J'ai survolé l'article hier soir donc je préfère ne pas en parler pour l'instant, bien que mon cerveau bouillonne déjà. A l'époque, j'avais sauté à pieds joints au coeur de la scène revival black scandinave, dès l'essor de Darkthrone, Immortal and co, tirant sur tout ce qui bougeait en scandinavie jusqu'en 96. Bref, je désire relier ce texte sous forme de bouquin afin de le parcourir à tête reposée.

Pour l'heure, je tiens déjà à souligner combien l'écriture et les connaissances accumulées sont remarquables. Individuellement, vous avez parcouru un sacré chemin depuis votre inscription sur SoM, et démontrez parallèlement & une fois encore combien l'oignon, euh l'union, fait la force.

Bravo.
Fabien.

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Laquelle?
D'un côté, c'est un peu logique car la plupart des infos historique concernant Angelcunt, je les ai eu de toi, à l'époque ou tu étais encore sur SoM sous le pseudo Mamafucker ( par le biais du forum des trubilons je crois justement ). T'as le droit de réclamer un copyright mon pote, mais pas de trop quand même, tu casserais ma notoriété




Ah oui, le fameux E.P que je ne trouve toujours pas. J't'avoue que l'année du split du groupe m'est précisément floue. Mais vu que Angelslaying était apparu en 2005, je pensais que les morceaux avaient été enregistré à ce moment. Comme quoi, toute info est bonne à prendre, merci des indications.

Rise of The Black Moon, c'est davantage pour l'aspect ultra dense que forme le couple Down tempo - clavier. Sur Soulflay, sa présence est plus marquée mais l'atmosphère fataliste ressort moins pour moi, notamment grâce à sa discrétion qui le résume à une petite nappe cruelle en arrière plan.

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Mankind is Dead. Blood is Fuel. Hell is Full

Vous avez abattu un sacré boulot, mais c'était intéressant à lire. Encore bravo !

Vivement un nouvel article.

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Merci c'est gentil, cela dit nous n'étions pas tout à fait ignorants à notre inscription sur SOM non plus .

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je n'ai pas de signature et je vous emmerde.

Cette phrase ne se limite pas à des considérations purement musicales, bien que ne pas prendre en compte cet aspect serait purement hypocrite. J'ai bien sûr beaucoup appris à vos contacts, également. Pour ton cas BG, à l'instar de nombre de mes bafouilles, tu admettras par exemple le fossé qui sépare désormais la rédaction d'une critique de NoNe So Vile par rapport à la richesse et la qualité de travail actuel -smiley-.

Et merci encore.
Fabien.

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Oh certes oui! Depuis le temps que je dois remanier cette horrible rédaction...
 
Et c'est vrai que SOM a aussi été un tremplin afin de rattraper des tas de choses musicales pour nous tous, il faut bien l'admettre. C'est un peu les finitions de la maison les murs et fondations déjà ancrées pour notre part, c'est ce que je voulais dire.

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je n'ai pas de signature et je vous emmerde.

Pareil avec mes chros de Dawn, Rotting Christ, Ulver, etc...

Ces chroniqueurs jamais contents...

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Mankind is Dead. Blood is Fuel. Hell is Full

@Le Chat: Non c'est bon héhé pas besoin de copyright! Béh ma kro sur BOA, j'y ai fait l'intégrale d'Archgoat. Le groupe a splité en novembre/décembre 1993 exactement et les 3 morceaux du "Angelslaying Black Fucking Metal" en Octobre 93, le 12 exactement. Bon boulot tout de même.

Je regrette une chose, vous auriez pu parler de Sigillum Diaboli / Diaboli pour la scène finnoise. Source d'inspiration pour les Satanic Warmaster et autre Behexen au moins autant que les légions noires et autre Seigneur Voland.C'est dommage d'être passé à coté de ce groupe car leur album "Mesmerized by Darkness" est une pierre angulaire pour cette scène si fructueuse de nos jours.

Ah oui, un autre point me chiffonne, pourquoi avoir cité Havohej en ce qui concerne la scène US? Également, pourquoi avoir cité les Judas Iscariot et Black Funeral? J'ai du mal à suivre et surtout à approuver ces choix.  Pouvez vous éclairer ma lanterne sur ces points?

 
Pour ma part, avec mon parcours franchement autodidacte à certaines périodes, il y avait de beaux pans de murs qui manquaient avant que je vienne sur SOM, c'était un peu bancal...enfin ça l'est toujours d'ailleurs mais le bâtiment est trop vieux pour être récupérable
 
Par contre, pour rebondir sur le post de Fabien, et pour repréciser qu'il ne s'agit pas d'un travail purement scolaire: pour les parties que j'ai traitées, au delà d'un gros travail de recherche et de rigueur pour essayer d'être le plus précis possible, je me suis quand même appuyé sur mon vécu (avec ses lacunes mais avec aussi une sincérité très personnelle) de l'époque (au moins à partir des années 94-95). Je ne me serais pas lancé dans cette rédaction si je n'avais pas eu ce recul et si j'avais dû apprendre ou consolider l'essentiel récemment (par le biais de SOM par exemple). C'est d'ailleurs pourquoi, pour des futurs articles des Trublions qui traiteraient d'une période plus récente du black (ou d'une scène autre que la scandinave), je ne participerais pas à l'écriture. J'estime avoir vraiment trop de lacunes à ce sujet. J'ai craché ce que je pouvais sur le black, entre les Racines du Black et celui-ci, en ayant parallèlement beaucoup appris de mes petits camarades Trublions.
 
D'ailleurs, je veux aussi repréciser une chose sur la philosophie des Trublions: on ne veut surtout pas s'ériger en élite détenant un savoir avec des articles dogmatiques qui ont valeur d'évangile. On cherche humblement le compromis entre la rigueur, l'esprit de synthèse et la plus grande justesse contextuelle possible, et notre expérience, notre vécu ou notre simple feeling sur les sujets musicaux que l'on traite. Il ne s'agit ni de faire un wikipédia bis, ni de pomper des écrits déjà existants, mais simplement de donner une vision à la fois personnelle et pas forcément consensuelle (et donc sujette à discussion), dans un cadre un minimum rigoureux et documenté.
 
On apprécie d'autant plus les remarques comme celles de Boris (on attend bien sûr les tiennes Fabien), les corrections, les avis divergents, les appréciations différentes...
Notre boulot a pour vocation d'être lu, de servir humblement de guide alternatif aux vrais novices qui s'intéressent au sujet, mais également de servir de base de discussion et de débat pour les passionnés que nous sommes tous. Parce c'est comme cela que nous nous enrichissons, et c'est pour cela que nous sommes venus sur SOM un jour.
 
Voilà c'était un peu long mais par ailleurs il est bon de repréciser les "valeurs" qui animent les Trublions, car elles ne sont pas forcément évidentes pour celui qui découvre le contenu du blog et la finalité du truc.

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Le choix d’avoir cité autant de formations de part le monde dès l’intro fait un peu déballage, je te l’accorde. Mais l’objectif était de montrer que, malgré la décision de spécialiser notre article sur la vague scandinave, nous étions conscients que la seconde vague du BM ne se résume pas qu’à ces acteurs du Grand Nord, bien qu’ils aient davantage bénéficié de l’abattage médiatique et qu'ils aient défini un bon nombre d'orientations stylistiques.
Ce déballage de groupes (qui n’était pas censé être exhaustif), qu’ils soient d’origine européenne ou ricaine, permet de pointer du doigt que la scène BM de début des années 90 est active partout dans le monde.
Pour le cas particulier des formations ricaines citées, Judas Iscariot et Black Funeral sont citées car elles font partie des plus anciennes et restent aujourd’hui relativement connues. Le choix de Havohej, c’est la formation dont quasi personne ne parle plus mais qui a pourtant dégainé très tôt au jeu des full-length par rapport à ses illustres camarades, avec un "Dethrone the Son of God" intéressant par son approche très crue et primitive, totalement animé de la flamme originelle du BM, tout en restant suffisamment bien maîtrisé.

Pour Diaboli, personne ne connaissait suffisamment, je pense, pour s'y attaquer.
Et c'est tout l'intérêt des discussions que nous avons en ce moment. Comme l'a si bien dit Matt, l'article est un guide, certes mais aussi une base de discussion permettant aux lecteurs comme à ceux qui l'ont conçu de s'enrichir.

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I have no idea where this will lead us, but I have a definite feeling it will be a place both wonderful and strange.