citation :pielafo dit : J'ai moi aussi vachement hâte de l'écouter! J'avais adoré The Price mais moins Rewind. En fait si je te comprend bien, cet album n'est rempli que de morceaux comme The Valley quoi. Ça me va |
Oulà non c'est loin d'être si simple. En fait, il y a pas grand chose qui rapproche Coal de The
Congregation quand on prend du recul.
Celui-ci est clairement plus travaillé, plus ambiancé et moins spontané et viscéral que Coal.
Ils sont très différents mais Rewind est un très bon exemple de ce qu'on trouve dans le disque. Les lignes de chants sont souvent très bizarres, je suis quasiment sur qu'il y a bien moins de "one shot" cette fois, tant elles sont biscornues (ou alors Einar est biscornu aussi

).
Il y a Slave par exemple, qui m'a foutu des frissons partout depuis que je l'ai vraiment apprivoisé, entre les claviers, le chant sublime, la ligne de gratte...c'est vraiment une nouvelle définition du prog encore une fois. Outre les claviers, ce sont souvent des moog et le son est quand même sacrément différent (
Moon ou Within my Fence le prouve).
On a des
Structures courtes ou longues mais même dans un titre de trois minutes,
Leprous en dit énormément. Sans jamais être démonstratif, il se passe énormément de choses dans les riffs, Tobias poursuit la lignée de ce qu'il a réalisé sur le dernier
Ihsahn derrière la batterie avec un rendu extrêmement organique, vivant, en constant mouvement...(quel jeu de toms).
Bref, les premières écoutes ont été dur mais quel bonheur maintenant...quatre albums et quatre disques si différent que les comparer serait idiot. Et pour une perle incroyable comme The Flood, qui hérite autant de Muse que de
Ihsahn, j'ai presque envie de verser une larme. Du très grand art
Welcome to the Desert of the Real