Cinquième cercle Inscrit le : 14-08-2012
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«Highway to Lelahell» est un documentaire de 52’ minutes, qui retrace la carrière de Redouane Aouameur, personnage emblématique du métal algérien
Ce film que Redouane Aouameur a produit, revient sur son parcours, riche de 23 ans, qui se confond avec l’histoire du métal en Algérie, de la décennie noire à nos jours. Métaleux jusqu’au bout des ongles, totalement engagé pour la musique et surtout pour la diffusion et la présentation de ce style musical, loin des clichés et des préjugés, Redouane Aouameur se confiera sur ses différentes expériences dans le métal. Chanteur, bassiste et surtout guitariste aujourd’hui, il se racontera et évoquera les groupes dont il a été l’un des fondateurs, à l’exemple de Neanderthalia, Carnavage, Devast, et bien évidemment la légendaire aventure du groupe Litham, sans oublier la formation Lelahell, dont il est aujourd’hui le leader.
Des images inédites, des extraits exclusifs de concerts et des témoignages d’anciens membres de groupes et d’acteurs de la scène métal nationale, viendront agrémenter le récit de Redouane Aouameur, qui abordera également le Festival Lelahel, qu’il a créé et organisé de 2002 à 2006.
«Highway to Lelahell» est également une occasion de revenir sur les étapes marquantes du métal et du mouvement métal dans notre pays. Dès son Apparition chez nous, au début des années 90, il avait connu le succès et attiré de nombreux jeunes, emportés par ce vent de liberté que représentait cette musique où l’on chante la vie sous tous ses aspects. Outre le fait d’avoir conquis la scène locale et nationale, le métal algérien s’est exporté de la plus belle des manières. Et malgré le temps qui passe, la passion pour le métal en Algérie est toujours là ! Les acteurs continuent de résister, de se battre, pour présenter la véritable image du métal. «Highway to Lelahell» est une excellente opportunité de voir le vrai visage du métal algérien.
Second cercle Inscrit le : 22-07-2015
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Hey! megadomo....brothers of Metal de Manowar, ça te dit quelque chose ?
Ce qui fait que si peu de personnes sont agréables dans la conversation, c'est que chacun songe plus à ce qu'il veut dire qu'à ce que les autres disent.
Cinquième cercle Inscrit le : 10-05-2011
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Houla houla calmez vous mes petits. Vous avez (réussi à) regardé la vidéo avant de crier au scandale?
Désolé mais ce documentaire présente beaucoup de soucis.
On écoute une mec qui nous Dis comment a évolué sa carrière dans un pays qui n'est pas propice à son activité. Sur le papier c'est une idée très intéressante!
Sauf que la non le mec nous raconte sa vie pendant 50 min! Si c'était une star mondiale pourquoi pas, mais c'est une star locale.
Donc non ce documentaire ne m'intéresse pas, je pense qu'il a très peu de chance d'intéresser tout métalleux ne connaissant pas le groupe, et je pense que mon commentaire précédent était pertinent.
Mais (je vous vois arriver) cette vidéo aurait pu me familiariser avec le métal algérien. ET BIEN NON, TOUT SIMPLEMENT PARCE QU'ELLE EST CHIANTE A EN MOURIR. Le mec cherche ses mots, parle dans sa barbe, sur Ton très monocorde. Et tous les intervenant ont aussi l'air d'être en dépression. Je sais que c'est un documentaire amateur, bien que le montage et les cadrages soient plutôt réussis, mais non je n'ai pas envie de me faire chier pendant 50 minutes!
Et oui j'écoute presque uniquement de musique étrangère, même de la musique traditionnelle cubaine et balinaise.
Second cercle Inscrit le : 17-02-2008
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Dites, excusez-moi du (très gros) HS mais j'ai manqué le top 10 2015 ? Merci (je supprimerai le commentaire quand j'aurai la réponse pour pas polluer) bises
Second cercle Inscrit le : 06-07-2008
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Je rejoins MegaDOMO. Mais qu'est-ce que c'est chiant, monotome sur un gars qui se regarde que le nombril alors le sujet était vraiment très intéressant. Dommage.
Cinquième cercle Inscrit le : 16-07-2007
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Docu très très intéressant. La musique (bonne ou mauvaise) se trouve partout. Mais manifestement, y'a des endroits où c'est plus compliqué que d'autres. Y'a des mecs qui kiffent le death en Algérie. Ok. Comment font-ils ? Que peuvent-ils faire ? Où arrivent-ils ? C'et simplement stupide de critiquer leur manière de s'exprimer plutôt que de réfléchir sur le pourquoi c'est si dur de faire du métal en Algérie (par exemple).J'ai (bizarrement...) beaucoup de mal à m'exprimer en norvégien, mais si je dois expliquer à des norvégiens mon pb pour faire de la musique, mon accent ou ma façon de parler passeront au second plan au bénéfice du Message que je veux leur faire passer... Ceci dit, expliquer ses pbs à des gens qui ne peuvent pas y faire grand chose ne les résoudra pas forcément (les pbs). Quand le moindre concert, le plus petit festival, le dernier recrutement foireux d'un groupe underground (par définition), doivent se plier au bon vouloir de l'autorité idoine, se doit d'obtenir l'autorisation adéquate, ou nécesite de graisser la patte du fonctionnaire qui va bien....On se rend vite compte que la liberté que prétend défendre notre musique est tributaire d'un état qui ne nous le rend pas. On peut essayer de trouver l'herbe plus verte ailleurs, ou on peut essayer de la verdir là où on est....
C'est parce que la vitesse de la lumière est plus rapide que celle du son, que bien des gens paraissent brillants avant de passer pour des c....