Je viens de terminer "Traité de vampirologie" écrit par le "Docteur Abraham Van Helsing".

Je le conseil à tous les amateur d'histoire de vampires. Ce livre raconte toutes les légendes à propos des vampires, les origines, tous les mythes quoi =)

Il est excellent. Enfin, c'est mon avis ^^

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Le cinéma gothique aux éditions camions blancs

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Fais ce qui te plait.Telle est la loi.

Je termine Peter Pan de James Matthew Barrie, puis je commencerai Enfance de Léon Tolstoï. Il me tarde de découvrir les récits de la flamboyante Russie sublimés par le regard toujours enfiévré de l'enfant...

hmmm Tolsoï...ça m'arrive pourtant rarement mais j'ai le Guerre Et Paix entamé depuis au moins 6 mois et je n'arrive pas à m'y mettre...entre temps il y a eu au moins une dizaine de bouquins avalés d'une traite.

L'as tu lu facilement, ce grand classique, Flintounette ?

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Mon cher Eulpâtes , je te dirais simplement que je n'ai pas lu La Guerre et la Paix. Enfance sera mon premier Tolstoï (quoi, comment ça je casse le mythe de ma soi-disant "grande culture" ?). Mais comme je ne veux pas commettre d'erreur et culpabiliser ensuite parce que j'aurai acheté un pavé que j'aurai peut-être du mal à lire, je l'emprunterai à la médiathèque du coin. Je veux pas refaire la même connerie qu'avec Le Seigneur des Anneaux.

Pour Tolstoï tu me diras donc...mais je vais pas te blâmer, puisque j'ai voulu faire le malin et je me retrouve planté au bout d'une centaine de pages donc...heureusement que je les ai pris en format Poche ("les" car évident ça tient pas en un tome, y a a Guerre et la Paix...).

Par contre pour le Seigneur des Anneaux, je ne sais pas à quel stade tu t'es arrêtée, mais là je ne peux que te dire que c'est dommage (je sens que je dois être au moins le 53e à te le dire )

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Pour ma part il me reste environ 120 pages, j'en vois enfin le boût, à partir de 500 pages, ça rentre comme dans du beurre.

N'empeche, une seule chose à dire: Vassili est un beau connard.

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C'est déjà un plaisir assez grand que celui de faire la guerre ; on est dans le bruit, dans la fumée, dans le mouvement ; et puis quand on s'est fait un nom […], quand on a fait Fortune, on est sûr que sa femme et ses enfants ne manqueront de rien ; tout cela est assez. Moi je puis mourir demain .

@ Eulpâtes (Eulpatt ? Carbonara ? Pas taper  !) :
Je ne compte plus les Sommiens qui m'ont dit, sur ce topic même, que j'avais abandonné trop vite . M'enfin, je ne crois pas. Je me suis forcée à lire le prologue du tome 1 (le descriptif indigeste sur les Hobbits), puis je suis entrée dans le vif du récit, et là pareil, ce sont les descriptions qui m'ont assommée. J'ai définitivement rangé le livre il y a 4 ou 5 ans au moins, je crois que je m'étais arrêtée au moment où Frodon et ses potes sont perchés sur une colline pour vérifier les environs. Bref, c'est au tout début.
De toute façon, j'ai des tas d'autres lectures et d'auteurs à découvrir, et Tolkien n'est absolument pas (plus) dans mes priorités. Au fond, je trouve la fantasy limitée dans ses moyens d'expression, je n'adhère pas à ce genre et je lui préfère la littérature au sens général. Voguer d'un genre, d'un siècle à un autre est plus dépaysant, moins borné et cela correspond plus à ma Conception de la littérature justement.
J'ai trouvé personne pour m'acheter les 3 tomes, je suis dégoûtée, même à Gibert Joseph/Jeune, ils n'en veulent pas : ils en ont à foison, et la mode est passée .

@ Flint: Oui pour la mode, tout les types ayant vu les films avaient achetés les bouquins, et peu les ont lu...

Après Tolstoi, on va voir, peut être l'art de la guerre, un énième bouquin sur Napoléon, ou alors Salomon Kane de Robert. E. Howard, on va voir.

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C'est déjà un plaisir assez grand que celui de faire la guerre ; on est dans le bruit, dans la fumée, dans le mouvement ; et puis quand on s'est fait un nom […], quand on a fait Fortune, on est sûr que sa femme et ses enfants ne manqueront de rien ; tout cela est assez. Moi je puis mourir demain .

Exact, et je fais partie de ceux-là. M'enfin je devais avoir 14-15 ans à l'époque, je savais pas encore bien ce que je faisais, je manquais encore de discernement dans mes goûts. Ceci dit, ça m'a servi de leçon et je ne me suis fait avoir qu'une fois seulement par ce genre de coup médiatique.