Hélas, nous n'en saurons pas plus pour l'instant...

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« Sans la musique, la vie serait une erreur. » (Friedrich Nietzsche)

Vous le faites exprès de poster des trucs improbables pile les jours où je travaille toute la journée et la nuit ?

J'arrive toujours après la bataille c'est pas drôle

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Le problème est résolu. L'éradication massive de la bêtise est en marche.
Suivant(e).

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Chtulhu for President. Why Choose the Lesser Evil?

, j'viens de tomber sur la prose de Monio , fallait l'garder c'garçon, après une journée d'merde, ça fait du bien de s'taper un fou rire et quand il dit qu'il a corrigé le plus gros, j'ai du mal à imaginer la gueule de son texte avant correction...

Sur ce, comme l'a dit le grand Manitou, suivant.

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Mon book : https://500px.com/ludovicjbischoff
La plupart de mes photos ici :
https://www.facebook.com/Z00mArt

Bon, je vais m'occuper d'essayer de faire revivre ce valeureux post-it un peu à l'abandon... Dommage qu'il le soit d'ailleurs, puisque les écrivaines/écrivains ne chôment pas ! Et qu'en plus, elles/ils sont lu(e)s, en témoignent le nombre de vues qui augmentent sur le topic Vos créations littéraires, sur les écrits de Derivation et sur les miens - d'ailleurs, ça fait tellement plaisir !

Donc, 'faut pas hésiter à dire un petit quelque chose, même si c'est pour me signaler que mon récit est parfaitement chiant, ce que je comprendrai tout-à-fait. Des suggestions, des félicitations, des améliorations possibles ? N'hésitez pas je vous Dis ?
Au passage, ça fait bizarre de faire de la pub pareillement.... Mais bref.

Et puisque je signale un manque de posts ici-même, je vais me mouiller : haha Derivation, je vais me muer en critique littéraire ! Crains ma critique !
Mais bref.
Dooonc, la première série, baptisée Nouvelles, je la vois comme la seconde - baptisée Lorem Lunaë - le début étant étrange, je ne voyais pas trop où tu voulais en venir et qui parlait ; un petit problème de transition en somme. J'avoue que, de mon côté, c'est pas mieux de ce côté, n'est-ce pas pour ma pomme ?
Tu sembles avoir un thème de prédilection, à savoir la rencontre entre deux êtres, leur Fusion, leur séparation, puis, peut-être, leurs retrouvailles ? En tous cas les chemins se croisent au fil des paragraphes et des chapitres, et pour prendre l'exemple de Nouvelles, j'ai compris au dernier chapitre que l'un des chasseurs brûlés par Ton héroïne était en fait son amant - c'était voulu ? Si oui, bravo, effet assuré !

Mention spéciale pour la Fête de Samhain ; étant amoureux de l'Irlande et des traditions celtiques je ne peux que relever...
Enfin bref, sinon questions petits problèmes de maniaque je dirais que tu as une logique de ponctuation assez étrange, mais ça c'est uniquement de moi.

Sans ça continue !
La Pomme

Un peu de pub, si une petite lecture vous dit :
http://www.spirit-of-metal.com/forum/lire_topic-id_topic-43655-page-1-f-p4088-l-fr.html

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Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
Non ! non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !

Pas de problème de transition. J'aime bien partir de nul part sans planter le décor à l'avance. Faire travailler l'imaginaire du lecteur en laissant une multitude de possibles que je restreins au fur et à mesure.

Tu ne sais ni où, ni quoi ,ni qui, ni pourquoi du coup ça met à la fois dans l'attente et dans un travail d'imagination, d'extrapolation, de supputation. Ou ça fait chier et le lecteur arrête les frais ...

Je décris peu, voir pas du tous les personnages, (stature, couleur de cheveux etc) pour les mêmes raisons. Chacun y est libre d'imprimer ses fantasmes et ses envies.





La mécanique du cerveau humain en général et des rapports humains en particulier c'est un peu mon truc. L'amour, la haine etc, le sentiment en soi ne m’intéresse pas trop c'est plus comment on y arrive, comment il se construit, se détruit.
Bon ici rien de bien compliqué. Je ne fais qu'effleurer les choses.





Non, non, ce n'est pas uniquement toi.
Deux choses:
1- Je suis légèrement dyslexique, de fait il m'arrive d'avoir une construction de phrase alambiquée. Parfois je m'en aperçois et parfois non parce que mon cerveau est incapable de se rendre compte de son erreur.

2 - Je le fais exprès quand j'ai envie de souligner un truc ou donner du rythme.

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Aaaah, de la discussion. Je n'osais pas y croire, j'avoue !

Donc bon, maintenant je peux dire que pour ce qui est du "problème de transition", je te l'ai écris à moitié en y croyant, à moitié exactement pour ce que tu as décrit ; sauf que moi je ne l'ai réellement utilisé qu'une fois.
Je rêve du texte qui tiendrait uniquement par le fond en délaissant la forme, à l'opposé de Flaubert qui rêvait du texte sur rien, et bien que ce soit impossible j'essaye de maximiser le plus possible l'impact du fond sur la forme... Mais celles/ceux qui m'ont lu l'ont compris, je pense. Ou alors elles/ils sont passé(e)s à autre chose à cause de l'ennui...

Je me demande si tu n'essayes pas la même chose que moi, mais d'une manière différente ? Tiens, au fait ?

Les rapports humains, je m'en doutais... Je n'étais pas allé jusqu'à la mécanique du cerveau, mais bon, je suis tout-de-même content de mon interprétation jusqu'ici. 
Là aussi c'est bien construit, et je dois dire que pour le moment, je ne pense pas arriver à une telle chose puisque... cela ne m'intéresse tout simplement pas, pour le moment. Mécanique, logique, et tout ces thèmes renvoyant au rationnel, je les évite puisque je préfère l'inverse - mais ça, tu l'auras compris si tu m'as lu.

Enfin, pour ce qui est de la dyslexie... J'y ai pensé, mais bon, j'en suis tout-de-même étonné, tu t'en sors vachement bien Dis voir ! J'en ai vu, des non dyslexiques, qui me donnaient envie de déchirer leurs textes rien qu'en voyant les fautes de syntaxes et d'orthographe, et de conjugaison, et toi, là, eh ben bravo.
Faire exprès ? Un petit sourire entendu se glisse sur mon visage, je connais ça aussi...

Tu penses à quoi?

Je n'intellectualise pas autant quand j'écris. J'ai une idée et je la suis là où elle veut bien m'amener. Bien évidement elle tourne autour de thèmes qui m’intéresse étant donné qu'elle émane de moi...






Ton texte "La table" est extrêmement logique dans son apparent illogisme. Tout découle d'un cheminement, s'enchaine de manière logique et rationnel. Un chapitre entraine le thème du suivant.
Cela marche comme de l'association d'idée qui vu de l'extérieur semble sans logique alors que si tu détailles le mécanisme mis en oeuvre pour parvenir au résultat, il y a une logique sous-jacente, un cheminement. Même un rêve a une logique. Il y a du rationnel dans l'irrationnel. Cela nous semble illogique car se basant sur des mécanismes de raisonnement non conventionnels mais tant qu'il y a cheminement, il y a une logique même si elle est ... illogique.






J'essaie d'être Vigilante et puis ce n'est pas très sévère non plus. Ca me pose juste des petits soucis au niveau de l'orthographe et de la syntaxe.

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Ouais, j'avoue que je n'ai pas été extrêmement clair ici... Donc bon. Le fond d'un texte, à savoir son idée générale, son intérêt philosophique, ce qu'il veut dire, son sens en gros... est à l'opposé de la forme d'un texte, qui est son squelette, sa structure ; tout ce qui concerne les connecteurs logiques des paragraphes, la syntaxe, les chapitres, les dialogues.

Flaubert, le chef de file du réalisme - qui s'oppose au romantisme -, rêvait donc d'un texte qui ne tiendrait que par sa forme : avec une structure tellement cohérente qu'il n'aurait besoin d'aucun sujet pour exister en tant que texte. Moi, à l'inverse, je rêve d'un texte dont les thèmes, les intérêts philosophiques, sont tellement puissants qu'ils ne nécessitent ni paragraphes, ni chapitres, ni rien...
Bien sûr, les deux visées sont strictement impossibles d'un point de vue textuel. Je ne vois pas comment tendre au maximum vers le rêve de Flaubert, mais pour ce qui est du mien, la solution existe ; il s'agit du Silence, et donc de ne pas écrire !
La belle affaire, puisque pour moi, écrire c'est presque vital.

Tu n'intellectualise pas autant que moi quand tu écris ? Pas sûr... Ou alors c'est moi qui voit tellement de significations possibles que tu n'as pas imaginées.






Je ne pouvais pas échapper à la logique... Juste essayer de m'en éloigner au maximum. Seulement voilà, même si je ne supporte pas d'écrire un plan de texte, je l'ai quand même suspendu dans mon esprit - jamais complet bien sûr, il s'agit juste d'enchaînements possibles d'un chapitre à l'autre -, où je peux le modifier à loisir alors que le plan textuel me bloque puisqu'il s'associe - là encore, dans mon esprit - à la notion de figé, de quelque chose qu'il faut suivre puisqu'il elle est établie.

Seulement tu dit que mon texte est extrêmement logique... Alors, en essayant de m'extraire le plus possible de la logique, je m'en serais au contraire rapproché ?