Ihope, dernier avertissement, heureusement que l'essentiel de ton post est revenu sur des bases musicales, tu as frôlé la correctionnelle.
Mais le topic est reparti sur de bonnes bases, alors on continue.
Pour
Brodequin, je ne sais pas j'ai l'impression d'entendre Mick Harris jouer de la batterie, et puis ces breaks très crus avec ces riffs binaires bien roulants pour se reprendre une accélération échevelée, avec cette décharge d'énergie brute que l'on ne retrouve pas dans ce que j'appelle moi du brutal death classique...
Alors bien sûr, on pourra toujours me rétorquer que l'influence ND évidente (si on me dit le contraire j'arrête le metal) est plutôt issue de la période death des anglais...
Je parle de musique, alors bien sûr la thématique est bien death, le chant et son guttural d'outre-tombe sans équivoque, et l'esprit punk et contestataire bien éloigné.
Personne n'assimile le blast au grind, faut pas exagérer, ou alors effectivemment, brutal death = deathgrind, mais personne n'a sorti cette énormité.
Pour revenir sur le sujet, sans vouloir toujours rabacher la même chose, je trouve que
Hate Eternal est en train de parvenir à mixer les effluves les plus chaotiques et sombres du death d'Immolation et d'Incantation et un brutal death technique ultra efficace. Le résultat me dévaste à chaque écoute, plus que le dernier
Origin par exemple qui est pourtant très impressionnant dans sa débauche de vitesse et de technique.