Je fais enfin honneur au titre du topic:
Epica "Requiem for the indifferent" (
2012)
En digibook, j'ai craqué au Leclerc, la semaine prochaine je me laisserai peut-être tenté par le dernier
Anathema s'il est encore là.
Bon, bah, je n'en suis qu'au début, toujours aussi chiadé, il y a quand même de l'épaisseur, de la densité, "Monopoly on truth" me plait bien!
La balle cède devant le mot, parce que le mot s'élève dans l’harmonie des forces en présence et fait surgir une énergie que les puissances matérielles ne peuvent contenir…
José Rizal