Metalcore/Deathcore >> Théraphie pour les pauvres coreux martyrisés par les deathsters
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Vendredi 04 Janvier 2013 - 07:08:24
@Arch :
De qui est cette magnifique citation ?


Vendredi 04 Janvier 2013 - 07:38:42
Oulala! C'est ÉNORME !
J'eviterai toutefois de le souffler à l'oreille de Rick Ta Lire....
Celle là, c'est la plus belle saucisse que j'ai vu sur SOM depuis l'ère Kairos.

Vendredi 04 Janvier 2013 - 10:29:09

citation :
Hell : Bonne idée parce que toutes façons, c'est moi qui vais avoir le dernier mot.
Bref. Hormis Ton avis tranché sur des choses qu'apparemment tu ne maitrise pas et surtout que tu ne connais pas, va falloir que tu fasses gaffe un minimum avec Ton orthographe, qui te rapproche très prés de monio (les idées aussi à ce que je vois).

 
Destiné à Puma ou à moi?
 

citation :
@Arch :
De qui est cette magnifique citation ?

 
Moi, en parrallèle, j ai écris une belle boulette. Enfin, l'idée est là mais le manque de compréhension se fait encore une fois ressentir.
 
Il est utile de se rappeller que dans l'étiquette post Hardcore, il y a deux types de groupes. Le post Hardcore traditionnel, qui n'a rien avoir avec le Metalcore (Neurosis, Isis et co) et le post Hardcore moderne qui n'a rien avoir avec le post Hardcore traditionnel et qui est une sous branche de metalcore. J'èspère que c'est un peu plus clair comme ça. Sinon, allez tchecker We Came As Romans et vous comprendrez mes dires.
 
Comme dit plus haut, j'ai utilisé ce terme pour être compris de tous. Car maintenent, ce que l'on entend des plus jeunes c'est qu'ils écoutent du post hardcore. Hors c'est faux, mais ils ne peuvent pas le savoir comme c'est toujours ce qui leur a été dit... 
 

Vendredi 04 Janvier 2013 - 11:07:09
Un peu d'histoire...
 
Quand en 1980 et en 1990 on parle de post-hardcore, on fait référence à la musique d’origine des musiciens de Fugazi et Quicksand. A titre d’exemple, Fugazi est le groupe que fonda Ian MacKaye, chanteur de Minor Threat. De même, Walter Schreifels, compositeur principal de Quicksand, est un ex. Gorilla Biscuits et un ex. Youth of Today. Au total, trois groupes essentiels du milieu Hardcore straight edge, dont la musique est ensuite partie vers plus de mélodie et des tempos, bien que toujours énergique, plus proche du rock. Le terme de post-hardcore désignait donc un changement de direction artistique, le préfixe post alors employé comme un marqueur temporel. Le post-hardcore était alors le rock des coreux, plus mature mais toujours enraciné dans l’énergie et la distorsion, où les musiciens laissaient leurs ailes de créativité pousser plus loin que dans le carcan Hardcore, souvent tiraillé mais toujours enraciné dans une façon de faire, et une certaine mentalité, comme précédemment décrite.

Deux ans plus tard, un autre groupe va créer encore plus de distance avec le milieu du Hardcore et amènera le marqueur post-hardcore vers un tout autre sens. Ce groupe, c’est Neurosis. Déjà auteur en 1987 et en 1990 de deux albums de Hardcore dans la tradition fixé par Black Flag et Discharge, direct et rageur, ils vont entamer une réflexion artistique et spirituelle sur l’album Souls At Zero qui marquera un tournant majeur pour la musique saturée des trente années à venir. L’emploi du terme post Hardcore persiste toutefois encore pour ce groupe alors que leurs racines Hardcore s’effacent très fortement pour être remplacé par la marque des Swans, de Godflesh. La saturation n’est alors plus seulement une Catharsis, elle est un instrument introspectif avec lequel les musiciens vont ensuite s’élever vers une spiritualité et une musicalité très très très loin de l’efficacité de leur musique d’origine. Seul reste du genre les instruments, et c’est un argument bien maigre pour justifier sa présence. Le post-hardcore ne désigne alors plus des groupes qui vont venir du Hardcore mais des groupes influencés par des groupes qui sont venus du Hardcore à une époque.

Du coup, le terme de post-hardcore se transforme en postcore dès la deuxième génération, de façon à faire oublier une filiation avec un genre qui n’a plus lieu de citer dans une musique aussi différente. Le postcore de Isis est très influencés par Neurosis mais aussi par Godflesh, comme le prouve cette reprise du fameux Streetcleaner, extrait de l’album du même nom, sur l’EP Mosquito control en 1998. Les musiciens viennent de groupe de Hardcore, mais sautent ici la case « recherche spirituelle » pour s’orienter vers des thématiques plus terre à terre, comme ils le prouve en 2004 avec l’album Panopticon (Prototype de prison en verre conçu pour que tous les détenus puissent se surveiller mutuellement) et sa réflexion sur les technologies qui servent à nous surveiller. De la même manière, Cult Of Luna, aussi issu de la scène Hardcore, s’inspire et utilise la parole du linguiste, philosophe et activiste social Noam Chomsky dans leur album The Beyond (sorti en 2003).

Les générations passent ensuite de plus en plus vite et les journalistes laissent alors de côté le terme postcore, assez archaïque il faut le dire, pour celui de post ou de avant-metal, du moins en ce qui concerne Isis, pour souligner la place grandissante d’influence plus metal, qui ont toujours fait partie du background du groupe. D’autre part, le postcore, aussi appelé de manière moqueuse NeurIsis, s’est trouvé une identité fixe incarné par des dizaines de groupes à travers le monde qui reprennent le format de morceau de Six à sept minutes, fait de lignes de guitares post rock, mélodiques, aérés et pensives, interrompu par des riffs plus écrasant, toujours autant empruntés à Godflesh et aux Swans. Lunettes carrés, petite barbiches, couverture d’album abstraites fait de symboles ou de photos de paysages. La mer en particulier revient très souvent dans les noms, les pochettes. Le postcore s’est totalement émancipés du hardcore pour devenir une nouvelle façon pour des gamins imaginatif et un peu timide d’exprimer leur envie de faire péter les amplis, tout en n’effrayant pas trop leurs petites amis qui peuvent hocher la tête pendant les passages plus mélodiques. Cette forme très stéréotypé donne alors un deuxième sens à l’expression post-hardcore puisque le post alors celui du post-rock, signifiant un mélange de post-rock (pour les lignes mélodiques aériennes) et de riffs plus lourd (« hardcore »).

Recemment le terme est utilisé pour désigner les groupes (souvent à penchant mélodique) dérivés du Metalcore ou du Hardcore dont la musique et la philosophie se rapproche davantage du Rock et du Punk reniant un peu leur racine Metal.


http://www.lafilledurock.com/2011/05/24/postcore-post-hardcore-tentative-dhistoire-et-de-definition/

Vendredi 04 Janvier 2013 - 11:43:52

Vendredi 04 Janvier 2013 - 12:12:32
Merci j'avais oublié...

Vendredi 04 Janvier 2013 - 12:21:50

citation :
Rotting dit :

citation :
Hell : Bonne idée parce que toutes façons, c'est moi qui vais avoir le dernier mot.
Bref. Hormis Ton avis tranché sur des choses qu'apparemment tu ne maitrise pas et surtout que tu ne connais pas, va falloir que tu fasses gaffe un minimum avec Ton orthographe, qui te rapproche très prés de monio (les idées aussi à ce que je vois).

 
Destiné à Puma ou à moi?
 

A tout le monde.


Vendredi 04 Janvier 2013 - 12:33:48
Donc destiné à personne, bon, je récapitule le flood en un poste.

Vendredi 04 Janvier 2013 - 12:34:32
Dernier avertissement. Tu effaces un Seul post et tu dégages.


Vendredi 04 Janvier 2013 - 13:53:54
Pour quelles bonnes raisons ? 0