| MightyFireLord dit : citation :
Voilà, et je place le précédent Glory to the Brave juste derrière. C'est vraiment différent de ce qu'ils ont fait sur les plus récents, et surtout sur le coup de mou du milieu de discographie (amorcé à partir de Renegade, à son apogée sur Chapter V / Threshold), malgré quelques truc mythiques au passage quand même (Hearts on Fire par exemple...). En le replaçant dans le contexte, des groupes comme Edguy ou Angra sont en train de percer, d'autres comme Gamma Ray et Blind Guardian sont au top (Helloween à la ramasse mais c'est autre chose), et malgré tout ça ils ont réussi à se tailler une place les suédois, je sais pas ce qu'il te faut de plus Elv pour te convaincre que ça vaut le coup pour peu qu'on aie pas peur du power à la sauce true metal. |
| dark_omens dit : Je ne sais si tu penses avoir à faire à un néophyte mais je ne me serais absolument jamais permis de stigmatiser un album sur un Seul morceau (Metal Nation en l’occurrence). Je serais d'ailleurs assez curieux que tu me quote le passage où j'affirme que "Metal Nation" est le titre représentatif de ce Unbreakable. |
| Ensuite pour suivre la scène allemande depuis quelques décennies et Primal Fear depuis le début, je crois être capable d'entendre lorsqu'un album s'éloigne de cette tradition symptomatiquement saxonne de faire du Heavy Speed Power Metal efficace. |
| Pour finir, d'un point de vue strictement comptable, Bad Guys Wear Black, Metal Nation et Unbreakable (part 2) sont des morceaux très (trop) mélodiques. Si on on ajoute à cela les deux ballades, on se retrouve quand même avec presque la moitié d'un album qui manque singulièrement de mordant. On est quand même assez loin du phénomène "titre isolé" que tu évoques... |
| dark_omens dit : @alone: Je n'ai jamais affirmé de manière péremptoire que Primal Fear était devenu Edguy. Je soulignais juste le travail mélodique de cet album. Et pour illustrer ce travail je l'ai mis en parallèle avec celui d'Edguy. On peut ensuite pinailler sur d'éventuelle différence entre les deux groupes, mais cette manière dont Primal Fear a ici surproduit et surtravaillé ses refrains, c'est quand même assez symptomatique de la manière dont Tobias Sammet travaille. On est quand même ici plus proche d'Edguy que d'Accept, non? |