Le Death Metal n'est pas mon obédience , loin s'en faut , mais je trouve à l'instar du commentaire précédent , qu'au delà du style pré-cité , c'est l'esprit " Metal " des intervenants qui mérite amplement tout mon respect car on comprend bien vite qu'en Algérie , c'est des montagnes qu'il faut être capable de déplacer pour amener cette ouverture d'esprit malgré une demande manifeste ( ça aussi c'est vraiment intéressant de le constater ) . En écoutant Redouane parler , je pense à des groupes comme Orphaned Land et Myrath pour qui ça n'a sûrement pas dû être facile pour en arriver là où ils sont ... Merci pour ce reportage fort pertinent ... Hail & Kill !

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Le Mesnilois

Merci de Ton com', Bruno. Des fois, j'ai l'impression que Spirit of Metal c'est juste le nom d'un site et pas une valeur qui mérite d'être respectée, d'où quelle vienne...Après, les mecs ont pas de cul, ils crament pas des églises en Norvège,  ni n'insultent le Pape en Pologne : ils essaient juste de faire de la zique extrême en Algérie : badasserie niveau zéro, quoi....

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C'est parce que la vitesse de la lumière est plus rapide que celle du son, que bien des gens paraissent brillants avant de passer pour des c....

je le trouve intéressant ce doc, c'est très touchant de voir des metalleux persévérer dans un pays où rien n'est fait pour. J'ai pas trouvé que le narateur avait la grosse tête ou était narcissique comme ça a été dit, il parle de son parcours et il le fait avec beaucoup de précision ce qui montre que ça l'a marqué. Je trouve les intervenants plus humbles qu'arrogants au contraire, et très sincères...

Quand le mec te raconte qu'ado, pour avoir des disques de métal un des seuls moyens qu'il avait était de donner de l'argent à quelqu'un qui part à l'étranger et croiser les doigts en attendant qu'il revienne ça mérite un grand respect pour autant de passion. ça me fait penser à la jeunesse du bloc soviétique dans les 80's qui achetait des cassettes interdites par le régime sous le manteau au marché noir, ou Marjane satrapi dans persepolis qui allait pareil acheter du iron maiden à la sauvette dans les rues de téhéran comme un drogué va chercher sa dose en cachette !

Par contre, c'est sur que des disques aussi durs à chopper, tu les écoutes avec une intensité qui n'est pas la même que la génération youtube ... 

(Quand j'étais minot il n'y avait pas internet et dans une petite ville de province ou j'habitais on commandait un slayer ou un kreator et on attendait 2 semaines pour le recevoir, pourtant c'était en France mais c'était surtout une autre époque. Par contre encore une fois tu persévérais beaucoup plus à l'écoute et la ré écoute au lieu de l'entendre une fois et de dire bof ...

 Quand il parle au début du documentaire de guetter les clips sur M6 ça m'a rappelait des pu.. de souvenirs !!! on le faisait aussi ici, je mettais mon reveil à minuit et je restait devant la TV avec mon scope et ma VHS dans l'espoir de capter un clip qu'on a en 2 clics aujourd'hui... )

merci pour ce doc !