Y_RPLEUT dit : Fossilization, Father Befouled (même si tout n'est pas au top chez eux)
Oh dans le pire des cas je sélectionne ce qui est bon à prendre c'est pas un soucis, merci pour les recommendations en tout cas !
Les deux premiers valent le coup, après le dernier est plus qu'honorable
Pissgrave - Malignant worthlessness (2025)

Je jette enfin une oreille attentive sur ce nouveau méfait de Pissgrave et je le trouve ma foi fort bon.
Morceaux plus courts pour une efficacité renforcée, violence sans borne, petites trouvailles parsemant les morceaux et intensifiant le côté glauque de la chose, production sèche et rapeuse qui convient parfaitement bref, encore une réussite pour ces grands malades.
Armel_Avry dit :Phrenelith : Ashen WombsToujours plongés dans cette veine de death sombre et torturé, les Danois livrent ici un 3ème album qui renoue avec la fougue du premier. Ambiance malsaine, riffing pertinent, interprétation sans faille et son idoine, il s'installe bien sur ma platine.
Voilà
Y_RPLEUT dit :Armel_Avry dit :VoilàPhrenelith : Ashen WombsToujours plongés dans cette veine de death sombre et torturé, les Danois livrent ici un 3ème album qui renoue avec la fougue du premier. Ambiance malsaine, riffing pertinent, interprétation sans faille et son idoine, il s'installe bien sur ma platine.
Je plussois comme disent les vieux, j'ai passé un gros moment (accompagné de ma fille, big up à elle d'arriver à chaque fois à trouver un interêt à ce genre de "visite", contrairement à mon fils qui lui semble victime de mini avc dès qu'il pénètre dans un truc qui a un rapport de près ou de loin avec la culture) dans la boutique d'un des membres du groupe à Copenhague fin 2022. Bons souvenirs...
Sinon :
Unleashed - Fire Upon Your Lands

Dernière livraison en date d'un des darons du Death Metal suédois.
A l'heure ou Grave est aux abonnés absents (dommage), Entombed qui nous tease tous les ans un retour qui n'arrivera jamais (tant mieux) et le retour de Dismember sur lequel je mise quelques kopecks, on a donc le dernier album de Unleashed.
On passera sur la non subtilité du code couleur employé pour la pochette (Zelensky : gentil, Poutine : méchant pour ceux qui n'auraient pas compris) pour se concentrer sur la musique qui reste dans les canons propres au groupe depuis ces dernièeres années. La formule est connue mais elle fonctionne bien sur moi donc je prends. Par contre le disque a été masterisé par des sourds, c'est dommage.
jack_owen dit :Sinon : Unleashed - Fire Upon Your LandsDernière livraison en date d'un des darons du Death Metal suédois.A l'heure ou Grave est aux abonnés absents (dommage), Entombed qui nous tease tous les ans un retour qui n'arrivera jamais (tant mieux) et le retour de Dismember sur lequel je mise quelques kopecks, on a donc le dernier album de Unleashed.On passera sur la non subtilité du code couleur employé pour la pochette (Zelensky : gentil, Poutine : méchant pour ceux qui n'auraient pas compris) pour se concentrer sur la musique qui reste dans les canons propres au groupe depuis ces dernièeres années. La formule est connue mais elle fonctionne bien sur moi donc je prends. Par contre le disque a été masterisé par des sourds, c'est dommage.
Je ne pige pas trop l'histoire du code couleur, personnellement.
Pour ce qui est de la musique, ça me la refait comme avec les albums de 2015 ou 2018 pour l'instant : la rengaine m'épuise. Je n'accroche pas, les morceaux me semblent terriblement interchangeables. J'avais bien apprécié "No Sign of Life" qui proposait un mixage moins consensuel et quelques compos très accrocheuses et marquantes ("The King Lost his Crown", "The Highest Ideal" par exemple), et je ne m'explique toujours pas pourquoi je ne sais plus quel magazine (Metallian ou Rock Hard) avait tourné la prod' de cet album en dérision. C'est complètement abusif.
Bref, il y a eu un petit sursaut mais j'ai l'impression qu'Unleashed reprend son bonhomme de chemin sans grandes ambitions. Si ça suffit à son public, tant mieux.
Morbus Grave - Feasting the Macabre

Pas mal ce que proposent ces Milanais, un Death Old School plutôt mid tempo, plutôt Floridien dans l'âme (les débuts de Death notamment), et il y a ce phrasé de chant à la Mike Browning qui donne une variation bienvenue par rapport à ce qui se fait habituellement, des atmosphères équipes ou Tapoum, non franchement ça passe bien.
Il est calibré hein, ce Unleashed. Il pue la feuille de route. Il fonctionne moyen chez moi. Première fois depuis de nombreux albums.