en longueur mais assez utiles au final, alimentant un tantinet la tension et le suspense.

Scénario
: 10/20

C'est vrai, il casse pas trois pattes à un canard. Les USA et l'Europe s'unissent pour créer un bouclier planétaire signant la fin de la guerre nucléaire, la Russie devient le plus gros producteur d'énergie fossile, les USA lancent la première station spatiale à but scientifique et militaire mais le lancement est sacagé par un rayon laser haut énergie provenant du bouclier anti-missile, c'est la baston avec les européens, les russes ont organisé tout ça et profitent du bordel pour attaquer sur deux fronts... Bref, c'est classique, simple, pas vraiment réaliste, mais finalement c'est pas le but.

Note globale : 15/20

Finalement, le jeu se retrouve blindé d'atouts essentiels au STR tout en proposant un gameplay de grand qualité sur console. Les points difficiles sont dû à un développement encore assez embryonnaire mais préparant un Endwar 2 ( en pause pour le moment ) certainement abouti.

Disponible sur PC, 360 et PS3 ( notez bien que sur PC, le système de commande vocale est relégué au rang de gadget. Le jeu perd ainsi son intérêt, mis à part au niveau graphique gagnant en finesse )

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Mankind is Dead. Blood is Fuel. Hell is Full

et voici le test d'un autre str, assez peu connu.

Rise OF NATIONS - Rise OF LEGENDS.



big huge game / microsoft.


Rise of legends est le dernier né de la série des Rise of nations, jeu de stratégie temps réel développé par microsoft, utilisant un systeme de gestion/recherche se voulant similaire à age of empires, ajouté à célà tout un système de prise de territoires et de frontières qui permettaient au joueur de contrôler le champ de bataille petit à petit.



( le grand frère, Rise of nations, avec son système de frontière )


Si Rise of nations nous retracait diverses batailles historiques, nous faisant Voyager depuis l'antiquité jusqu'aux différentes guerres mondiales, son petit frère Rise Of Legends à préféré jouer la carte de l'originalité, nous transportant dans un monde totalement imaginaire.. et je ne vous parle pas d'elfes et compagnie.

vous aurez l'occasion de vous battre avec 3 camps bien différents sur d'énormes champs de bataille.

VINCI :  le camp de la technologie, le steampunk à son apogée, chars de vapeurs, unités chronomécaniques, recherches industrielles incessantes.

ALINS : le camp de la magie du désert, vous aurez l'occasion de controler diverses créatures magiques tels que des Scorpions des sables, dragons de verre, efrits... le camp met en avant l'invocation de masse.

CUOLT : le camp dit divin : utilisant des unités divinatoires précolombiennes, des jaguars solaires, serpents de la mort au nombreux pouvoirs dévastateurs.



( les alins en Action )

Système de jeu.

le jeu utilise 2 types de ressources différentes, le cristal se récoltant sur divers gisement par ci et là sur la carte à l'aide vos mineurs, ainsi que l'or ( pour les alins et vinci ) et l'énergie ( cuolt ) qui se récolte à l'aide de diverses améliorations de votre centre ville.

vous commencez avec votre capitale ainsi qu'une petite poignée d'unité sur la carte, il vous faudra ensuite capturer divers petits villages sur votre chemin, ceci vous permettant d'étendre vos frontières, et de créer diverses petites forteresses secondaires.

le jeu utilise un principe qui fait que chaque unité vous coutera un peu plus à chaque création, prônant ainsi une grande diversité  d'armée et vous forcant à trouver de nouveaux villages secondaires afin de vous étendre.

( ex : un soldat normal vous coutera 60 cristal au départ, le second vous en coutera 65 , et ainsi de suite )

le jeu vous offre la possibilité d'invoquer également divers héros sur le champ de bataille, ceux ci pourront évoluer jusqu'à 5 niveaux différents, et possèdent un bon pannel d'aptitude à débloquer.



( les vincis )

pour finir, sur le champ de bataille il vous sera possible d'utiliser 5 types de pouvoirs différents, ceux ci se verront offerts au joueur débloquant au plus vite certains objectifs. ( ceux ci évoluent au fur et a mesure de la partie, il faudra donc veiller quotidiennement à les garder )

pouvoir de traitrise ( voler une escouade à votre ennemi )  -- avoir rapidement un certain nombre d'unité créées.

pouvoir de soutien ( invoquer des unités neutres qui seront sous votre contrôle )  -- avoir un certain quotta de ressources le plus vite possible

pouvoir de soin -- débloquer un certain nombre de recherche le plus vite.

pouvoir de trêve ( plus personne ne peut attaquer pendant un certains laps de temps )  -- avoir le plus rapidement un quotta d'expérience.

le dernier pouvoir est lié à votre civilisation, les vinci pourront lancer une attaque dévastatrice sur les bâtiments ennemis, les alins invoquer une armée temporaire, et les cuolt lancer un éclair stellaire sur les troupes adverses.



( basement cuotl )

dernier point, il vous sera possible d'effectuer en plus des améliorations basiques d'unités, diverses recherches spécifique à votre camp, celles ci étendant votre territoire, améliorant la santé globale de vos unités, vous offrant plus de richesses, améliorant votre pouvoir unique etc.. etc..






Graphismes

si aujourd'hui ils auront quelque peu veilli, ils restent fort bien détaillés, bâtiments et unités sont fortement animées.

durée de vie

très bonne durée de vie, le jeu posséde une bonne campagne solo ainsi qu'un grand assortiment de carte escarmouche / multijoueurs, ainsi que nombreux modes de jeux différents.

bande son / effets sonore

de bonne facture sans pour autant être resplendissante, les effets sonores sont quand à eux forts bien soignés.

note générale.

17/20

un jeu de très bonne facture, très complet niveau gameplay, et nous offrant 3 camps vraiment très originaux , out les elfes, nazi, terroristes et compagnie, bienvenue dans un monde de légendes !

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Je sais que je ne plait pas à tout le monde... Mais quand je vois les gens à qui je ne plait pas, je me demande si ça me dérange vraiment.