| Miskatonic dit : citation :
Enorme claque dans ma tronche lorsque j'ai chopé le DVD lors de sa sortie en 2006. Attendu comme le loup blanc par les fans de jidai geki alors en pleine découverte de la filmo de Hideo Gosha exhumée par Wildside, la sortie française de Goyokin se sera fait désirée. D'une beauté plastique à couper le souffle et possédant pour ma part le souffle des plus grandes oeuvres féodales de Kurosawa, dont l'un des acteurs fétiches, le grand Tatsuya Nakadai, est justement celui de Gosha, Goyokin est l'un des meilleurs représentants du "chambara crépusculaire", au même titre que Sword of Doom ou Harakiri. Le duel entre Nakadai et Tetsuro Tanba est un modèle de mise en scène et le plan final est à tomber. Du lourd pour moi ce Goyokin, plus plastiquement que scénaristiquement, je l'avoue. |
| DerivationTNB dit : . J'ai rien contre les personnages plus fouillé psychologiquement bien au contraire mais là nous sommes passé du macho sur tetostéroné confit aux anabolisants qui se cautérise une plaie en faisant brûler une cartouche pour ensuite se recoudre à vif avec une épine d'acacia et du boyau de chat. |