Je vais le lire et puis je verrai bien après tout. J'irai le prendre à la bibliothèque du coin.  Merci pour vos réponses

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En bon fan du genre, j'ai commandé ça sur Amazon, un auteur français qui s'inspire de tout les codes récurrents du Stoner pour un roman avec du gasoil et de la poussière.
Je sais pas ce que ça va donner

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Ça a l'air spécial Ton truc !

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Récemment :



Huong Thu Duong - Au-Delà des Illusions

Histoire basée dans le Vietnam communiste après la décolonisation. On suit différents personnages dont notamment un couple de jeunes adultes qui se défait qui doivent faire face, comme le titre l'indique, à la mort de leurs illusions, de leurs idéaux, pour tenter de se relever et avancer sur une route qu'il ne pensait pas envisageable au départ et en se dégageant du passé.

Bien écrit et assez intéressant, j'ai surtout aimé le dépaysement occasionné par une histoire ne se passant ni en Europe ou aux USA, pour un beau livre au final.



Haruki Murakami - La Ballade de l'Impossible


Dans la même optique de découvrir quelques oeuvres de la littérature asiatique, on se retrouve cette fois dans la jeunesse japonaise à Tokyo des années 60.

Amour, passage à l'âge adulte, Suicide, désenchantement de l'adolescence, le roman est finalement assez occidentalisé avec de nombreuses références à des œuvres comme l'Attrape-Coeurs ou Gatsby (et des similitudes avec le premier dans la narration et pour le personnage principal). Le titre original, Norwegian Wood, est même une référence à un titre des Beatles (je n'ai même pas fait exprès en plus ).

Parfois Triste mais sans tomber dans le Pathos, le livre verse dans une certaine mélancolie poignante sans être plombante et réserve de très beaux moments, ainsi qu'une description du milieu étudiant japonais de l'époque qui m'a bien intéressé. Vraiment un bon moment celui-ci




L'Adieu aux Armes - Ernest Hemingway


J'en suis à la moitié et je suis partagé sur celui-ci pour l'instant.

D'un côté, la description de la première guerre mondiale, sa futilité et la perte de la foi des soldats se révèle intéressante à suivre. Mais le traitement froid des personnages, de leurs relations, et même des descriptions du décor Italien en général me laisse de marbre. A voir sur la dernière partie s'il arrive à plus me convaincre.


Après, dans un ordre non établi encore :
Au nom de la Rose - Umberto Eco
Gatsby le Magnifique - F.S. Fitzgerald
La Montagne Magique - Thomas Mann
Les Clochards Célestes - Jack Kerouac

La vie devant soi de Romain Gary



Achevé en quelques jours. Le style est assez simple étant donné que l'histoire est racontée par Momo, enfant d'une dizaine d'années.

Madame Rosa,ancienne prostituée d'environ 70 ans, prend en charge des enfants de femmes qui "se défendent avec leur cul". Elle entretient une forte relation avec le petit Mohammed qui va rester à ses côtés tout le temps de son déclin.

Une belle histoire, très émouvante.

Les Racines du Ciel de Romain Gary






Chez gary, toujours de belles réflexions sur la vie, sur le "droit des peuples à disposer d'eux mêmes", sur notre rapport à la nature et aux autre humains.

Bref, toujours un pur régal.

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"L'Alchimie des Émotions" de Tara-Bennett-Goleman :



Un mot de l'éditeur :
Une méthode concrète destinée à apaiser l’esprit et à le libérer de ses réactions négatives.


Il s'agit d'un ouvrage fondamental, que je conseille à tous ceux qui souhaitent évoluer personnellement, à tous ceux qui ont besoin de mettre en sourdine les automatismes qui les freinent pour avancer dans la vie et que j'aurais bien aimé offrir à certains qui se reconnaîtront ici. Cela m'aurait permis de moindre perdre mon temps. Ce livre est un soutien précieux.

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http://www.spirit-of-rock.com/wiki/index.php?title=Guide_des_soumissions#L.27USAGE_DES_CARACTERES_ETRANGERS

Littérature érotique sur fond de BDSM

Une éditrice de littérature adolescente se fait transférer un auteur
érotique dont les textes n'ont rien à voir avec une sexualité
traditionnelle. Annabelle devra donc faire ses preuves pour amadouer
l'auteur, mais à quel prix ? Alors qu'elle mise sur son
professionnalisme hors pair, John lui Fera découvrir tout un monde dans
lequel elle basculera petit à petit.

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Après Lefevre - Mabire - La LVF 1942 La légion perdue

James Elroy - American Tabloid

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Boudiou y'r pleut

Mouais ça sent bon l'arnaque à deux balles. Et je pense pas que "la sagesse Bouddhique" aie besoin de copuler avec cette saloperie de psychothérapie.
De plus le terme "la sagesse Bouddhique" ne veut rien dire puisque que le bouddhisme est constitué de nombreux courant peu voir pas connu des occidentaux qui ne jure que par le Dalaï Lama. Rien qu'en sachant ça, on peut se douter que l'auteure de ce livre n'est pas très sérieuse. Je serai toi, je me méfierai de ce genre attrape couillon.

C'était ironique. Tu es tombé aussi dedans !


Ton point de vue me démontre, de plus, Ton manque de Culture en la matière puisqu'il est exactement ce que tu dénonces : trop occidentalisé (= diviser). En Asie, il existe une philosophie que je pourrais traduire par un terme latin : colloc? (= ranger, mettre en ordre et, surtout, assembler). Le Bouddha affirmait ne soutenir aucune opinion et enseigner uniquement ce qui se rapporte à la souffrance, à son origine, à sa disparition et à la voie qui permet son extinction. Il est là le but de ce livre écrit pour des Occidentaux.



Résumé de l'éditeur :

Il est illettré, alcoolique, père de trois enfants, sans travail ni avenir. Il survit près d'une décharge publique, quelque part dans le sud-ouest des États-Unis. Mais l'Amérique ne l'a pas tout à fait oublié. Un inconnu, producteur de snuff films, lui propose un marché : sa vie contre trente mille dollars. Il s'appelle Rafael, et il n'a plus que trois jours à vivre... Avec ce roman, Gregory Mcdonald n'a pas seulement sondé le cœur de la misère humaine, il lui a aussi donné un visage et une dignité.


Toute la force de ce roman réside paradoxalement dans l’humanité qui s’y trouve à travers ce personnage terriblement attachant.

Et ce n’est pas tant la mise à mort annoncée qui rend ce livre pesant et insoutenable que le décalage entre l’innocence et la cruauté d’une même société. Entre cet homme simple et généreux, foncièrement honnête, qui croit encore en la parole donnée, et cette frange d’une société désarticulée, déshumanisée, tricheuse, qui ne trouve plus de sel dans l’existence, que dans l’immoralité de la mise à mort de sa propre humanité.

A la fin de ce roman, m’est revenu en résonance celui de Steinbeck « des souris et des hommes ». Dans ce monde qui est le notre, il n’y a malheureusement pas de place pour l’innocence.


Bon vent à tous !

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