Body harvest : futile
Creation Du bon
Brutal death qui cherche pas midi à quatorze heures.
Avec en prime un bon gros son bien brut comme j'aime, et un peu plus d'âme que le groupe de
Brutal death lambda, cet album se degage de la masse gluante du style, lequel est en légère (sic) surproduction ces dernières années. Le modeste mineur de fond du death tel que moi y trouve cependant toujours quelques honnêtes pépites à extraire, dont celle ci.
Endor: not dead but
Dreaming Amateurs de technique et/ou de subtilité, passez votre chemin.
Si par contre vous aviez aimé
Righteous Pigs et que depuis 20 ans vous ne parvenez pas à vous consoler, ce skeud est fait sur mesure pour vous. Bas du front, basique au possible, mais tellement efficace.
J'adore.
D'ailleurs, je reprendrais bien un sandwich aux rillettes, tiens.