Et preuve de mon inculture en la matière : je ne vois pas le rapport entre les excellents Goonies (le film) et ce Maxime Chattam (que je n'ai jamais lu et ne lirai jamais), du reste s'il y en a un, et si tu pouvais m'éclairer, vastAire  .
Une source d'inspiration pour lui, sûrement ?

complètement, un livre 'horreur/fantastique' avec des enfants en héros, un livre oublié, un tueur, un méchant d'une société secrète, un shériff dépassé, bla bla bla

bref tous les bons ingrédients pour faire un bon Stephen King


PS : je vais me faire haïr mais je conchie M. King et sa soupe littéraire.

PPS : ne regarde jamais à nouveau les Goonies, c'est le genre de film qui vieillit pas bien, mieux vaut garder ses souvenirs difformes d'enfance

Merci .


Pour ma part, n'ayant jamais lu que deux pages de Carrie, je ne rentrerai pas dans ce débat .


C'est vrai oui . C'est kitsch à souhait et pas forcément de bonne qualité, mais ça m'avait suffit toutefois à apprécier, quoique je m'en sois vite lassée.
C'est comme Jumanji. Excellent film à son époque et encore aujourd'hui pour l'humour par-ci par-là, mais bonjour les effets spéciaux pourris !!

King, j'aime pas, je soutiens donc vastAire sur ce point.
Sinon je relis avec plaisir le classique de Bram Stoker.

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C'est déjà un plaisir assez grand que celui de faire la guerre ; on est dans le bruit, dans la fumée, dans le mouvement ; et puis quand on s'est fait un nom […], quand on a fait Fortune, on est sûr que sa femme et ses enfants ne manqueront de rien ; tout cela est assez. Moi je puis mourir demain .

Un excellent roman effectivement, transcendé par le style de l'auteur, quoique ses parties soient inégales et que ce soit là son seul défaut réellement notable.
La scène de la tempête est, ainsi que je le dis toujours, magistrale.

La poursuite dans les paysages les magnifiques paysages de l'est est toute aussi sublime, des décors se balancent sous nos yeux au fil des pages de l'Irlandais.
Cette même sensation que je retrouve chez Lovecraft, Tolkien et Howard.

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C'est déjà un plaisir assez grand que celui de faire la guerre ; on est dans le bruit, dans la fumée, dans le mouvement ; et puis quand on s'est fait un nom […], quand on a fait Fortune, on est sûr que sa femme et ses enfants ne manqueront de rien ; tout cela est assez. Moi je puis mourir demain .

Il y a quelques mois je me suis enfin décidée à lire 1984 d'Orwell. Je m'en suis toujours pas remise. J'ai du mal à conceptualiser un emprisonnement plus profond que celui de l'esprit.. la troisième partie m'a tout simplement achevée. Un monstre, ce bouquin. Pas culte pour rien.

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La musique offre aux passions le moyen de jouir d'elles-mêmes. Nietzsche

+42

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C'est déjà un plaisir assez grand que celui de faire la guerre ; on est dans le bruit, dans la fumée, dans le mouvement ; et puis quand on s'est fait un nom […], quand on a fait Fortune, on est sûr que sa femme et ses enfants ne manqueront de rien ; tout cela est assez. Moi je puis mourir demain .

 
Tout le monde devrait le lire celui-là! Meme si la cible première de Orwell n'existe plus (en fait si mais bon...) il est encore et plus que jamais d'actualité.

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"Nombreux sont ceux qui vivent et qui méritent la mort.
Et certains qui meurent méritent la vie. Pouvez vous la leur donner?"
"Alors, ne soyez pas trop prompt à dispenser la mort en jugement."

je viens de finir "Un meurtre est-il facile?" de Agatha Christie, je le conseil! Demain il est fort probable que j'en achête un autre, de la série Poirot sûrement...

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Un proverbe chinois dit:

"Quand les sabres sont rouillées et les bêches luisantes,
"Quand les prisons sont vides et les greniers pleins,
"Quand les degrés des temples sont usés par les pas des fidèles et les cours des tribunaux couverte d'herbe,
"Quand les médecins vont à pied et les boulangers à cheval, <